Publié par Guy Millière le 22 janvier 2022

Je dois dire que je suis profondément consterné par ce que je lis et entend presque sans cesse concernant la pandémie née du coronavirus chinois.

Je pense souvent aux conversations que j’ai pu avoir avec des amis aujourd’hui disparus, Jean-François Revel, dont le livre La connaissance inutile devrait être relu plus souvent par des gens qui oublient que la connaissance implique scrupule, humilité, opiniâtreté : nous avions déjeuné ensemble chez Pierre Gagnaire et je l’avais raccompagné chez lui sur l’ile Saint-Louis. Vladimir Boukovski, qui m’avait longuement parlé dans un café de Montparnasse de la façon dont la propagande totalitaire fonctionnait. Quand j’ai envisagé d’adapter en langue française, avec Raoul Audouin, La présomption fatale de Friedrich Hayek, qui était dans les dernières années de sa vie, je me souviens de ce qu’il m’avait dit sur le métier de penseur, sur la vanité de ceux qui pensent savoir et qui ne savent rien. C’était dans son bureau, à Fribourg en Brisgau. Il y a plus de trente ans déjà. Dans la seule conversation, trop brève, que j’ai eue, sur les hauteurs de Santa Barbara, avec Ronald Reagan, que j’avais rencontré grâce à mon ami Martin Anderson, qui fut son principal conseiller à la Maison Blanche, je me souviens qu’il avait insisté sur le fait que la liberté et la connaissance sont sans cesse en danger et doivent sans cesse être défendues. Martin, qui a écrit la meilleure histoire des années Reagan jamais publiée, Révolution, venait de publier un livre exposant les ravages de la gauche au sein de l’université, et il me l’avait dédicacé en me définissant comme un “genuine intellectual”, ce qui m’avait beaucoup touché.

J’écrirai peut-être un jour mes souvenirs. Avant qu’il soit trop tard pour cela.

J’ai constaté en tout cas des milliers de fois à quel point la connaissance était inutile dans le monde contemporain, et à quel degré la propagande totalitaire pouvait se montrer efficace. J’ai constaté tout aussi souvent la vanité dont parlait Friedrich Hayek et la justesse des paroles de Ronald Reagan.

Un autre dissident russe dont j’ai traduit des textes du russe, Alexandre Zinoviev, m’avait dit au moment de la chute de l’Union Soviétique : le serpent change de peau, mais il reste le même serpent. Et il avait ajouté que le totalitarisme semble disparaitre, mais persiste toujours, sous d’autres atours.

Je n’ai jamais transigé avec la vérité, et cela m’a souvent coûté très cher. Il en est ainsi dans les époques crépusculaires.

Je continue malgré tout. Je suis un homme libre. Je suis boycotté par les grands médias, mais je ne dépends financièrement de personne. Je vis dans ce qui reste, malgré Biden, le pays le plus libre du monde, là où je l’ai choisi.

Je regarde de loin les divers visages du totalitarisme présents sur la planète aujourd’hui.

On ne prévoit jamais l’inattendu, et la pandémie de coronavirus a été l’inattendu que nul n’avait prévu.

J’ai quasiment tout de suite vu qu’elle était autre chose qu’une pandémie.

 Les manipulations de chiffres ont été vite flagrantes, les occultations de données ont été vite flagrantes aussi. La principale puissance totalitaire du monde contemporain a été impliquée d’emblée.

Très vite, de grands scientifiques ont dit la vérité, de façon vérifiable, et ils ont été aussitôt insultés, diffamés, sur un mode que toute personne qui n’ignore pas l’histoire des totalitarismes comprend immédiatement, la politisation de la science a pris immédiatement le dessus. Des décisions politiques sans le moindre fondement scientifique ont été prises. Une destruction de la liberté et de la connaissance s’est enclenchée. Une psychose de masse s’est mise en place et des gens intelligents me sont apparus soudain échapper à toute logique. J’ai observé. En politologue et en anthropologue. J’ai écrit sur le sujet. J’ai eu le sentiment que c’était vain.

Deux années plus tard, nous sommes dans un monde occidental très détérioré.

Je pourrais regarder le naufrage qui vient, particulièrement marque en Europe et m’en navrer, sans rien dire. J’ai écrit un livre appelé Comment meurt une civilisation, et ce qui se passe n’est qu’un chapitre de la mort qui vient. Je ne puis me résoudre à cette attitude.

Peut-être renoncerai-je pour consacrer les années qu’il me reste à vivre à autre chose. Des romans… Pour l’heure, je n’ai pas renoncé. Je pense que nous sommes face à une entreprise totalitaire d’un nouveau type, de dimension planétaire, et je pense que l’expression great reset énoncée par Klaus Schwab en est l’emblème.

Comprendre implique une analyse et un regard froid sur ce qui se passe.

Je publie demain ici un long texte sur le sujet.  Sachant que certains ne le liront pas jusqu’au bout (il est très long), j’entends en préliminaire souligner ici certains points essentiels. Dans le texte que je publie demain, les preuves de ce que j’écris figurant, je ne les mets pas ici :

  • une guerre biologique a été menée par la Chine, qui a provoqué des dizaines de milliards de dommages et tué des millions de gens. Plus personne n’en parle.
  • l’OMS a ajouté une guerre psychologique en disséminant des chiffres de létalité faux destinés à paniquer. Plus personne n’en parle.
  • quasiment tous les gouvernements occidentaux ont disséminé une peur de la mort et mené des politiques totalement contraires au droit, à la démocratie et à la science. Ils ont été assistés par des médecins corrompus qui ont entériné un usage politique de la médecine, et les médecins non soumis aux diktats politiques ont été exclus, ce qui est sans précédent dans les sociétés démocratiques.  Ils ont été assistés aussi par des médias transformés davantage encore en organes de propagande. Les dommages infligés au droit, à la démocratie, à la science, à la médecine, à l’information sont d’une gravité absolue.
  • des traitements qui soignent ont été occultés et souvent interdits suite à des campagnes de diffusion de falsifications. Des médecins qui soignent ont perdu le droit d’exercer. Des millions de personnes sont mortes qui n’ont pas été soignées et que l’interdiction de médicaments ont condamné à mort : 80 à 85 pour cent des morts au total n’auraient pas dû mourir. C’est un crime de masse qui a eu lieu.
  • les vaccins ont été présentés comme la panacée. Ce sont des produits expérimentaux encore en phase d’expérimentation. Ils n’empêchent, on l’a vite su, ni d’être contaminé ni d’être contagieux. Ils sont censés empêcher les formes graves : c’est peut-être le cas, mais s’ils n’existaient pas, les traitements qui soignent empêchent les formes graves et n’ont pas d’effets secondaires.

Les vaccins ont des effets secondaires parfois graves, parfois mortels, qui sont eux-mêmes occultés. Dans le passé l’utilisation de produits expérimentaux provoquant moins d’effets secondaires a été suspendue.  

Les vaccins ont conduit presque partout à des passeports vaccinaux qui sont des moyens de contrôle social.

Une psychose de masse a été créée, oui, qui a suscité des phobies irrationnelles dignes de celles utilisées par des régimes totalitaires, oui encore. Des chiffres qui sont tous sujet à caution circulent (j’explique pourquoi ils sont sujets à caution dans le texte) et nous sommes face à un grave danger pour la liberté et la connaissance. Ce danger est le plus grave auquel liberté et connaissance ont été confrontés depuis la fin de l’empire soviétique.

Le great reset est un projet néo-communiste planétaire.

Tous les détails demain. Ceux qui liront, peu m’importent les autres. Et peu m’importent ceux qui, emportés par la psychose de masse choisiront de m’insulter. Je tente de donner à comprendre. Le reste n’est pas de mon ressort.

Ceux qui veulent voir en moi un fou, un charlatan ou un complotiste en ont le droit le plus strict. Je suis prêt si cela leur fait plaisir à leur dire qu’ils ont infiniment plus de culture que moi et que je suis très bête. J’aime faire plaisir

Et je suis même prêt à leur dire qu’ils ont un savoir médical infiniment plus élevé que les plus grands professeurs d’épidémiologie de la planète.  Quand j’ai affaire à de purs génies je n’insiste pas.

Je pense tout juste en pareil cas à la formule d’un fou, un charlatan et un complotiste du seizième dix-septième siècle : Eppur su muove.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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