
L’archevêque de San Francisco, Salvatore Cordileone, a annoncé vendredi dans des termes très durs, que la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, ne pouvait pas recevoir la communion en raison de ses positions publiques en faveur de l’avortement.
Dans une lettre ouverte adressée à Mme Pelosi, l’archevêque l’a informée qu’elle « ne doit pas se présenter à la Sainte Communion et, si vous le faites, vous ne serez pas admise à la Sainte Communion, jusqu’à ce que vous répudiez publiquement votre plaidoyer en faveur de la légitimité de l’avortement et que vous confessiez et receviez l’absolution de ce grave péché dans le sacrement de pénitence ».
La pratique consistant à interdire à quelqu’un de communier est connue sous le nom d’excommunication et peut être utilisée soit pour encourager un pécheur à se repentir, soit pour le retirer complètement de l’Église, selon Britannica.
La démarche de Cordileone à l’encontre de Pelosi semble être de la première catégorie.
Mme Pelosi, un Démocrate qui représente le 12e district du Congrès de Californie, y compris San Francisco, est à la fois un membre déclaré de l’Église catholique romaine et un fervent partisan du droit à l’avortement.
Pour l’Église, l’avortement équivaut à un meurtre. La vie commence dès la conception. Le catéchisme catholique romain affirme que « l’avortement direct, c’est-à-dire l’avortement voulu comme fin ou comme moyen, est gravement contraire à la loi morale. »
Cordileone a cité le Pape Saint Jean Paul II :
« Ceux qui sont directement impliqués dans les organes législatifs ont une obligation grave et claire de s’opposer à toute loi qui attaque la vie humaine. Pour eux, comme pour tout catholique, il est impossible de promouvoir de telles lois ou de voter pour elles ».
La lettre de l’archevêque fait suite à une fuite d’un projet d’avis de la Cour suprême suggérant que la plus haute juridiction du pays est sur le point d’annuler le précédent historique de l’avortement dans l’affaire Roe contre Wade, qui a effectivement légalisé la procédure dans tout le pays, alors que l’autorisation, selon la constitution, doit être décidé Etat par Etat.
De nombreux législateurs Démocrates professent la foi catholique romaine tout en épousant des positions favorables à l’avortement extrême, jusqu’au dernier jour du 9e mois, y compris le président Joe Biden, qui n’a jusqu’à présent reçu aucune lettre similaire d’un ecclésiastique compétent à Washington, D.C., ou dans son État d’origine, le Delaware, et que le pape a décidé de ne pas le dénoncer, alors que Biden est le deuxième catholique le plus important au monde.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Bravo à ce courageux évêque qui ne ne cède pas aux modes idéologiques pour remplir son Église. Quand tout bouge en tout sens, et beaucoup en marche arrière en Occident, j’aime l’idée de la permanence, de l’immuable et de l’éternel.
Une tradition vieille de deux mille ans qui a fait battre tant de cœurs et provoqué tant de sacrifices vaut bien qu’on la respecte, en effet.
« On nous dit que nous sommes les suppôts des vieilles superstitions ; faut rire ! Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de la fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver pour elle et pour ses fils la créance humaine, la liberté de l’homme intérieur. »
(Devinez qui ?)
🤔 Notre Donald préféré ?
Presque… Le général Charette de la Contrie.
Un prêtre , un pasteur et un rabbin s’interrogeant quant à avoir quand la vie commence.
Le prêtre très catégorique. » Dès la fécondation. »
La pasteur plus hésitant: » On a fini par aboutir à un consensus. Trois semaines après la fécondation. »
Le rabbin: » Vingt ans après. Une fois que les enfants ont quitté la maison ».
👏👏👏
Le pape islamogauchiste va-t-il excommunier cet eveque?
Un autre rabbin: comment se fait-il que tant de personnes meurent à 40 ans et qu’on ne les enterre qu’à 80?
Les scientifiques (Docteurs) s’essayent à placer le curseur entre ce qu’est la « vie humaine » et ce qui ne l’est pas encore.
Une frontière biologique floue et qui échappe forcément à la science « exacte ».
– Une éjaculation serait-elle un génocide (avec de temps à autre un – et un seul – survivant !) ?
– Un ovule fécondé est-il déjà un « être humain » ?
– Quand un embryon devient-il un fœtus et un fœtus devient-il un « bébé à naître » (viable).
Les juristes s’efforcent de placer le curseur entre ce que sont les Droits des « enfants à naître », et les Devoirs de leurs géniteurs, de leurs rôles respectifs dans le processus de vie.
Ce qui est sûr toutefois est que le corps de l’enfant n’est pas le corps de la femme voire le slogan idiot « mon corps m’appartient »). La grossesse n’est pas une maladie. On accouche pas de son propre corps ! Ce n’est pas une amputation et la mère après la grossesse garde l’entier de sa physiologie.
L’enfant à naître n’appartient donc pas au corps de la femme, et sa vie intra-utérine relève de l’acte de ses géniteurs.
Les philosophes et directeurs de conscience s’essayent à placer le curseur entre ce qui est moralement acceptable ou non quant au recours à l’interruption de grossesse lors que nous savons tous qu’elles sont les conséquences possibles des rapports sexuels (« normaux » bien sûr, c’est-à-dire entre un homme et une femme) et quelles circonstances peuvent influencer, modifier ou limiter la portée de notre responsabilité dans cet acte si humainement fondamental.
Oui un avortement est un meurtre, mais qu’a Dieu en tête lorsqu’un viol provoque une fécondation ou quand une femme attend un bébé sans bras ni jambes, aveugle et microcéphale ?
Prendre comme exemples des cas exceptionnels pour banaliser une pratique générale n’est intellectuellement pas défendable.
Votre description est incomplète, je rectifie pour vous : bébé sans bras ni jambes, aveugle, microcéphale, obèse, noir, fluid gender, enfant d’une adolescente violée dans le centre d’accueil pour immigrants où elle venait d’arriver. Avec ça, vous cochez toutes les cases.
« SF Examiner editorial board demands Pope remove archbishop who barred Pelosi from communion over abortion »
Source: Fox News :
Lien: https://www.foxnews.com/media/sf-examiner-editorial-board-demands-pope-remove-archbishop-who-barred-pelosi-communion-abortion
Je l’avais predit
Pelosi excommuniée? Brûler en enfer c’est son destin. Au congrès de Pandemonium
sa place est réservée.
La position claire de l’archevêque de San Francisco tient du courage intellectuel qui consiste à appeler un chat un chat !
L’avortement est clairement un crime.
Vers la fin de l’année 1971, les sondages révélaient qu’environ 80% des français se positionnaient HOSTILES à la pratique de l’avortement.
Moins de deux ans plus tard, au moment du vote de la loi, 80 % des français étaient curieusement devenus FAVORABLES à cette pratique.
Entre temps, une campagne d’opinion machiavéliquement orchestrée avait joué sur quatre aspects de la Vérité :
1 ) – Présentation de l’avortement comme ultime recours des cas désespérés (viols, etc …), ce qu’à juste titre le Père Alain René Arbez qualifie de … « cas exceptionnels pour banaliser une pratique générale intellectuellement indéfendable. »
2 ) – Présentation comme une évidence statistiquement irréfutable qu’environ un million d’avortements était clandestinement pratiqués en France chaque année. Après promulgation de la loi, ce nombre fut discrètement ramené à cent cinquante mille,
3 ) – Occultation du problème de l’effondrement de la natalité dans les pays occidentaux, mais au contraire focalisation sur l’explosion démographique du tiers monde et de sa surpopulation,
4 ) – Black out total sur les nouvelles découvertes scientifiques des biologistes de l’époque affirmant, quelles que soient leurs convictions philosophiques ou religieuses : « le fœtus est, depuis l’instant de sa conception, un être humain »
Depuis le vote et la mise en place de cette loi génocidaire, des centaines d’êtres humains innocents sont quotidiennement condamnés à mort et exécutés, alors qu’en 1981 une autre loi a dit très simplement : « La peine de mort est abolie ».
Il est vrai que pour en bénéficier il faut avoir, au préalable, commis des crimes ; les innocents, eux, n’ont pas droit au bénéfice de cet aménagement.
Médite qui voudra, comprenne qui pourra. Il est temps que les voix de nos Prélats rappellent des Vérités fondamentales, quelles qu’en soient les retombées ! …
L’Église n’est pas un supermarché de la foi ou le baptême et la communion tiennent lieu de cartes du magasin, dans les rayons duquel on se sert à sa convenance !
Bravo pour votre commentaire !
« L’Église n’est pas un supermarché de la foi ou le baptême et la communion tiennent lieu de cartes du magasin, dans les rayons duquel on se sert à sa convenance ! » Exactement!