Publié par Magali Marc le 25 mars 2022

Ketanji Brown Jackson est une avocate et juriste américaine gauchiste, devenue juge fédérale en 2013. Elle a été proposée pour devenir membre (juge assesseur) de la Cour Suprême des États-Unis par Joe Biden en juin 2022. Elle passe ces jours-ci devant la commission judiciaire du Sénat chargée d’examiner et de confirmer sa candidature. Si sa nomination est confirmée, elle sera la sixième femme et la première femme noire à siéger à la Cour Suprême des États-Unis .

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Andrea Widburg, paru sur le site d’American Thinker, le 24 mars.

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Tucker Carlson s’en prend à Ketanji Brown Jackson, au transgenrisme et à la tyrannie des médias sociaux

Avant même la déclaration extraordinaire de Ketanji Brown Jackson, selon laquelle elle ne sait pas ce qu’est une femme, j’avais déjà conclu qu’elle était une mauviette et, en réalité, l’équivalent judiciaire de Kamala Harris : une femme noire sans inspiration qui a gravi les échelons sans effort grâce à la discrimination positive et à sa fidélité au gauchisme.

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J’ai passé la journée à rédiger mentalement une attaque contre elle, puis j’ai vu Tucker Carlson (dans son émission sur Fox News) se lancer dans un monologue incendiaire qui s’en prenait à sa folle réponse: «Je ne suis pas biologiste», à toute la folie du transgenrisme dont la gauche fait la promotion, et au véritable programme de refonte abominable de la société, notamment pour mettre fin à la liberté d’expression.
En regardant la vidéo, gardez à l’esprit un point que j’ai soulevé à maintes reprises : l’indice que toute cette histoire de transgenre est une escroquerie est le mot “transgenre”.

Si le nageur Will Thomas était vraiment une femme (et croyait vraiment qu’il est une femme), il ne se présenterait pas comme étant une «femme transgenre». Il dirait simplement : « Je suis une femme ». Il en va de même pour Richard Levine, le Secrétaire adjoint à la santé.

Dès que le mot “transgenre” est prononcé, cela signifie qu’il ne s’agit pas d’un vrai genre. En effet, si vous ne savez pas si une “femme transgenre” est une personne née femme et prétendant être homme, ou vice versa, il suffit de substituer le mot “faux” à “trans”.

  • Will Thomas est une fausse femme qui rafle les médailles de natation et les accolades destinées aux vraies femmes.
  • Richard Levine est une fausse femme qui a volé le titre de première femme amiral dans le United States Public Health Service Commissioned Corps à une future vraie femme.

Encore une fois, trans égale faux.

Et cela nous amène à la raison pour laquelle la gauche encourage des gens comme MM. Thomas et Levine.

Tucker nous aide à comprendre cela avec son attaque exaltante contre Mme Brown Jackson, le mensonge du transgenrisme, le revirement de la gauche sur ce qui constitue une femme, et le rôle effrayant des médias sociaux, en particulier Twitter, dans la fin de la liberté d’expression comme moyen de promouvoir ces mensonges dans toute la société.

J’aurai quelque chose à ajouter après la vidéo :

Si vous avez regardé toute la vidéo, vous avez vu que Tucker dénonce les attaques du PDG de Twitter, Parag Agrawal, contre la liberté d’expression, qu’il considère comme un danger pour une société “saine”, que lui et d’autres doivent détruire.

Voici une autre façon de penser au rôle des sites de médias sociaux aux États-Unis.

Si l’on combine les principes du Premier Amendement et de la Loi sur les droits civils de 1964, les propos et les actes de M. Agrawal sont inconstitutionnels et illégaux, ce qui signifie que les procureurs généraux doivent intervenir pour l’arrêter.

La Loi sur les droits civils a été adoptée parce que des entreprises privées fermaient leurs portes à des personnes en raison de leur race.

On pourrait arguer que la liberté d’association donnait à ces entreprises le droit de choisir qui était autorisé à entrer chez eux.

Mais ce n’est pas la voie que le Congrès a choisie. Au lieu de cela, dans le Titre II de la Loi sur les droits civils de 1964, le Congrès a déclaré :

« (a) Accès égal
Toutes les personnes ont droit à la jouissance complète et égale des biens, services, installations, privilèges, avantages et aménagements de tout lieu d’hébergement public, tel que défini dans cette section, sans discrimination ou ségrégation fondée sur la race, la couleur, la religion ou l’origine nationale. »

D’une certaine manière, les médias sociaux sont des lieux d’hébergement public. Les géants technologiques censeurs d’aujourd’hui, plutôt que de vendre de la nourriture, de l’hébergement ou du divertissement (les cibles de la Loi sur les droits civils), vendent et revendent des idées. S’ils ferment leurs portes aux catégories de personnes qu’ils n’aiment pas, leur statut de monopole signifie que la classe ciblée sera exclue pour des raisons idéologiques.

La prémisse la plus fondamentale des États-Unis est peut-être que le libre échange d’idées est essentiel à un pays libre.

Si le gouvernement peut briser les monopoles du pétrole, du transport, de l’hébergement et de la restauration, il est inconcevable qu’il ne puisse pas briser un monopole sur la chose qui compte le plus : le libre échange d’idées et d’informations.

En effet, il y a un argument puissant à faire valoir afin que nous n’ayons pas besoin de mettre à jour la Loi sur les droits civils ou de créer de nouvelles lois visant les tyrans des médias sociaux.

Parce que la Constitution concerne la diffusion des idées, et parce que les géants des médias sociaux entravent la méthode de diffusion des idées du 21e siècle, leur comportement constitue une violation prima facie de la Constitution qui peut être interdite sans changer la Loi, bien qu’il soit certainement utile d’utiliser la Loi sur les droits civils à titre d’analogie.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Americanthinker

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