Alfred Kärcher GmbH & Co. KG, plus connu sous son nom abrégé Kärcher, est une entreprise allemande fabriquant des nettoyeurs haute pression.
L’entreprise a été fondée le 2 janvier 1935 par Alfred Kärcher à Stuttgart puis déménage en 1939 à Winnenden, où se trouve toujours le siège social de l’entreprise familiale.
Afin de lever toute ambigüité, précisons qu’Alfred Kärcher n’a aucun lien familial avec le résistant français Henri Karcher.
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Ingénieur de formation, Alfred Kärcher créa tout d’abord le « four à bain de sel Kärcher » pour l’acier et la trempe des métaux légers dans le secteur industriel.
En 1939 sont également fabriqués des éléments chauffants destinés aux moteurs d’avions et des chauffages pour cabines.
Ce n’est qu’en 1950 qu’il mettra au point le premier nettoyeur haute pression à eau chaude en Europe.
Or, d’après de nombreuses études d’historiens concordantes, nous savons que la plupart des entreprises allemandes se conformèrent aux directives politiques du régime nazi, qui essayait en général de récompenser la « collaboration ». Celle-ci comprenait le plus souvent la disposition à employer des travailleurs forcés.
Continental, Volkswagen, BMW, Deutsche Bank, Siemens, Daimler, ThyssenKrupp, IG Farben ou encore Hugo Boss en sont quelques exemples.
Cependant, la transparence ne va pas de soi pour les sociétés qui ont collaboré avec le régime nazi.
Même si leurs archives sont de plus en plus accessibles, nombreuses sont celles qui ne facilitent pas les travaux des historiens.
Alors, qu’en était-il pour l’entreprise Kärcher ?
Aurait-elle fabriqué des équipements destinés aux avions de la Luftwaffe et employé pour cela des prisonniers ?
Pour tenter d’y répondre, concentrons-nous sur les polémiques en France de Nicolas Sarkosy « On va nettoyer au Kärcher la cité » et de Valérie Pécresse « Je vais ressortir le Kärcher de la cave ». Rhétoriques proches de celles d’extrême droite selon la bien-pensance.
Dans des communiqués de presse parus en mars 2007 et janvier 2022, la société Kärcher dénonce l’utilisation répétée de sa marque dans la campagne présidentielle française, soulignant notamment que l’usage de la marque à des fins politiques est « en opposition avec les valeurs que souhaite véhiculer l’entreprise ».
L’entreprise Kärcher pourrait donc avoir un poids sur la conscience et vouloir se racheter une conduite…
D’autant qu’il est indiqué sur leur site internet : « Le succès de notre entreprise repose sur nos collaborateurs ».
Comprenne qui voudra !
© Le patriote juif pour Dreuz.info

Si on sait quelque chose, on peut le dire, sans en rajouter. Mais créer ainsi de la suspicion à partir de rien est un procédé malsain digne des plus mauvais exemples de nos politiciens. Trouver ce genre de chose sur Dreuz n’est pas très reluisant.
Vous n’avez rien compris à l’humour juif.
Mais qui donc va le dire ? Faut il le laisser dans l’ombre ?
Le politiques d’aujourdhui n’en sont pas à laisser planer la suspicion, ils mentent tous les jours et à chaque intervention et cela ne les gêne pas, ils en on fait leur vérité.
L’arroseur arrosé !
De temps à autre apparait un collabo de l’époque, comme Edouard Leclerc le papa du PDG des Ets Leclerc géant de l’alimentation. C’est moche, car on soupçonne des délations de résistants comme aujourd’hui.