
Vous savez que les explications données par les médias ces jours-ci, au sujet des expulsions et destructions de maisons à Jérusalem ne sont pas destinées à vous informer mais à influencer votre opinion. Et vous comptez sur Dreuz pour vous donner les faits, rien que les faits.
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Le motif déclencheur des destructions des maisons palestiniennes est que des familles de locataires palestiniens du quartier de Sheikh Jarrah ont été expulsés pour des loyers impayés, parce que la ville a exproprié des terrains pour construire un groupe scolaire pour enfants arabes juifs et chrétiens handicapés, et parce que les occupants affirment encore, en dépit des titres de propriétés qui disent le contraire, qu’ils sont propriétaires, alors que les tribunaux ont tranché depuis longtemps.
Double standard et ingérence
Il n’y a qu’en Israël que la communauté internationale se mobilise pour faire pression contre des propriétaires immobiliers dont les biens sont squattés, et rejette le droit d’une municipalité de faire jouer son droit de préemption. Leurs leçons de morale à double standard, qu’ils se les appliquent à eux-mêmes et ensuite, on pourra débattre.
Comme vous l’avez sans doute entendu, la question des destructions de maisons de « Sheikh Jarrah » est au centre de l’actualité ces derniers temps.
Une banale affaire de loyers impayés empoisonnée par les Arabes
Il s’agit d’une affaire juridique ancienne, portant sur la demande de respect du droit de propriété par les propriétaires juifs, et des locataires palestiniens qui refusent de payer leur loyer et se disent eux-aussi propriétaires.
L’affaire fait l’objet de procédures judiciaires depuis 1972.
L’affaire a suscité une attention sans précédent dans le sillage du récent rapport anti-israélien de Human Rights Watch (HRW) une ONG dont il est difficile de distinguer le discours anti-israélien de celui du leader islamique d’Iran, accusant Israël de se livrer à des pratiques d’ « apartheid», dans le but d’exacerber et envenimer la situation à Jérusalem.
Elle a redoublé d’attention avec la destruction de maisons arabes là où la ville a exercé son droit de préemption pour construire un groupe scolaire pour enfants handicapés.
Malheureusement, de nombreuses informations erronées entourent cette affaire, et des allégations fallacieuses ont été formulées contre Israël par les médias, comme d’habitude.
Voici le contexte juridique et factuel, expliqué par le Forum juridique international (1)
Où se trouve Sheikh Jarrah ?
Sheikh Jarrah est un petit quartier de Jérusalem à prédominance arabe, mais pas exclusivement, situé à environ 2 ou 3 kilomètres de la vieille ville.
Signification historique du quartier
- Les Juifs appellent ce quartier « Shimon Hatzadik », où est enterrée la tombe de « Shimon le Juste », un grand prêtre juif vénéré du IIIe siècle avant Jésus-Christ. Le quartier est souvent visité par des pèlerins juifs.
- Les Palestiniens prétendent que la zone tire son nom de Sheikh Jarrah, un guerrier et médecin de Saladin, chef militaire islamique qui aurait combattu contre les Croisés au 12e siècle. Son corps serait enterré dans le quartier.
Revendication contre Israël
La communauté antisémite et pro-palestinienne affirme qu’Israël expulse injustement quatre familles palestiniennes de leurs maisons dans le quartier de Sheikh Jarrah, et que cela illustre les accusations portées contre Israël dans le contexte du conflit plus large avec les Palestiniens.
Les militants ne veulent pas entendre parler du droit international, notamment du célèbre arrêt de la Cour d’appel de Versailles de 2013 (2) qui opposait Alstom à l’OLP, et a conclu que non seulement Israël était l’occupant légal de la région, mais que les Palestiniens n’avaient légalement aucun droit sur Jérusalem et qu’aucune de leurs revendications n’était légitime.
En réponse, les propriétaires du bien (une ONG israélienne privée, Nahalat Shimon) démontrent qu’ils détiennent le titre légal en bonne et due forme du bien en question, et qu’en l’absence de loyer payé par les locataires, ces derniers doivent être expulsés : n’est-ce pas la même chose partout dans le monde ?
Chronologie des événements
- Sheikh Jarrah est un quartier arabe qui s’est développé à l’extérieur des murs de la vieille ville de Jérusalem au XIXe siècle.
- Selon la Cour suprême d’Israël, le terrain en question a été régulièrement acheté et payé par les communautés ashkénazes et sépharades locales, aux propriétaires arabes qui les leur ont vendus en 1875. Les juifs ont acheté ces terres principalement en raison de l’importance religieuse de la zone, qui abrite la tombe de « Shimon le Juste », tandis qu’à l’époque – tant que les Arabes en étaient propriétaires, les musulmans n’avaient aucune revendication religieuse ou historique sur ces terres. Oui, cela ressemble étrangement aux revendications des musulmans sur Jérusalem, qui ont commencé à lui découvrir une importance religieuse quand les Juifs l’ont libéré en 1967.
- La propriété a été régulièrement enregistrée dans le registre foncier ottoman, et le titre de propriété est au nom des rabbins Avraham Ashkenazi et Meir Auerbach. Jusque là, il est difficile de contester quoi que ce soit, sauf à considérer, comme en Allemagne nazie d’avant la Seconde Guerre mondiale, que confisquer les biens des juifs est légitime.
- Une petite communauté juive y a vécu pacifiquement en coexistence avec la communauté arabe locale jusqu’en 1948, lorsque la guerre contre l’indépendance d’Israël a été déclenchée par les pays arabes de la région.
- Les propriétaires juifs avaient tenté de faire enregistrer la propriété auprès des autorités du Mandat britannique en 1946, qui ont repris le flambeau régional après la chute de l’Empire ottoman, allié aux Allemands durant la Première Guerre mondiale.
- Lorsque la guerre d’indépendance a éclaté en 1948, la vieille ville de Jérusalem et ses environs – y compris Sheikh Jarrah – ont été occupés par la Transjordanie (aujourd’hui la Jordanie) et les familles juives ont été expulsées de force.
- La garde de la propriété juive a été transférée au gardien jordanien des propriétés ennemies.
- En 1956, le gouvernement jordanien a loué la propriété à 28 familles de « réfugiés » palestiniens, tout en restant propriétaire de la propriété ainsi illégalement confisquée.
- Après la guerre des Six Jours en 1967, lorsqu’Israël a libéré et repris le contrôle de Jérusalem, il a adopté une loi autorisant les Juifs dont les familles avaient été expulsées par les autorités jordaniennes ou britanniques dans la ville avant 1967, à récupérer leurs biens immobiliers, à deux conditions :
- qu’ils puissent prouver qu’ils en étaient propriétaires,
- et que les résidents actuels ne soient pas en mesure de fournir la preuve qu’ils ont acheté ou transféré légalement le titre de propriété.
Jusque là, nous nous trouvons dans un cas relativement simple de droit de propriété. Simple s’il ne s’agissait pas de juifs bien entendu.
- En 1973, le droit sur la propriété située à Sheikh Jarrah a été rendu aux légitimes propriétaires juifs, et le bien a été enregistré au nom du Comité de la communauté sépharade qui a pu présenter des titres de propriété légaux, contrairement aux occupants Arabes, qui n’avaient ni papier, ni titre, ni contrat de location, rien.
- En 2003, les propriétaires juifs ont vendu le bien à « Nahalat Shimon », une ONG israélienne qui cherche à récupérer les biens des Juifs expulsés ou forcés de fuir, suite à la guerre d’indépendance de 1948.
Procédure judiciaire : expulsion des squatters arabes
- En 1982, les propriétaires juifs (le Comité de la communauté sépharade et le Comité de la Knesset d’Israël) ont intenté un procès aux familles palestiniennes résidant illégalement et sans titre ni contrat à Sheikh Jarrah et ont exigé leur expulsion au motif qu’elles étaient des squatters.
- Le tribunal d’instance a déterminé que les familles palestiniennes, ne pouvant pas prouver qu’elles étaient propriétaires, bénéficiaient cependant du statut spécial de « locataire protégé ».
- Qu’est-ce qu’un « locataire protégé » ? C’est un concept socialiste (Israël s’est construit en partie sur des idées socialistes) qui stipulait que les Arabes pouvaient continuer à vivre sur la propriété tant qu’ils payaient un loyer et entretenaient la propriété.
- L’arrangement a fait l’objet d’un accord signé par les parties, dans lequel les locataires arabes ont reconnu que la propriété appartenait bien aux juifs, et les propriétaires juifs, que les Arabes bénéficiaient du statut de locataires protégés.
Cependant, comme les locataires Arabes avaient du respect de leur signature à peu près le même que celui de leurs promesses, en 1993, les propriétaires ont entamé des procédures contre les résidents en raison du non-paiement de leur loyer et de modifications illégales apportées à la propriété.
- En 1997, Suliman Darwish Hijazi, un Arabe palestinien, a tenté de contester la propriété à leurs propriétaires légaux sur la base d’un titre kushan (ottoman) qu’il aurait acheté à un Jordanien, al-Bandeq, en 1961.
Juridiquement, la demande de l’Arabe avait tout pour « plaire » :- Pour commencer, Hijazi, selon le jugement de la Cour, n’a pas pu démontrer que le titre qu’il possédait (kushan) correspondait à la propriété qu’il revendiquait de Shimon HaTzadik.
- Son titre de propriété (kushan) était falsifié.
- Hijazi n’a pas été capable de prouver qu’al-Bandeq à qui il disait avoir acheté le bien, en était le propriétaire !
- Enfin, Hijazi ne s’est jamais comporté comme s’il était le propriétaire du bien, tant pendant la période jordanienne qu’israélienne : il n’a pas enregistré son titre de propriété pour protéger son bien. Il n’a jamais perçu de loyer, et il n’a jamais payé les impôts fonciers.
Un titre de propriété sans équivoque
Un document en anglais du ministère jordanien des Affaires étrangères et des expatriés prouve que les propriétés du quartier Sheikh Jarrah de Jérusalem appartiennent à des Juifs.
Le contrat entre le Royaume de Jordanie et l’Office de secours et de travaux des Nations Unies en 1954, publié l’année dernière par l’agence de presse officielle jordanienne Petra, documente un accord pour un « projet de logement urbain du quartier Sheikh Jarrah, Jérusalem ».
Le document officiel jordanien prouve la propriété juive des maisons actuellement contestées, avec des tampons officiels à jour prouvant son authenticité juridique.
Conclusion
A supposer que l’acte de vente soit authentique (ce que le tribunal a contesté), al-Bandeq a vendu à Hijazi un bien qui ne lui appartenait pas, pour une propriété qui n’était pas située à Sheikh Jarrah, pour laquelle Hijazi ne s’est jamais conduit en propriétaire, et aujourd’hui, Palestiniens et Occidentaux déclenchent des violences à Jérusalem pour faire reconnaître leurs « droits » sur ces terrains.
Et les ONG accusent Israël d’occuper et d’annexer ces terres arabes…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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les Goodies Dreuz.info
- https://www.ilfngo.org/sheikhjarrahalegalbackground
- Israël est l’occupant légal de la Cisjordanie, dit la Cour d’appel de Versailles
merci pour cet excellent article qui permet de connaitre la vérité loin de la propagande qui nous est déversé dans les médias gauchistes .
Jérusalem est et restera la capitale éternelle et indivisible d’Israel
Merci pour cette réinformation loin de la propagande gauchiste malhonnête …
Les musulmans utilisent ce prétexte pour justifier la nouvelle flambée d’antifada qui sévit à Jérusalem. Et bien entendu, ils mentent, comme toujours :
« ….le mensonge est pour les Arabes un stratagème aisé, c’est la défense la plus spontanée pour égarer son ennemi ; la mentalité arabe n’a qu’indulgence pour la bouche menteuse…… « (Charles Doughty, Arabia Deserta, 19ème siècle)
C’est pire que ça : la langue arabe compte plein de mots à double sens contradictoires entre eux:
En Français on a par exemple « hôte » qui peut désigner à la fois celui qui reçoit et celui qui est reçu, et le contexte lève l’ambiguité souvent: En arabe, les grammairiens appellent ces mots des addad, et il y en a tellement qu’il est souvent possible de dire « ah mais ce n’est pas ce que j’ai voulu dire », si possible sur un ton indigné qu’on ait pu penser autre chose:
L’exemple le plus simple est « djihad »: A chaque fois que le contexte est clair, par exemple après un massacre, et que des gens débattent versets violents sous les yeux, il y a toujours un pervers pour tuer la discussion « ah mais non, vous n’avez rien compris, le djihad, c’est avant tout un cheminement intérieur », etc:
Désolé pour la typo, mais Dreuz a fait une modification récente de son système et ça met des doubles points partout:
Mettre fin à la mainmise jordanienne sur le Mont du Temple, clarifierait la situation et mettrait fin aux prétentions arabes sur Jérusalem.
Quitte à aller au conflit, autant que cela rapporte, plutôt que d’accepter les revendications mensongères et incessantes de ces escrocs mahométans.
Il vaut mieux une crise internationale retentissante que cette hypocrisie sans fin.
Israël devrait tant qu’à faire fermer le clapet des français en nationalisant certaines propriétés…
Curieux tout de même que depuis l’arrivée de Biden au pouvoir, le monde s’enfonce à nouveau dans la merditude !
et ça n’ a rien d’une coincidence .Car à chaque fois que l’ Amérique a un président faible qui ne défend plus les valeurs Judéo Chrétiennes , le monde va mal . ça c’est toujours vérifié .
Dans les années 70 quand le nullos Carter était au pouvoir , c’était le chaos sur la planète avec la prise d’otages en Iran et puis l’ URSS qui gagnait du terrain ensuite Reagan a remis de l’ordre et gagné la guerre froide .
A l’arrivée d’Hussein O au pouvoir pareil , chaos sur la planète : naissance de l’Etat islamique , attentats, déclin de l’occident .
Puis arrivée de Trump au pouvoir qui remet de l’ordre et redonne confiance à l’occident . Là c’est reparti avec le faible Robinette . Les muzzs savent que les USA sont affaiblis et en profitent pour nuire à Israel
Bravo, la repose le noeud du probleme !
Trump 2024 si le processus electoral est retabli dans son integrite (dirigeants de dominion a Guantanamo)
Et si le GOP reprend le Congrès…
Malheureusement le gouvernement Biden, dévoyé et usurpateur, a rouvert le robinet à dollars en direction des palos et finance ainsi les attaques qui reprennent.
Que notre Dieu protège son peuple, lui donne la victoire et confonde les méchants et les menteurs, amen.
Évitez de mettre en titre « oubliez la désinformation… », ça fait complotiste et pas sérieux.
Sinon le reste est nickel comme toujours !
Si j’ai bien compris, la véritable raison des expulsions serait le racisme ? J’ai déjà entendu cet argument quelque part… 😀
Et encore une fois : il n’y a pas plus de « Cisjordanie » que de beurre sur ma main. Ce nom fut inventé parce qu’il aurait été difficile de prétendre que les Israéliens « occupent » la Judée et la Samarie, terres des Juifs et des Samaritains qui les ont fondées. Un peu comme si l’on prétendait maintenant que Saint-Denis (93) est occupée par ‘les Croisés’.
Je suis allée il y a trois ou quatre ans, en quelque sorte en pèlerinage, regarder l’immeuble de Saint-Denis où ma grand-mère a habité quasiment toute sa vie. Un monsieur en djellaba qui allait y entrer me demande pourquoi je regarde l’immeuble. Je lui explique. Si vous aviez vu sa tête. Il n’arrivait pas du tout à croire que j’avais une grand-mère qui avait habité là. Il faut dire que j’ai un teint de cachet d’aspirine.
Tiens, moi aussi mes grands-parents habitaient Saint-Denis (rue Riant) et nous allions souvent leur rendre visite le dimanche. Il y avait déjà à l’époque (dans les années 50) quelques Arabes dont ma grand maman avait grand peur – et mon père, travaillé par la propagande socialiste, se moquait de ses craintes.
La vraie cause, c’est le ramadan, le reste, c’est le premier prétexte trouvé et monté en épingle:
Mention spéciale à l’AFP et au Figaro (qui vient tout juste d’atténuer) qui ont publié un article : « Au moins 20 morts et plus de 100 blessés à Gaza lors de frappes israéliennes », le début de l’article mettait en exergue la mort d’enfants, et il fallait non seulement lire le second paragraphe pour qu’il soit question de tir de roquettes depuis Gaza vers Jerusalem, mais encore ils étaient mentionnés comme « barrage de roquettes », c’est-à-dire un feu destiné à empêcher toute progression de l’ennemi, alors qu’il s’agissait d’une agression pure et simple sans provocation d’aucune sorte: Abjection totale des Palos, de l’AFP, et du Figaro
les médias français sont à vomir
On peut regretter aujourd’hui que le problème de la cohabitation avec les Palestiniens ne soit pas résolu avant la création de l’état d’Israël en 1948…
Quels Palestiniens? Personne n’avait jamais entendu parler de Palestiniens avant les années 60. Il s’agit d’un mythe inventé à Moscou pour des raisons purement politiques.
Dans cette région du monde, il n’y a jamais eu que des états juifs. A une certaine époque, il y en a même eu deux, côte à côte.
Les « palestiniens » n’ont jamais existé. Il y avait là des Egyptiens, des Syriens, des Irakiens…
Je constate que dans les zones de non droit françaises, beaucoup d’habitants se comportent comme les palestiniens en agressant les dépositaires de l’autorité de l’État français.
Mais le paiement des loyers est une question dont on n’entend jamais parler.
Ce qui signifie que pour le moment ces loyers sont payés.
Allocation logement (entre autres).
Quand Trump était Président, il n’y avait pas de gros incidents et, à peine Biden en place depuis 3 mois que le conflit reprend. C’est ce que je craignais.
tout cela est bien trop difficile à comprendre
plus simple est de dire qu’israel est raciste, le juif aux doigts crochus s’emparant du monde entier ça c’est compréhe,nsible
J’étais loin de me douter du fond de l’histoire… Merci pour toutes ces explications.
Merci pour ce rappel historique qui met l’église au milieu du village !
Il me semble qu’il y a en arrière plan un autre problème. Les Accords Abraham entre Israël et plusieurs pays arabes ont fait comprendre aux colons arabes, appelés Palestiniens depuis que Gamall Abdel Nasser le suggéra en 1948, qu’ils ne sont plus soutenus par les pays arabes et notamment l’Arabie saoudite, Mohammed Ben Salmane ayant décidé que la guerre israélo -palestinienne a assez duré, les Palestiniens refusant la solution des deux États car ils revendiquent la totalité de la Palestine qu’ils prétendent dar el islam. Alors qu’il s’agit d’une terre juive depuis 3000 ans. MBS a associé Israël à son projet Néom, puis en accord avec D.Trump ils ont imaginé les Accords Abraham et d’autres pays arabes ont suivi, jusqu’au Maroc et au Soudan. Tous fatigués de toujours payer pour ces Palestiniens qui ne font rien, ne produisent rien.
Cela pour faire pression sur les Palestiniens. Mais ils perdraient leur situation bien confortable, entretenus financièrement par par l’Europe et l’Onu, armés par l’Iran qui se sert d’eux pour tenter de détruire Israël.
Il fallait un prétexte pour attirer à nouveau l’attention de leurs généreux donateurs imprégnés de marxisme, ils l’ont trouvé avec cette histoire de loyers non payés et d’expulsion des familles qui refusent de les payer.
Merci d’avoir fait remonter cet article!
Sur ce, il est écrit: « en l’absence de loyer payé par les locataires, ces derniers doivent être expulsés : n’est-ce pas la même chose partout dans le monde ? » Non malheureusement, cela ne l’est plus! vous venez de mettre un article au sujet de cette Parisienne qui s’est immolé pour attirer l’attention sur son bien occupé par des squatteurs et pour lequel elle doit payer les taxes. En Italie, à Rome, il y a un mois, un monsieur âgé est hospitalisé une semaine, quand il revient son appartement est occupé par une Rom. Il ne peut l’exclure car elle a changé la serrure! Et doit l’attaquer en justice (il vient de gagner).
Que l’Histoire des Juifs ne soit pas effacée.