
Dans son discours avant la nouvelle année, le Dr Tedros s’est dit optimiste quant à la fin prochaine de la pandémie de virus chinois, mais a averti les nations du monde que sans aide mutuelle, sa date de fin serait plus lointaine.
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Le directeur de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus (qui d’ailleurs, n’est pas plus docteur que ma tante est astronaute), a déclaré aujourd’hui samedi 1er janvier 2022 dans son discours pour la nouvelle année civile, qu’il est « optimiste quant à la possibilité de vaincre le coronavirus en 2022, si les pays travaillent ensemble pour l’éradiquer. »
Tedros a tenu ces propos alors que deux ans se sont écoulés depuis la découverte de ce virus chinois, que le nombre total de cas s’élève désormais à 287 millions, et 5,5 millions de décès dans le monde (sans doute bien plus car la Chine a déclaré 4 636 décès, et plusieurs analystes estiment que les 400 000 morts de l’Inde sont peut-être en réalité 4 millions).
Bien que le Dr Tedros ait eu un ton positif dans son discours, notant qu’il existe plus de moyens que jamais pour faire face au virus, ce qui est exact, il a mêlés un peu d’idéologie mondialiste et anticapitaliste dans son discours, et averti que « le nationalisme étroit et l’accumulation de vaccins par certains pays ont sapé l’égalité et créé les conditions idéales pour l’émergence de la variante Omiron, et comme l’inégalité dure plus longtemps, les risques de développer le virus augmentent d’une manière que nous ne pouvons pas prévenir ou prévoir », ajoutant, « si nous mettons fin à l’inégalité, nous mettrons fin à l’épidémie ».
Qu’est-ce que ça me gonfle, que des personnalités de premier rang tiennent encore ce genre de discours années 70 usé qui ne fait plus vibrer que les attardés mentaux, sans broncher.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Si la sortie de la pandémie est conditionnée à l’égalité mondiale, on en a pour jusqu’à la saint glinglin. Il faudrait déjà être capables de faire un point sur la genèse du virus pour éviter d’autres problèmes du même genre, et s’il est incapable de l’obtenir, il est mal placé pour faire la leçon politique aux autres.
Macron aussi l’a dit dans ses voeux. A mon avis, ces deux-là sont bien renseignés.
Si l’on considère l’argument de la tentation totalitaire, le fait que ceux là tiennent des propos optimistes leur donne du crédit, puisque cela va en contradiction de l’objectif qui leur est prêté – ou alors il manque un élément dans mon raisonnement.
Raisonnement parfaitement cohérent.
Mais d’autres sont possibles.
Ces gens entretiennent l’espoir. Le « hope » si cher à Obama et recommandé par Alinsky. Il ne leur coûte rien et il les dédouane de devoir expliquer pourquoi.
Pour moi, la raison est ailleurs. Je pense que ces politiques essaient d’avance de se donner le beau rôle et de faire entendre que ce résultat promis leur sera dû. Bien sûr ce n’est qu’un avis qui ne repose sur rien de concret sinon cette intuition qui naît à l’observation du paysage politique.
Cette crise n’est pas une victoire mais une débâcle, Monsieur Tedros Adhanom Ghebreyesus !
Ces politiques sont d’une suffisance sans borne. Si le SARS CoV 2 nous quitte cette année, ce ne sera pas par une quelconque « victoire » (des gestionnaires sanitaires désignés ou déclarés) ce sera de son plein gré car comme toute chose, les virus finissent aussi par s’essouffler !
Mais les épidémies et les pandémies ne disparaîtront pas. Les virus saisonniers non-plus. Nous devons nous y préparer en tirant les leçons de celle-ci pour ne pas leur rajouter le type de crise de société que nous (nos politiciens) avons nous-mêmes créé dans la peur, la précipitation, et le cynisme opportuniste de politiciens trop heureux de saisir ce nouveau pouvoir usurpé, « le pouvoir sanitaire ».
Ç’est Tedros qui était en partie responsable de la pandémie. Il n’y a pas de transmission homme à homme, a t-il dit.