On voit se multiplier les déclarations de médecins, chefs de service et infirmier(ère)s selon lesquels, dans leur service hospitalier quand il s’agit de malades « COVID » on donne la priorité aux vaccinés sur les non vaccinés.
Aussitôt on hurle à l’apartheid et Auschwitz.
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Regardons les choses calmement et supposons deux malades COVID hospitalisés pour insuffisance respiratoire.
Abdul a décidé de se faire vacciner. La vaccination n’est agréable pour personne. À titre strictement personnel et d’un point de vue émotionnel, le vaccin et tout le décorum qui l’accompagne m’apparaissent comme exécrables et mon esprit fertile pourrait formuler quatre ou cinq motifs déterminants de ne pas se faire vacciner. Mais ce serait du window dressing. Car l’analyse rationnelle des données ne laisse aucun doute : les vaccins anti-COVID sont efficaces, et le sont même remarquablement quand il s’agit de prévenir les formes graves de la maladie, ie hospitalisations et soins intensifs. Le dernier rapport de l’organisme Sciensano qui, en Belgique, agrège les données hospitalières, est à cet égard une nouvelle fois formel, en parfaite cohérence rationnelle et analytique avec les données publiées par 200 pays dans le monde :
Comme toute réalité humaine, les vaccins sont imparfaits. Bien que vacciné, Abdul a contracté le virus de Wuhan. En situation de détresse respiratoire, il a besoin d’assistance ici et maintenant, tout de suite.
Face à lui, supposons Dimitri. Depuis deux ans, Dimitri répand sur Facebook des documents, captures d’écran et autres lien Youtube qui « prouvent » tout à tour que « le virus n’existe pas », « le virus n’est pas grave », « les vaccins vont tuer des dizaines de millions de gens », « les vaccins rendent stériles », « il n’y a personne dans les hôpitaux, on vous ment ! », « les vaccins font s’arrêter le cœur de millions de gens », etc. Dimitri n’est pas un imbécile. Il est universitaire, diplômé en sociologie de l’environnement et sa religion sur les vaccins était faite avant même la mise sur le marché du premier vaccin anti-COVID : jamais !
Aujourd’hui contaminé, Dimitri se trouve en situation de détresse respiratoire ; il attend dans le même couloir qu’Abdul. En fait, leurs lits sont côte à côte. Ils échangent un regard.
Dans l’hôpital vers lequel on a acheminé Abdul et Dimitri, il reste une place en soins intensifs. Une, pas deux et on n’improvise pas des places en soins intensifs avec respirateur dans la minute. La réalité est qu’il y a une place, et deux personnes qui en ont besoin.
Le chef de service donne l’ordre de placer Abdul en soins intensifs et de donner les meilleurs soins disponibles hors soins intensifs à Dimitri, dans l’attente qu’une place se libère. Est-ce choquant ?
Dans un monde idéal, où toute ressource est immédiatement disponible de façon illimitée, oui. Mais nous vivons dans le monde réel, qui se caractérise par la rareté des ressources disponibles.
Que dans ces conditions on donne priorité, ne serait-ce que quelques heures, à Abdul sur Dimitri, ne me choque pas. Surtout, les personnels hospitaliers, qui vivent des situations de saturation et de quasi-saturation, n’ont pas le choix : ils doivent choisir. C’est précisément pour éviter ce type de situation que tout est mis en œuvre pour enrayer la saturation des hôpitaux (qui n’existe pas selon Dimitri).
Les « antivaxx » se gargarisent de leur liberté. Il faut la respecter.
À condition qu’ils assument la responsabilité sans laquelle la liberté n’est qu’une coquille vide, un cri d’enfant caractériel.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Drieu Godefridi pour Dreuz.info.
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Il est évident que quand on fait le choix d’être non-vaxx, il faut se préoccuper des traitements précoces. Si votre médecin traitant refuse de soigner, il existait sur internet une liste des médecins du collectif “laissons les médecins prescrire” sur laquelle j’ai personnellement relevé la liste des médecins proches de chez moi avant que la liste soit supprimée (en raison du harcèlement dont ils ont fait l’objet).
A défaut il faut se supplémenter en vitamine D, en zinc, et faire un stock d’ivermectine. Bien évidemment cela ne s’improvise pas, mais ne pas le faire est irresponsable.
Bravo pour votre réponse modérée. J’étais sûre que l’article allait brosser pas mal de lecteurs à rebrousse poil et qu’on aurait droit à la comparaison avec les obèses et autres gens à risques.
Pour un Français qui a été légalement obligé durant des décennies de payer ses cotisations à la Sécurité Sociale en contre-partie de l’accès au système de santé “que le monde entier nous envie”, celà serait ni plus ni moins que de l’escroquerie d’ Etat!
Vous me direz , une de plus ou de moins …
Oui… Et comme par hasard “Abdul et Dimitri “, et le gentil vacciné c’est Abdul, mais ce n’est qu’un hasard, bien sûr.
une semaine de ventilation artificielle nécessite dans le meilleur des cas 6 semaines de réadaptation.
blachie semble beaucoup moins sûr de lui sur ses anciennes certitudes ainsi que le directeur de l’OMS
J’espère que l’on donnera aussi la priorité à Dimitri sur Fatman, obèse avec des problèmes cardiaques. Il est obèse, c’est son choix, il faut donc qu’il assume.
Quand à assumer pour Dimitri, pourquoi pas, on ne le soigne pas, mais alors il n’a plus à payer sa sécurité sociale. On a toujours justifié toutes les insuffisances de la sécurité sociale en terme de coût, mauvaise gestion, mauvais soins…. par le “oui mais on soigne tout le monde, sans demander avant si on est solvable par solidarité”. Que ce soit pour le sida, les obèses, les fumeurs, les alcooliques, on a toujours refuser de discriminer ces patients aux affections liées à leurs décisions propres, payées par les autres. Pourquoi tout à coup devrait-on discriminer des gens, dont le droit le plus strict est de ne pas se vacciner, comme l’a rappelé l’Union Européenne dans son règlement ? Il suffit d’ouvrir plus de lits d’urgences, au lieu de continuer à en fermer. On a bien prévus des capacités hospitalières pour les malades du sida, pour les cancers des fumeurs, pour les opérations des obèses…. au nom de quoi les refuser pour les non vaccinés ? La solidarité s’arrête-t-elle au covid ?
Tout a fait.
Si on va dans le sens de l article il faut :
laisser le piéton qui se fait écraser parce qu il a traverse en dehors des clous crever sur la chaussée
Priver de soin celui qui a attrapé une “chtouille” parcequ il a couche sans préservatif
Priver de mouchoir celui qui s est enrhumé parcequ il est sorti sans prendre le temps de se sécher les cheveux après sa douche 😀
Et le cycliste qui a pris une chaussée a contresens et s est fait renverser doit payer son hospitalisation
Etc.
La liste est sans fin
+100000000 bravo rien à rajouter
Merci
Tout à fait de cet avis ! Mais comment, un ” doublement vacciné”” ou “” triple” vacciné aurait des “chances” de se retrouver aux urgences à l’hôpital ??? Dans ce cas, comment ne pas être drôlement déçu d’avoir gobé tous ces mensonges sans fin des adeptes fous du “tout vaccin” du gouvernement macrotien”…qui nous avait assuré de revivre normalement avec ce vaccin tellement sûr et efficace (après 2 doses avant, puis 3,4 et 5 doses ensuite qui se profilent déjà, sans que personne ne trouve d’objection à faire ?
C’est très inquiétant de lire cet article et de constater à quel point certains sont anesthésiés et ne voient même plus se profiler notre société dans une voie très dangereuse où nous serions tous contrôlés, dirigés sans ménagement si par hasard nous refusions de nous soumettre aux injonctions insupportables d’un gouvernement plutôt totalitaire…Ressaisissez vous, à temps et n’attendez pas que la situation soit totalement irréversible et elle le sera même pour les “vaccinés” quelque soit le nombre d’injections acceptées : Elles risquent d’être très nombreuses d’après les commandes déjà passées, il y en aurait 6 ou 7 prévues par personne par l’Union Européenne …
Dimitri est souvent un individu qui n’embete personne et ne se répand sur aucun réseau social. Votre postulat de départ est d’un cynisme inouï. A ce rythme là, on ne soigne plus les cancers du poumon, les fractures du sport, le sida: les conduites à risque doivent être assumées ! Un pays et un hôpital dignes de ce nom décident des soins intensifs sur le seul critère de l’état clinique.
Il y a une grosse offensive de propagande pour remplacer le principe de solidarite collective qui fonde la securite sociale , par un principe de responsabilite individuelle qui fonde les assurances privees. Je pense que l epidemie est instrumentalisee pour ouvrir la voie a une acceptation de la privatisation de la secu
selon le “sydney morning herold”, 10 000 australiens demandent des dédommagements pour les effets “secondaires ” des injections anti Covid
sont ils psychosomatiques?
Nos sociétés qui souhaitent mettre de côté une catégorie de leurs membres parce que cette catégorie définie par le pouvoir est susceptible d’être menaçante pour les autres sont mûres pour recréer des camps d’internement. Relisez Hannah Arendt. Relisez les derniers textes de Monsieur Milliere. Quand cela arrivera Monsieur Godefridi ou serez vous?
Cela fait quand même le troisième article que vous publiez où vous chargez la mule sur la partie que vous combattez, parez la partie qui vous sied de jolies vertus, oubliez des éléments de contexte trop dissonants et enveloppez le tout dans une narration.
Ce sont là les techniques discursives de gauche. Il vaut mieux ne pas en abuser. Vous risquez, par exemple, d’oublier de donner des raisons et explications valables. Comme dans cet article. Je complète pour vous: “il y a plus de chances pour un vacciné de répondre positivement et rapidement à une aide respiratoire. Pour traiter un maximum de personnes, il est donc raisonnable de privilégier la prise en charge des vaccinés.”
Et cela me paraît tout à fait raisonnable.
Sauf qu il semblerait que les gens vaccinés atteint d une forme grave mettent plus de temps a guerir et occupent les lits plus longtemps
Je cherchais juste à compléter l’article proprement, en respectant la direction de départ. Rapport à la réalité des choses, si la tendance que vous notez se confirme, et si la priorité est de prévenir la saturation des hôpitaux, alors il faut faire le contraire et privilégier les non-vaccinés 🙂
Bien entendu, ce que je pense vraiment, et ce qui m’insupporte avec les pro-vax, c’est qu’ils refusent de dire ce qu’ils ont réellement fait. Ils refusent de dire (probablement parce qu’ils refusent de l’admettre) qu’ils ont pris un risque avec les vaccins. Un risque qui s’entend parfaitement du reste, surtout quand on est âgé.
Et avec la troisième dose qui est maintenant une réalité, c’est douche froide pour ceux qui pensait être tirer d’affaire et qui préfère voir chez le non-vacciné le grand méchant loup.
Article rigolo pour les Français .
Pensez donc , ils cotisent obligatoirement au monopole de la Sécurité Sociale , mais c’est en contre-partie de l’accès au système de santé “que le monde entier nous envie” (pffff! ).
Jamais la Macronie covidiste ne commettrait une pareille escroquerie d’Etat !
Quoi que ….
Attendez un peu là.
Dans votre espèce de pladoirie , vous omettez un détail en préambule.
Il faut commencer par : “Dans un contexte ou l’on a décidé de gêner ou empêcher le traitement précoce , …”
Alors , et alors seulement , apparaît la monstruosité de ce que vous suggérez !
Je suis très déçu par les positions de mon ami Drieu. L’efficacité des vaccins n’est pas du tout démontrée. Les gens qui refusent d’etre vaccines ne sont pas tous des “antivax” caricaturaux tels ceux définis dans l’article. Loin de là. Nombre d’entre eux ici aux Etats-Unis font un calcul avantage cout prenant en compte les effets secondaires possibles et savent que les vaccins n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contagieux. Ce sont essentiellement des conservateurs. Les hôpitaux ne sont pas encombrés et la pénurie de lits de soins intensifs en Europe est due à une gestion socialiste de la médecine. Procéder à un tri selectif des personnes a soigner est contraire à l’éthique médicale, et proposer que cela se fasse sur la base du statut vaccinal est monstrueux. Laisser de coté l’existence de médicaments qui soignent et leur interdicion fausse toute analyse. L’intubation sauve rarement et laisse des séquelles lourdes: elle peut être évitée avec des médicaments qui soignent. Drieu est-il toujours libéral? Je me pose la question.
C’est de la pure provoc de votre ami Drieu (qui vous cite dans son dernier livre). Le cas “idéal” dont il parle, ce choix qui devrait être fait entre le vacciné et le non vacciné, n’existe pas dans la réalité (on tiendrait compte de l’état de santé générale). Même en Belgique!
Merci pour cette mise au point, beaucoup de prétendus antivax accepteraient un vaccin classique, post phase 3. Ce même jour dreuz publie un article montrant une hausse vertigineuse de décès de footballeurs par crises cardiaques, récemment vaccinés à l’ARNm.
Je me permets une remarque qui m’est venu à l’esprit hier. Votre ami est peut-être en détresse. Son article précédent mentionnait sa grand-mère et cela m’a l’air d’avoir été une expérience difficile dans laquelle des anti-vax ont sans doute joué un rôle. J’ai l’impression qu’il a failli la perdre dans des conditions incertaines.
J’ai beaucoup d’estime pour Drieu. Il a sans doute eu une expérience douloureuse. J’en parlerai avec lui. Je reste néanmoins surpris par cet article.
Et bien sûr vous allez soigner en dernier celui qui a fait une tentative de suicide?
Personnellement, je suis vacciné bien que n’ayant pas de comorbidités, faisant des exercices physiques réguliers, non-fumeur, très peu buveur d’alcool et avec un régime alimentaire méditerranéen.
L’idéal serait que tout le monde puisse continuer à vivre normalement, comme avant cette pandémie et qu’on puisse soigner tous ceux qui se présentent aux soins intensifs.
Cependant pour l’instant, ce n’est pas possible à court terme et des choix doivent être faits. Le choix proposé par Drieu Godefridi est un choix simple, applicable et vérifiable mais d’autres choix sont possibles tels que la probabilité de survie en bon état. D’autre part, de tels raisonnements pourraient être tenus pour d’autres pathologies dues à des excès de cigarettes, alcool, drogues,matières grasses, sucreries, ….
Il faut savoir que c’est cette crainte de devoir faire des tris et de déterminer des critères de tri qui paralyse toute l’économie et empoisonne l’existence de presque tout le monde. Le risque de se retrouver aux soins intensifs pour une personne âgées de moins de 64 ans et sans comorbidités est quasi nul.
De plus, d’après certains il y aurait des traitements efficaces (difficile à prouver ou à démentir vu le si faible taux de mortalité).
Et si Abdul a 95 ans, est obèse et cardiaque, et si Dimitri a 14 ans, et était en pleine forme jusque là, c’est le même tarif ?
comme médecin fidèle au sermon d’hippocrate et au code de déontologie, je soigne aussi bien les deux, vaccinés ou non-vaccinés. ce sont des êtres humains qu’ils soient vaccinés ou non qui ont besoin de soins. pour moi, il n’y a pas d’hésitation. c’est une question d’éthique.
J’ai lu les premiers commentaires. une dizaine, une quinzaine ? Je me suis lassé. Tous débiles. Aucun n’a compris qu’il ne pouvait pas ne pas y avoir à faire un choix et que le fait que tout le monde cotise à la sécu n’y change rien et qu’évidemment ce n’est pas le prénom Abdul qui a guidé le choix.
À désespérer de l’intelligence humaine. Comme disait Einstein :
Deux choses sont dites infinies, L’espace et la bêtise humaine. Pour l’espace je n’en ai pas la preuve.
Mais si, tout le monde a compris que parfois, le choix est inéluctable. Les dreuziens sont juste scandalisés que la non vaccination soit un critère. Ils préféreraient sans doute qu’il y en ait d’autres, plus justes à leurs yeux. Mais lesquels ?
Le tableau clinique.
En quoi est-ce moins moralement répugnant ?
En plus, le postulat de l’article si j’ai bien compris, c’est : à tableau clinique égal. Alors, quel critère est acceptable ?
Un “tableau clinique égal”, ça n’existe pas. Les médecins sont obligés de prendre ce genre de décision tous les jours, et ce n’est pas nouveau.
Je défie d’ailleurs toutes les belles âmes scandalisées, qui se gargariser de liberté de choix vaccinal et de droit au secret médical, d’aller proposer des critères de choix moins dégoûtants.
Il est difficile pour un médecin d’être totalement objectif. Un biais glisse habituellement quand il s’agit de faire un choix difficile en situation de pénurie de ressources. C’est la raison pour laquelle tout médecin se trouvant dans une telle situation a le devoir déontologique de consulter un confrère et/ou d’avoir recours à l’opinion neutre d’un comité de bioéthique.
Le statut vaccinal n’est qu’un critère parmi d’autres et ne doit pas être utilisé en excluant tous les autres, qui plus est les vaccins ne sont efficaces qu’à 70% dans les meilleurs des cas et perdent de leur efficacité avec le temps.
Traiter tous les non-vaccinés d’antivax relève du parti pris politique et ce à cause de la politisation de la vaccination. Comment s’assurer dans ces conditions que la décision de ne pas admettre un non-vacciné aux soins intensifs n’est pas le fruit de sentiments négatifs à son égard.
Comme on peut le constater la conduite privilégiée par l’auteur de l’article relève de l’arbitraire. Nous sommes en droit de nous interroger sur les raisons qui amènent tant de gens à accepter l’arbitraire aussi facilement.
Mais il existe également un autre point à relever et c’est celui de la pénurie de ressources. Elle est le produit de décisions gouvernementales et donc de choix politiques. En créant les pénuries les décideurs politiques deviennent les vrais responsables de ce genre de situation. Ce sont eux qui devraient assumer les conséquences de leurs mauvais choix et non les soignants sur le terrain.
L’interdiction imposée aux traitements précoces de l’infection est également une décision politique dont l’objectif est de forcer les gens à se faire vacciner. Il s’agit là non seulement de décision arbitraire mais de refus délibéré de porter secours à des personnes en danger. Nous sommes donc en présence d’un crime et, compte tenu que des millions de gens en sont les victimes, cela peut être qualifié de crime contre l’humanité.
Je vous remercie pour votre réponse tout à fait posée. Un passage m’interpelle : “Nous sommes en droit de nous interroger sur les raisons qui amènent tant de gens à accepter l’arbitraire aussi facilement.” Dans ma propre famille, j’entends dire que la police devrait faire irruption chez les non vaccinés et les vacciner de force. 2000 ans de construction de la dignité humaine pour en arriver là.
Le président Brandon a déjà pris cette décision, je ne sais pas si ça commencé. Il veut envoyer des équipes faire du porte à porte, seringue en main, pour vacciner ceux qui ne le sont pas.
Est-ce trop demander, dans le pays le plus taxé au monde, que l’hôpital ait les moyens de sa mission ?
C’est à mon avis la bonne question à poser quand on en arrive à devoir choisir entre un vacciné et un non-vacciné.