Dans un article publié pour le Global and mail, Gary Mason explique que la “liberté” est une arme d’extrême droite.
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Sous le prétexte de dénoncer les convois de la liberté organisés par des camionneurs qui utilisent le moyen dont ils disposent pour faire entendre leur voix – rien ne révulse plus la gauche que lorsque la droite emploie les mêmes méthodes de protestation civiques qu’elle – le journaliste dénonce à la fois les partisans des convois de camions, et le candidat conservateur Pierre Poilievre, à qui il reproche de vouloir défendre la liberté.
“Si vous avez regardé une partie de la vidéo du député conservateur fédéral Pierre Poilievre annonçant sa candidature à la direction de son parti”, écrit Mason outré, “vous avez pu discerner un thème : la liberté”.
Pour bien montrer l’ampleur du problème, il a compté le nombre de fois où ce gros mot a été employé par le député :
Des variations de ce mot ont été utilisées neuf fois dans sa [Poilievre] prestation de trois minutes.
Il met en garde contre le danger que représente Poilievre : ce fou va détruire le Canada car il veut apporter une liberté que le pays a perdue.
S’il est élu et réussit finalement à devenir Premier ministre, M. Poilievre a promis, entre autres, de faire des Canadiens le “peuple le plus libre sur terre”, avec “la liberté de faire ses propres choix en matière de santé et de vaccins, la liberté de parler sans crainte”.
Pour un socialiste, c’est effectivement une grande menace. Imaginer un pays où les gens retrouveraient plus de liberté est un cauchemar, l’antithèse même du système de gouvernement central qui décide pour chaque citoyen ce qui est bon pour lui, parce que les élites savent mieux que vous ce qui est bon pour vous. Vous en France subissez cela avec la Sécurité sociale, et il aura fallu le vaccin anti-virus chinois pour que vous vous en rendiez compte (et je ne sais même pas si tous se rendent compte que le vrai scandale n’est pas le vaccin obligatoire, mais la Sécurité sociale obligatoire).
Mason est scandalisé : les partisans de droite ont scandé le mot tabou, en public :
Lors des dernières élections fédérales, le chef du Parti populaire du Canada Maxime Bernier, l’actuel porte-drapeau de l’extrême droite dans ce pays, a été accueilli par des chants de “liberté, liberté” lors de ses arrêts de campagne.
Liberté, concept d’extrême droite
“La liberté, en tant qu’idéologie, a été appropriée par l’aile MAGA (Make America Great Again) du parti Républicain américain” dénonce Mason, pour montrer à quel point il faut s’en détourner.
Ne pouvant pas se retenir, Mason, qui représente le courant de pensée de la gauche aujourd’hui, lâche le morceau et révèle le fond de sa pensée : le mot liberté est d’extrême droite :
Le mot “liberté” se retrouve sur la plupart des pancartes vantées par les manifestants. Pour beaucoup, c’est un mot qui est devenu l’arme de choix de l’extrême droite dans la guerre des cultures.
La liberté, “concept égoïste et malveillant”
Je ne pensais pas que le journaliste puisse descendre plus bas. Je me trompais. Il écrit :
La liberté, bien sûr, n’a pas toujours été un concept usurpé à des fins égoïstes et malveillantes. Elle a été le cri de ralliement de grands triomphes tels que la fin de l’esclavage et le mouvement des droits civiques. Mais d’autres ont cru que la liberté consistait à protéger les droits de propriété, même si cela devait se faire au détriment de la démocratie.
La liberté pour les idées que la gauche rejette, vous plaisantez ?
“Plus récemment, des dirigeants politiques et d’autres personnes, disposant d’un mégaphone sans précédent sous la forme de l’internet et des médias sociaux, ont utilisé l’appel à la “liberté” pour promouvoir des idées bigotes, racistes et antidémocratiques”, dit Mason, qui a oublié qu’il est loin, le temps où le public acceptait l’autoproclamation que la gauche est le détenteur de la morale.
La liberté soutient de souhaits “controversés”
Gary Mason met en garde contre la liberté car elle risque de faire valoir des projets que les socialistes n’aiment pas.
En tant que stratégie, il [Pierre Poilievre] offre une ligne de soutien pour sa candidature à la direction. L’aile sociale conservatrice du parti applaudirait certainement son mantra de liberté et pourrait être séduite en pensant qu’en M. Poilievre, ils ont quelqu’un qui va promouvoir leur liste de souhaits controversés (voir : interdiction des avortements) écrit Mason. De plus, le cri de liberté sera bien accueilli par la base du parti dans les régions rurales de l’Ouest canadien, une faction qui est de plus en plus amère et en colère.
La liberté traînée dans la boue pour sauver la dictature socialiste molle
Dégoûté des risques que comporte la liberté, le quotidien conclut ainsi :
En courtisant les manifestants, M. Poilievre prend un énorme risque. Mais, comme on l’a écrit, la liberté n’est qu’un autre mot pour dire qu’il n’y a plus rien à perdre.
Méfiez-vous de la liberté, elle pourrait vous apporter quelque chose d’humain que combattent les socialistes. Cela s’appelle la liberté individuelle.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Excellent article ! Merci infiniment. Les socialistes et tous les gens de gauche sont extrêmement dangereux derrière leur rhétorique de justiciers sociaux et de saints du camp du soi-disant bien. Je suis donc fier d’être d’extrême-droite en tant qu’anarcho-capitaliste. Je ne sais cher JPG si vous entendez parler de Popol Magnette, bourguemesse de Charleroi, capitale des barakis, et ancien minustricule-résident de la République franc-maçonne de Walbananie. Popol vient de déclarer avant-hier sans blague qu’il faudrait supprimer l’e-Commerce. On dira que c’est un effet d’annonce. Pas tant que ça. Pour se justifier, Popol, le justicier social au profil de Joe Dalton, a déclaré sans rire encore une fois que l’e-Commerce n’est utile que pour commander ce qu’on ne trouve pas dans les magasins. C’est bien pour ça que je ne vais pas dans les librairies comme Chez Molière à Charleroi car on n’y trouve que des torchons qui encensent tout le mal que fait la gauche. Mais voici le lien vers les délires de Popol: Paul Magnette : “Le grand commerce en ligne est une concurrence terrible pour notre commerce local” (rtbf.be) Evidemment, la bonne presse subsidiée aux ordres tente de rattraper le coup en disant que Popol a voulu provoquer et qu’il serait trop intelligent pour penser réellement ce qu’il a dit. Je n’y crois pas une seconde. Popol avait aussi en son temps dénoncé l’accord CETA entre l’UE et le Canada ! Avec des manifestations qui ont bloqué Bruxelles au nom de la…”solidarité envers les travailleurs” alors que le PS est opposé aux convois de la liberté. Le fascisme a de beaux jours devant lui.
Popol est suffisamment intelligent pour dire une chose et son contraire. Il a participé au déclin des petits commerces en acceptant cette classification en essentiel et non essentiel (les grands magasins restaient ouverts, eux); ce qui aura précipité les gens vers l’e-commerce puisqu’acheter des sous-vêtements ou des lacets chez un commerçant de chair n’était pas essentiel. Il a bien participé aussi à la destruction des rues commerçantes du centre ville!
PS. Je confirme pour la librairie Molière, il faut bien chercher le livre de Destexhe ou de Zemmour… derrière les livres sur Obama, Clinton, etc.
Effectivement, la popote de notre apprenti Popol Pot et de ses potes, c’est pas du joli. Charleroi, c’est “dévastopol”. La librairie Molière, c’est le symbole d’une censure qui ne dit pas son nom mais elle n’en a pas le monopopol. C’est comme ça partout ailleurs: FNAC, Waterstone, Libris-poil au clitoris, Furet du Nord, etc.
Remarquez, il n’a pas tout à fait tort. Effectivement la droite tend idéalement à défendre le concept de liberté (parfois dangereux si on en profite pour ne penser qu’à la sienne et écraser les autres), tandis que la gauche défend l’égalité (sympa si c’est l’égalité devant la loi, nettement moins si c’est pour brimer les premiers de la classe). Pour concilier les deux, on pourrait saupoudrer la recette d’un brin de fraternité, mais c’est plus facile à prendre comme devise qu’à appliquer.
Quel concept, quel mot a pu être plus galvaudé ou exploité à travers l’Histoire, alors que nous sommes bien incapables de la définir ou de même savoir si elle existe:.
Faux. Le terme “liberté” est tès bien défini comme suit:
1) Situation d’une personne qui n’est pas sous la dépendance de quelqu’un (opposé à esclavage, servitude), ou qui n’est pas enfermée;
2) Possibilité, pouvoir d’agir sans contrainte ; autonomie. Exemples: liberté de décision, d’action, d’entreprendre, de penser, de réagir, de créer, etc.
La Liberté est ma seule idéologie. Bien sûr, il y a des règles de déontologie liées notamment à la Liberté d’autrui. Mais c’est la seule limite telle que le prévoit le Droit naturel. Le socialisme et l’étatisme n’ont rien à voir avec les libertés, celles-ci ne procédant pas de l’état, ni d’une quelconque autorité.
Ceux qui ont le plus galvaudé le terme de “Liberté” sont les socialistes et les communistes, tous soi-disant progressistes. En 80 ans, ils ont fait plus dégâts à tous points de vue que tous les autres en 20.000 ans d’Histoire humaine.
Le socialisme et l’étatisme sont stériles car ils ne créent rien et n’ont jamais rien créé. Ce sont des engeances.
Je n’oublie pas l’islam qui malheureusement est une idéoogie totalitaire.
Paul Valery disait “liberté, c’est un de ces mots détestables qui ont plus de valeur que de sens”
J’ai l’impression de me retrouver à 20 ans avec des copains et une bonne bouteille à disserter sur les concepts de liberté, vérité etc
Si à titre personnel et considérant le monde dans lequel on vit je me sens assez proche de votre définition, est-ce vraiment la liberté?
Est-on libre lorsque l’on doit passer la majeure partie de notre temps à assurer les éléments de base de la vie ou survie : un toît, une sécurité, de l’alimentation:… ou de rentrer l’argent nécessaire pour assurer cela?
Est-on libre en tant qu’espèce grégaire qui doit prendre en compte les aspirations de tous, ou du moins de la majorité, afin d’établir des règles (donc contraire à la liberté) communes permettant la vie ou la survie du groupe?
Les seules liberté dont nous pouvons encore jouir est la liberté biologique (rester en bonne santé et ne pas être prisonnier de son corps) et la liberté de conscience (pas forcément celle de l’exprimer):. Le reste des libertés (entreprendre, s’exprimer, vivre:..) sont soumise à des règles, que nous sommes libres d’accepter ou non à nos risques et périls, mais est-ce encore de la liberté?
Désolé pour le Doliprane en ce dimanche
Je ne suis que partiellement d’accord avec vous. En effet, vous semblez oublier la notion de responsabilité qui fait aussi partie de la liberté. Rien ne se fait sans effort. Quelle place êtes-vous prêt, vous-même, càd. de votre propre chef, à consentir à l’effort et à la prise de responsabilité dans le respect des autres? Je définis le fascisme d’aujourd’hui comme étant l’imposition à chaque individu de contraintes, de règles et de directives de plus en plus intrusives, de plus en plus lourdes, de plis en plus arbitraires, de plus en plus abjectes et de plus en plus inutiles car non-demandées, non-réclamées mais que les élites érigent en valeurs à travers leur communication de masse pour les rendre acceptables. La recherche absolue de ce qu’ils appellent le “bien commun” et de la “justice sociale”, leur obsession pour l’égalité, leur inclination aussi systématique qu’étrange vers une solidarité obligatoire à travers un assistanat généralisé, leur prétention arrogante à mieux savoir que l’individu ce qui est bon pour lui, leur validation des “faux droits” sous peine de subir la cancel culture, c’est tout ça que j’appelle “fascisme” aujourd’hui et que je rejette au nom de ma liberté de choisir ma voie pour ME réaliser. Cela n’empêche pas l’empathie et le partage mais uniquement dans le cadre individuel càd. privé en fonction de choix assumés et de convictions intimes. Si on signe un contrat, on doit s’y conformer. Des règles, oui, mais au minimum, afin d’assurer le bon fonctionnement des choses, un peu comme on monte un moteur, càd. dans un ordre précis afin qu’il fonctionne. Mais rien n’est en trop. La crise du Covid a rajouté la dernière couche de cette pression étatique, celle de trop en réalité. Ils sont allés trop loin. Je ne suis pas prêt à accepter davantage (ex. voitures électriques) si je n’ai pas le choix. Ca n’ira pas car ça ne passera pas. Dans ce petit pays devenu médiocre, on sait où les politiciens habitent et il y en a tellement qu’il n’y a pas assez de flics pour protéger toute cette boue. Et donc, les représailles ne vont pas que dans un seul sens. Sinon, il n’y aurait jamais de révolution.
Sur le fond, dans la vraie vie et avec mes valeurs, je suis en accord avec vous:. Si l’on pousse le concept, cela se rapproche un peu de l’anarchisme quelque part:. Liberté totale avec auto-responsabilité:. Voire même d’un certain anarcho-libéralisme qui n’assignerait à l’état que et uniquement des fonctions régaliennes (sécurité, armée en gros)
Mon commentaire précédent visait à illustrer le fait que la vraie liberté pourrait être considéré inexistante et impossible justement par ces responsabilités et contraintes indispensables à une vie qu’elle soit en communauté ou même seul (responsabilité et obligation de se chauffer, s’abriter, se nourrir etc)
Les philosophes en débattent depuis au moins Epicure:…
Ceci est peut-être paradoxal et ça l’est: la liberté, cher briniou, elle a un prix. Ce n’est pas faire ce qu’on veut comme on veut quand on veut. On ne vit pas non plus d’amour et d’eau fraîche et la connaissance, càd. apprendre à connaître, ce n’est ni aisé, ni inné. Mais vous voyez qu’au final nous sommes bien d’accord sur le fond.
Tout à fait d’accord avec vous
Le pire “enfant-de-chienne” cassant de liberté 🗽 au Québec est Richard Martineau ses brùlots écrits dans le Journal de Montréal .Lui aussi les camionneurs, les gens ordinaires les affamés légitimes de la Liberté “d’extrême-droite” les ridiculisants en leur disant comme un autiste , oun ,mais regardez les autres pays où vous ne pourriez pas manifester librement …….. (sic) .
Martineau est au journaliste ce dont les coquerelles sont aux épiceries mal-famees .
Ce n’est pas un scoop : la gauche n’a jamais défendu la liberté !
Que ce soit Staline en envoyant opposants et intellectuels au goulag, Pol Pot en genocidant la moitié de la population cambodgienne, ou Mao en peuplant les territoires conquis de communistes fervents et en parquant les autres au « Laogai », la gauche a toujours eu pour but premier de détruire les citoyens des pays qu’elle dirigeait pour façonner « un homme nouveau », sorte de zombie manipulé par la nomenklatura au pouvoir.
Il est temps de s’en apercevoir, et de constater que le langage de Macron était identique, lui qui voulait en finir avec l’ancien monde !
On voit le résultat.
C’est effectivement assez fou (“Au secours, ils sont fous”) de rejeter à l’extrême-droite ceux qui défendent la liberté et les fascistes! La société fasciste était donc une société où l’individu était libre?
Gary Mason est encore un de ces journaleux répugnants dont la bouche a la même odeur que le derrière !
Pour un tel apparatchik, liberté ne rime pas avec responsabilité individuelle mais plutôt avec obéissance collective au prince. Triste cire pompes.
sur une chaine du service public en france, invité un québécois qui aussi voyait des “extrême droite” partout, il n’a pas osé parler de kkk mais il en mourait d’envie. quant au français il a tourné autour du pot pour dire que le convoi de la liberté en france était un amalgame de raleurs
L’agitation de la menace fantasmatique de “l’extrême-droite” est devenue le dernier, seul et unique “argument” de la gauche pour essayer de justifier son existence et défendre son programme débile et ses lubies. Disqualifier les contradicteurs ou les idées contraires à leurs slogans en leur collant une étiquette qui se veut infamante, en agitant la peur pour masquer le vide sidéral de la pensée derrière leurs propositions stupides et ineptes.
Cela me rappelle les affiches nazies “Sieg! Oder bolchewismus!” sorties quand il était devenu clair que l’Allemagne était sur le chemin de la déroute, quand Goebbels appelait à une “guerre totale” – en fait au suicide et à la destruction à défaut de pouvoir gagner.
Pour reprendre la métaphore polémo-stellarienne de Pécresse, “l’extrême-droite” c’est devenu la menace fantôme agitée hystériquement par les poupées mécaniques gauchistes. Un gimmick compulsif.
Samedi le neuneu écolo pastèque Jadot nous a ainsi sorti que “le nucléaire c’est d’extrême-droite”:
J’ai aussi entendu que “manger de la viande c’est d’extrême-droite”. C’est sûr que le végétarisme c’est de gauche : d’ailleurs les nazis le prônaient via les campagnes sanitaires de la KDF. Comme le retour à la nature et à une agriculture traditionnelle, “à l’ancienne”, le localisme, etc…
Bref, tout ce qui contrarie et contredit les lubies gauchistes est d’extrême-droite!
Chers amis gauchistes, je vais vous confier un secret. Mais en fait vous inconsciemment vous le savez déjà : le monde réel, la vraie vie, la réalité sont “d’extrême-droite”.
Ce que vous appelez “l’extrême-droite”, c’est juste le réel qui refuse obstinément de rentrer dans les schémas préfabriqués et irréalistes de vos lubies délirantes d’adolescents en crise.
Ce que vous appelez “fascistes” (comme les ados “rebelles” quand leurs parents leur refusent quelque chose), ce sont juste les gens qui ont les pieds sur terre et voient la réalité telle qu’elle est.
Le raisonnement de ce Gary Mason est de toute façon aporétique : en effet, il stigmatise la liberté quand elle défend le droit de propriété.
M. Mason devrait relire les constitutions américaine et françaises, et la déclaration des Droits de l’Homme. Elles commencent toutes par garantir le droit de propriété.
Et pour cause : il m’a fallu longtemps pour comprendre que ce qui garantit la liberté des individus, c’est justement la propriété. Si tu n’as rien, ou même seulement trop peu, tu n’es pas libre.
Comment pourrais-tu l’être si tu dépends entièrement pour ta survie, ta vie même, des autres, ou d’un Etat communiste qui te dispense ce dont tu as besoin selon son bon vouloir et à condition que tu obéisses?
Cette seule et unique constatation, évidente une fois qu’on l’a réalisée, suffit à démontrer que socialisme, communisme, et autres totalitarismes dont l’obsession est de te déposséder de tout et même du reste ne peuvent être que des régimes despotiques ennemis de la liberté, où règne l’arbitraire , dans lesquels personne n’est libre, tout le monde est esclave – sauf bien sûr ceux qui sont aux postes de direction.
L’expérience l’a démontré.
Retenez bien ceci, cette vérité fondamentale : la propriété, C’EST la liberté. En tout cas sa condition nécessaire, car elle confère l’autonomie et l’indépendance. Je suis maître chez moi.
+ 1000 et bien formulé en plus merci