Publié par Guy Millière le 28 décembre 2021

Cela n’est dit nulle part dans les médias français, bien sûr, mais moins d’un an après l’installation au pouvoir de l’administration Biden, celle-ci est en plein effondrement.

L’inflation aux Etats-Unis est à son plus haut niveau depuis trente-neuf ans, et frôle les dix pour cent en rythme annuel. Pour des produits de base, viande, légumes, l’augmentation des prix se situe entre vingt et quarante pour cent, ce qui est sans précédent depuis plus d’un demi-siècle. Pour les carburants, elle atteint désormais cinquante pour cent. Cela se répercute sur le prix des restaurants qui, lui a augmenté en moyenne de vingt pour cent. Ce sont les plus pauvres qui se trouvent le plus pénalisés (comme toujours sous les gouvernements de gauche).

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En résultat du dé financement et de la diabolisation de la police (et des démissions massives de policiers qui ont suivi), la criminalité explose, et dans les villes et les Etats où des procureurs d’extrême gauche ont été élus (grâce à des financements de campagne massifs de milliardaires gauchistes finançant aussi le parti démocrate), des opérations de razzia organisées sur les commerces ont lieu sans problème pour les voleurs, qui ne risquent pas d’être arrêtés, ou sont relâchés sitôt après leur arrestation.  

En résultat de l’entrée massive et sans contrôle d’immigrants illégaux par la frontière Sud du pays, les gangs vivant du trafic de drogue, largement démantelés sous Trump, se sont reconstitués (des membres de gangs expulsés sont revenus) et l’entrée sans contrôle d’immigrants illégaux allant de pair avec l’entrée de drogue et de médicaments contrefaits provenant de Chine (tels le Fentanyl), la revente de drogue à prix cassés bat son plein, et le nombre de morts d’overdoses monte en flèche.

Des centaines de milliers d’offres d’emploi ne trouvent pas preneurs dès lors que les milliers de milliards d’argent créé ex nihilo par l’administration Biden au printemps dernier permettent de recevoir du gouvernement de quoi vivre sans travailler, et des milliers de petites entreprises tournent au ralenti ou ferment leurs portes.  Les chiffres du chômage baissent parce qu’ils décomptent les gens cherchant un emploi, mais n’incluent pas les assistés qui, eux, ne cherchent pas un emploi, et dont le nombre en onze mois s’est considérablement accru.

Le choix par les démocrates d’une paupérisation générale de la population, d’un changement de peuple destiné à diluer la population sous une marée d’immigrants non intégrés,  d’abraser la classe moyenne, de créer une importante strate de gens dépendant du gouvernement pour vivre, et d’avancer vers une société néo-féodale au sein de laquelle il n’y aurait que deux classes sociales, les très riches régissant le pays, et les pauvres assistés , précarisés et privés de liberté et de sécurité, se confirme nettement, et le recours politique à la pandémie aux fins de faire avancer le choix par la soumission et le contrôle est flagrant, tout particulièrement dans les Etats à gouverneur démocrate. (Les gouverneurs républicains résistent autant qu’ils le peuvent).   

Ce que les démocrates qui ont volé l’élection de novembre 2020 pour installer au pouvoir l’administration Biden (car, oui, j’insiste l’élection a été volée, on vous ment sans cesse sur ce point comme sur tant d’autres dans les médias français, et Trump a raison d’insister ce point, le vol d’une élection est un viol de la démocratie, et cela ne doit plus jamais se produire, ce qui implique une stricte vigilance), et faire ce qu’ils font, n’avaient pas prévu est que le peuple américain est très attaché à ses institutions, à son mode de vie, à ses valeurs, et est bien plus à même de refuser ce qu’on lui impose que les populations européennes. Et cela inclut des électeurs démocrates modérés.

Des médias conservateurs puissants existent aux Etats-Unis, et ils ont une audience (trois chaines de télévision conservatrices existent, FoxNews, Newsmax et OAN, plusieurs grands journaux conservateurs existent aussi, dont le New York Post, le Washington Times et The Epoch Times, de nombreuses chaines de talk radio conservatrices sont disponibles dans tout le pays, de nombreux webmagazines conservateurs complètent l’ensemble, dont Frontpagemag.com, americanthinker.com, amgreatness.com, thegatewaypundit.com, pjmedia.com, gatestoneinstitute.org). Des organisations et des think tanks conservateurs s’ajoutent et ont un impact eux aussi (entre autres, Heritage Foundation, American Enterprise Institute, Judicial Watch, Hudson Institute). Des artistes dans des secteurs tels celui de la musique ne sont pas sommés de se dire de gauche pour faire carrière (quasiment tous les artistes de country music, et divers artistes de rock sont conservateurs et ne le cachent pas : je vais souvent au concert, et je sais de quoi je parle).

Malgré la répression féroce contre les Américains soutiens de Trump qui étaient à Washington le 6 janvier (des centaines d’entre eux sont emprisonnés depuis des mois, maltraités à l’extrême dans les prisons où ils sont, privés des droits qu’ont les pires criminels de droit commun), une vague est clairement en route qui va infliger au parti démocrate en novembre 2022, cela ne fait guère de doute, une débâcle électorale de dimension historique, et paralyser largement l’administration Biden, puis préparer le très vraisemblable retour de Trump à la Maison Blanche après les élections de novembre 2024.

Les sondages sont si accablants pour les démocrates que les instituts de sondage les plus à gauche ne parviennent pas à dissimuler ce qui se prépare. Des représentants démocrates annoncent qu’ils renoncent à se représenter, et préfèrent partir qu’être humiliés. Deux sénateurs démocrates (Kirsten Sinema, Joe Manchin) qui savent qu’ils risquent de perdre leur siège s’ils soutiennent le délire destructeur gauchiste enclenché, refusent de voter des lois, qui, dès lors, ne sont pas adoptées. Kirsten Sinema, sénatrice d’Arizona, se fait harceler sans cesse aux fins de la faire céder.  Joe Manchin, sénateur de West Virginia, Etat qui a voté Trump à soixante-huit pour cent (à ce degré, aucun bourrage d’urne ne peut inverser le résultat) vient de “tuer” la troisième loi destinée à gaspiller des milliers de milliards, à porter l’inflation plus haut encore, à augmenter fortement les impôts, et à doubler le nombre d’agents du fisc.

L’administration Biden est furieuse, car elle sait que la “mort” de cette loi signifie qu’elle est tout au bord de la débâcle totale.

Suprême humiliation pour l’administration Biden, Joe Manchin a annoncé sa décision sur FoxNews.

Seuls ceux qui sont fanatiquement démocrates voteront encore démocrate.

Les dirigeants du parti démocrate qui voient venir la débâcle, ont songé à pousser le sénile et corrompu Joe Biden vers la sortie, mais l’idée d’installer Kamala Harris à la Maison Blanche leur parait inenvisageable, tant elle tient des propos ineptes, et tant sa popularité est basse. Ils ont songé à l’envoyer à la Cour Suprême, mais, quand bien même ils le poussent à partir, le juge (de gauche) Breyer, quatre-vingt-trois ans, refuse, et nul ne peut le forcer à s’en aller.

Ils ont voulu remplacer Kamala Harris par Pete Buttigieg, un politicien médiocre, ancien maire de la petite ville universitaire de South Bend, Indiana (les villes universitaires sont toujours de gauche aux Etats-Unis), un homme dont la qualité essentielle pour la gauche est qu’il est homosexuel. Ils ont aussi songé à Hillary Clinton, et si celle-ci avait été nommée vice-présidente à la place de Kamala Harris, elle aurait pu remplacer Joe Biden sans avoir été élue : Kamala Harris s’est accroché à son siège et l’opération a échoué. Hillary Clinton semble vouloir se représenter en 2024, et au vu de la nullité des candidats démocrates possibles, elle aurait toutes ses chances de se retrouver à nouveau candidate.

L’administration Biden (et les démocrates) ne sont, cela dit, pas prêts à laisser la victoire aux républicains. Ils ont commencé à détruire le pays pour en faire un pays socialiste à régime autoritaire et à parti unique, et ils sont bien décidés à aller jusqu’au bout. Comme me l’a dit le sénateur Ted Cruz (c’est une expression qu’a utilisé aussi le représentant Kevin McCarthy, qui sera sans doute Speaker of the House, chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants, après l’élection de 2022), they want to burn the house before they leave, ils veulent brûler la maison avant de partir.

Ils veulent aussi tout faire pour ne pas partir du tout. La pseudo commission sur l’”insurrection” du six Janvier (qu’on vous décrit dans les médias français comme impeccable, bien sûr), constituée en violation de toutes les règles et en contravention avec la Constitution (que l’administration Biden et les démocrates traitent de plus en plus comme un paillasson), est clairement une machine de guerre anti-Trump qui utilise des faux témoignages, produit de la désinformation, des menaces, et des tentatives de jeter en prison l’entourage de Donald Trump, et Trump lui-même.

La loi destinée à officialiser et légaliser les fraudes perpétrées en novembre 2020 a été rejetée deux fois par le Sénat : ils s’efforcent d’en présenter une nouvelle version. Elle s’est appelée HR 1, puis HR4. Ils reviennent à son appellation de départ, “For The People”, pour le peuple, ce qui montre qu’ils ne manquent pas d’air…

Laetitia James, procureur général de New York, qui s’est fixée comme objectif central de son action de jeter Trump en prison, poursuit son objectif, et entend tout faire pour mettre Trump en examen dans les semaines à venir, pour des motifs sans aucun fondement qui feront, cela va de soi, les gros titres des médias de gauche et susciteront l’extase de nombre de journalistes français.

Suivant les recommandations de leur maître à penser, le gauchiste Saul Alinsky, qui leur a dit dans Rules for Radicals qu’ils devaient accuser leurs ennemis des crimes qu’ils entendent perpétrer contre leurs ennemis, les démocrates font aussi circuler la rumeur que les partisan de Trump entendent préparer une insurrection armée avant ou après l’élection de novembre 2024, et ils ajoutent dès maintenant que si Donald Trump est élu en novembre 2024, ce sera parce que l’élection a été frauduleuse, et que la gauche devra, en ce cas, refuser le résultat, fut-ce par le recours à l’armée.

Cela signifie que l’administration Biden entend sans doute procéder à des arrestations préventives en 2024, frauder autant que possible aux élections, et si les fraudes ne suffisent pas, tenter de garder le pouvoir par la force.

L’administration Biden et les démocrates sont des totalitaires. Et les totalitaires en général ne rendent pas le pouvoir facilement : ils commencent par le voler, et ils gardent ce qu’ils ont volé.  

L’année 2022 aux Etats-Unis sera décisive, et sans doute tumultueuse. Tout sera expliqué en détail dans mon prochain livre, Après la démocratie ? Et il y aura des références : plus de quatre cents notes de bas de page, plus de cinq cents livres, articles et documents cités.

Rien ne sera expliqué dans les grands médias français, non. Tout ce qui s’y dit est faux, et cela me révolte et me consterne.

Dois-je le redire ? Ce qui se passe aux Etats-Unis a un impact sur la planète entière.

Désinformer est toujours un crime. Désinformer sur la première puissance du monde est particulièrement criminel.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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