
Les hospitalisations pédiatriques ont augmenté de 395 % à New York (1).
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Beaucoup d’entres-vous ne font pas confiance aux chiffres, parce qu’ils viennent du gouvernement, et que vous n’avez pas confiance dans le gouvernement. J’ai bien compris cela. Et c’est votre droit le plus strict. Même s’ils sont trafiqués, j’ai plus de facilité à croire aux 59,677 morts annoncés par l’Etat de New York qu’aux 4,636 indiqués par la Chine depuis le début de la pandémie. On ne connaîtra jamais les vrais chiffres de la Chine, c’est une dictature communiste, et je ne serai en rien surpris s’ils ont eu plusieurs millions de morts. On connaîtra un jour les vrais chiffres de New York.
Supposons un instant, pour l’exercice de cet article, que vous acceptiez les chiffres du CDC pour New York. Voici ce qu’ils indiquent :
- Dans l’Etat de New York, entre la première et la troisième semaine de décembre, le nombre de patients hospitalisés est passé de 22 à 109.
- New York enregistre en moyenne 17 000 cas par jour, et 208 hospitalisations par jour.
D’après les chiffres ci-dessus, et concernant les enfants, cela représente 15 enfants par jour, soit 0,09 % de chances qu’un enfant soit hospitalisé à cause d’Omicron, s’il l’attrape, sauf erreur de calcul de ma part.
Est-ce que 15 enfants par jour dans une ville de 9 millions d’habitants, soit 1 800 000 enfants, est un chiffre assez effrayant pour faire les gros titres et déclencher l’hystérie des médias ? Assez grave pour renvoyer les enfants chez eux et fermer les écoles ?
Ne sommes nous pas en train de subir non pas une vague d’Omicron, mais de délire collectif ?
New York est un Etat dirigé par des gens très à gauche. Dire que par penchant idéologique, ils veulent dicter aux gens comment ils doivent vivre et contrôler leur mode de vie, c’est enfoncer des portes ouvertes. Dire que le gouvernement de l’Etat de New York, et le maire communiste de la ville de New York sont ravis de l’aubaine offerte par le coronavirus pour mettre les citoyens au pas, punir les entreprises et les commerces, est une banalité. Aller jusqu’à dire qu’ils ne seront pas effondrés si l’Etat s’appauvrît, afin d’augmenter les impôts et asservir les citoyens qui ne pourront pas fuir l’Etat, comme à Cuba, comme en URSS, comme au Venezuela, comme en France et dans tous les pays dirigés par des socialistes, repose sur la simple observation.
Selon moi, et parce que dans une autre vie, j’ai été assis sur les mêmes bancs qu’eux à la faculté de droit, puis je les ai vu de près prendre des décisions et préparer des lois, il serait naïf de prêter à ces élus une intelligence qu’ils n’ont pas, et si une grande partie de leurs délirantes décisions pour combattre le coronavirus sont ridicules, stupides et incohérentes, ce n’est pas tant poussé par leur tentation totalitaire, que dicté par la panique, l’incompétence et la petitesse d’esprit qui empêche d’analyser tous les aspects d’un problème.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://abc7ny.com/covid-in-kids-vaccine-omicron-variant-children-with/11393287/

J’ai du mal à me faire une idée sur la gravité de la situation. On ne sait pas trop si ça va se développer ou se résorber, si les politiques mises en œuvre aident vraiment ou peu, et dans quel état les enfants s’en sortent. Mais c’est peut-être parce que je vis en France et que je fais une projection. Ici, on a l’impression d’être dans le flou et de ne pas savoir comment les choses vont évoluer. C’est ça qui compte, avec ce virus. Se baser sur un nombre modeste de malades aujourd’hui ne veut pas dire du tout s’il sera modeste demain. Pas sûr effectivement que vos ex copain de classe soient plus doués que moi pour jouer les pythonisses.
Le professeur Didier Raoult a disparu des radars.
Aujourd’hui encore les cartes épidémiques concordent, quelles que soient les sources. Elles montrent toujours la prédominance épidémique dans les pays occidentaux qui sont les plus vaccinés.
Pendant l’épidémie de mars 2020, le gouvernement (France) nous bassinait chaque soir avec les décès. La référence aux décès est peu à peu passée à la trappe au fur et à mesure que la mortalité des variants baissait. Il a ensuite mis l’accent sur la submersion des services de réanimation. Puis il s’est rabattu sur le nombre de cas qui ne sont en vérité pas des malades mais des personnes testées positives.
C’est encore plus flagrant avec l’épidémie due à Omicron. Il n’y a que peu de malades, très peu de décès et beaucoup de tests positifs. Il existe une décorrélation complète entre les tests positifs, les malades et les morts.
Une étude britannique confirme et dédramatise la dangerosité du variant Omicron, qui corrobore les statistiques et constatations.
Tout cela signifie que si l’on ne pratiquait pas des tests en veux-tu en voilà, sans réel but médical, l’épidémie ne serait pas visible.
Si l’État avait gardé le nombre de décès comme référentiel, il ne pourrait plus effrayer la population. Le gouvernement n’est pas dans le rationnel. Il est dans son monde, irrationnel. Il gère par l’émotionnel. La peur est son outil. Malheureusement, les arguments rationnels n’ont que peu d’effet sur l’émotionnel. Nous le constatons chaque jour.
« In » un article de Contrepoints : °Omicron : foncer dans le mur et accélérer »
Notons au passage que le nombre de morts du COVID par millions d’habitants est identique dans l’état de New York et de Floride. Conclusion: les confinements ne servent à rien.