Dans Dommages irréversibles, un saisissant essai jamais idéologique mais purement factuel, la journaliste Abigail Shrier au Wall Street Journal montre comment des adolescentes américaines décident de changer de sexe sous l’influence d’internet. Un phénomène qui pourrait bientôt toucher la France.
La dysphorie de genre, anciennement appelée « trouble de l’identité de genre », se caractérise par un malaise profond et persistant vis-à-vis de son sexe anatomique. […]. Historiquement, elle n’a concerné qu’une infime partie de la population (environ 0,01 %) et presque exclusivement des garçons. Au cours de la dernière décennie, la donne a changé de façon spectaculaire. L’Occident a vu une augmentation subite du nombre d’adolescents affirmant souffrir de dysphorie de genre et s’identifiant comme « transgenres ».
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Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des adolescentes de sexe féminin à la naissance ne sont pas seulement présentes parmi ceux qui s’identifient ainsi, mais constituent la majorité du groupe. Pourquoi ? Que s’est-il passé ? Comment un groupe d’âge (les adolescents) qui avait toujours été minoritaire parmi les personnes concernées en est-il venu à constituer la majorité ?
La solitude des ados à l’ère numérique
Aux États-Unis, l’adolescence est pratiquement synonyme chez les filles d’angoisse de ne pas être physiquement à la hauteur. […] Les personnages des réseaux sociaux — c’est-à-dire les « amis » les plus intéressants pour les ados d’aujourd’hui et avec lesquels ils passent le plus de temps — ne présentent pas de telles imperfections. Soigneusement choisies et « facetunées » [au visage retouché], leurs photos définissent un standard de beauté qu’aucune fille réelle ne peut atteindre. Et elles sont constamment dans la poche des adolescentes, nourrissent leurs craintes de ne pas être à la hauteur, alimentent leur obsession pour leurs propres défauts ou ce qu’elles perçoivent comme tels, tout en les exagérant considérablement. Beaucoup d’adolescentes de la génération Z qui tombent dans les filets du phénomène transgenre appartiennent à la classe moyenne supérieure.
Maternées par des parents pour qui « élever » est un verbe actif, voire l’œuvre d’une vie, elles sont souvent des élèves brillantes. Jusqu’à ce que la folie transgenre les frappe, ces adolescentes se distinguent par leur gentillesse, leur serviabilité et leur absence totale de rébellion. […] Internet ne leur laisse jamais un jour, ni même une heure, de répit. Elles veulent ressentir les émotions fortes de l’amour adolescent, mais la plus grande partie de leur vie se passe sur un iPhone. Elles essaient l’automutilation. Elles tâtent de l’anorexie. Les parents les envoient chez des psychiatres qui leur prescrivent des médicaments en guise de ouate pour amortir leurs humeurs, ce qui aide — à moins que ressentir quelque chose n’ait été le but.
Gayatri, un cas problématique parmi d’autres
Gayatri a toujours été « très fille », m’a dit son père, immigrant indien et médecin. Enfant, elle adorait Dora l’exploratrice et les princesses de Disney. Au collège, une de ses amies de l’école primaire a « transitionné » : elle a commencé à se bander la poitrine, a annoncé qu’elle avait un nouveau nom, et a demandé aux autres d’utiliser les pronoms masculins pour s’adresser à elle. Les parents de Gayatri se présentaient comme progressistes. À l’époque, ni l’un ni l’autre n’a fait grand cas de ce changement, qui n’a pas semblé impressionner leur fille. Mais l’année suivante, en troisième, les parents de Gayatri lui ont acheté un ordinateur portable et — après maintes discussions — un téléphone intelligent. Elle s’est mise à passer beaucoup de temps sur Tumblr et DeviantArt, le site de partage artistique qui séduit une grande audience transgenre.
Elle a commencé à parler d’identité de genre à sa mère. Ses parents ne se doutaient pas de la corrélation entre ses propos et le temps passé sur internet. L’été est arrivé et les longues journées se sont profilées devant elle comme une main tendue. Tous ses moments libres, Gayatri les passait sur internet. Un jour, Gayatri a lancé l’idée de commencer un traitement à la testostérone et de subir une « chirurgie du haut ». Ses parents se sont alarmés. Elle agissait à leur insu. Ex-balourde de la classe, Gayatri s’était réinventé une personnalité d’ado transgenre branchée. Les « likes » et les émojis qui pleuvaient sur son profil Instagram parlaient d’eux-mêmes : cette nouvelle identité était une version améliorée d’elle-même. En tant que « garçon trans », Gayatri avait des amis — beaucoup d’amis.
Chiffres et tendances
En 2016, Lisa Littman, gynécologue-obstétricienne devenue chercheuse en santé publique et mère de deux enfants, parcourait les réseaux sociaux lorsqu’elle a remarqué une singularité statistique : plusieurs adolescents, pour la plupart des filles, de sa petite ville du Rhode Island se déclaraient transgenres — tous au sein du même groupe d’amis […]. Le Dr Littman ne connaissait pratiquement rien à la dysphorie de genre. […] Mais elle en savait suffisamment pour constater que les chiffres étaient beaucoup plus élevés que la prévalence attendue. […] La hausse, effectivement, s’est révélée sans précédent. Aux États-Unis et dans le monde occidental, on constatait un pic soudain d’adolescentes déclarant une dysphorie de genre — la pathologie associée à la désignation sociale « transgenre ».
Entre 2016 et 2017 aux États-Unis, le nombre d’interventions en chirurgie transgenre pour les jeunes femmes a quadruplé, cette population représentant soudain — comme on l’a vu — 70 % de toutes les interventions en chirurgie transgenre. En 2018, le Royaume-Uni a signalé une augmentation de 4400 % par rapport à la décennie précédente du nombre d’adolescentes cherchant à obtenir des traitements de genre. […] Au cours de la dernière décennie, comme le Dr Littman l’a découvert, les chiffres de la dysphorie de genre chez les adolescents ont bondi dans l’ensemble du monde occidental. Aux États-Unis, la prévalence a augmenté de plus de 1000 %. 2 % des lycéens s’identifient aujourd’hui comme « transgenres », selon une enquête menée en 2017 auprès des adolescents par les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies. En 2016, les personnes assignées femme à la naissance représentaient 46 % de toutes les chirurgies de réattribution sexuelle aux États-Unis. Un an plus tard, ce pourcentage était de 70 %.
YouTube et testostérone : le rôle des influenceurs du net
Alex Bertie, un youtubeur anglais FtM [« féminin vers masculin »], sans doute le plus populaire (300 000 abonnés), a tenu un vlog (blogue vidéo) sur sa première année de testostérone. « C’est le jour que je n’aurais jamais osé espérer, s’enthousiasme-t-il, adorable garçon à la mâchoire ombrée. Ça fait officiellement un an que je suis sous testostérone. Avant les hormones, je souffrais de la haine de soi, de la jalousie et de l’envie, je voulais constamment m’isoler du reste du monde… Aujourd’hui, un an après avoir commencé les hormones, je ne pourrais pas être plus heureux ! Les changements apportés par la testostérone ont vraiment amélioré ma qualité de vie et redessiné mes projets d’avenir. » Sa voix est plus grave. Ses épaules sont plus larges, ses bras plus imposants, sa mâchoire carrée. Sa graisse est redistribuée (moins dans les cuisses et les hanches). Et le plus réjouissant pour lui : ses règles ont disparu. « Heureusement, après deux mois de T, elles se sont complètement arrêtées, Dieu merci. Cette année, j’ai aussi fait la chirurgie du haut. C’est un truc à part. Je pourrais consacrer un million de vidéos à la chirurgie du haut. Associé aux hormones, cela a carrément fait disparaître ma dysphorie de genre. Donc, en gros, la testostérone… c’est génial. » […]
Tous les vlogueurs trans ne partagent pas la modération de Chase. Le gourou Instagram MtF [Masculin vers Féminin] Kaylee Korol, femme frêle aux cheveux bleus comme ses yeux et qui ressemble à une adolescente ordinaire, offre ce « conseil trans » : « Vous n’avez pas besoin d’être sûrs à cent pour cent d’être trans pour essayer les hormones, vraiment, assure Kaylee à ses abonnés. Vous pouvez essayer les hormones pendant trois mois. Après cette période, il commence à y avoir des effets permanents, mais avant, vous pouvez simplement tester et voir comment vous vous sentez. C’est génial, c’est aussi simple que ça. Les hormones ne doivent pas vous effrayer. » Inutile, donc, d’avoir la certitude d’être trans pour prendre des hormones. En fait, Kaylee ajoute que le traitement hormonal est « probablement le meilleur moyen de savoir si vous êtes trans ou non ». Il est prouvé que la testostérone a des effets secondaires néfastes, mais vous en entendrez rarement parler. Les gourous de YouTube et d’Instagram sont là « pour s’amuser », et les risques accrus de divers cancers et d’hystérectomie prophylactique ne sont pas vraiment « amusant ».
Des traitements loin d’être anodins
La testostérone épaissit le sang. Les filles transidentitaires reçoivent une dose de testostérone 10 à 40 fois supérieure à ce que leur corps pourrait normalement supporter pour produire les changements qu’elles recherchent. Selon certaines indications, les femmes biologiques recevant ces doses de testostérone auraient un risque de crise cardiaque près de cinq fois supérieur à celui des femmes, et deux fois et demie supérieur à celui des hommes. Le dosage étant déterminé par l’apparence physique désirée — plutôt que par le traitement d’une maladie —, il obéit à des critères esthétiques et non pas médicaux. On justifie généralement la testostérone comme un traitement de la « dysphorie de genre », mais les endocrinologues qui la prescrivent semblent rarement évaluer ses effets sur la dysphorie du patient. Ils examinent plutôt son taux sanguin pour s’assurer que la testostérone reste dans la fourchette normale pour un homme. […] Peu de temps après la prise d’hormones mâles, des changements permanents se produisent.
Si une fille biologique regrette sa décision et arrête la testostérone, sa pilosité corporelle et faciale restera probablement en place, tout comme son excroissance clitoridienne, sa voix grave et peut-être même la masculinisation de ses traits faciaux. Même si des doses massives de testostérone doivent être maintenues pour que les effets de la transition se poursuivent, l’élimination de la T ne ramène pas l’adolescente à son point de départ. La testostérone s’accompagne également de douleurs et de désagréments. Il y a le problème de l’atrophie vaginale, mais aussi des douleurs musculaires, des crampes sévères dues à l’endométriose, une hausse de la sudation, des sautes d’humeur et de l’agressivité. Les effets à long terme comportent une augmentation des taux de diabète, d’accidents vasculaires cérébraux, de caillots sanguins, de cancers et, comme nous l’avons vu, de maladies cardiaques. Globalement, le risque de mortalité augmente. Il existe un dernier risque, inévitable, dû au fait qu’aucune patiente sur la Terre ne prend son traitement exactement à la même heure : à un moment donné, une jeune fille sous T se fera une injection un jour ou deux après la prise prévue. […] Après tous ces risques et ces sacrifices insensés, au moins la dysphorie a disparu, non ? En fait, il n’existe aucune étude à long terme indiquant que la dysphorie de genre ou les idées suicidaires diminuent après une transition médicale. Souvent, la dysphorie d’une jeune femme augmente avec la testostérone, car elle se rend compte que même avec une voix d’homme, des poils, une mâchoire carrée, un nez rond et une barbe fournie, elle ne ressemble pas tout à fait à un homme.
Les « détransitionneuses » : celles qui tentent de faire machine arrière
Presque toutes les détransitionneuses à qui j’ai parlé sont percluses de regrets. Si elles ont pris de la testostérone quelques mois seulement, elles ont une voix étonnamment masculine qui restera grave. Si elles ont été sous T pendant plus longtemps, elles souffrent de la gêne d’avoir une géographie intime inhabituelle : un clitoris élargi qui ressemble à un petit pénis. Elles détestent leur barbe naissante et leur pilosité´ corporelle. Elles vivent avec une poitrine lacérée et des tétons masculins (oblongs et plus petits) ou des rabats de peau qui ne ressemblent pas à des tétons. Chez celles qui ont conservé leurs ovaires, une fois privé de testostérone, le tissu mammaire se gonfle au retour des règles d’un liquide qui, souvent, n’est pas correctement drainé. […] Les désisteuses et détransitionneuses à qui j’ai parlé m’ont toutes dit qu’elles étaient sûres à 100 % d’être trans à vie — jusqu’à ce que, soudainement, elles ne le soient plus. Presque toutes reprochent à leur entourage adulte, en particulier les professionnels de la
santé, d’avoir encouragé et facilité leur transition.
Dommages irréversibles
Abigail Shrier, publié au Cherche Midi
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Démission des adultes…pourquoi, mais pourquoi personne ne demande à ces enfants/adolescents pourquoi ils ne se sentent pas bien dans leur corps ? et qu’est-ce qui leur permet d’affirmer que changer de corps les fera aller mieux ?
Avec le discours antiphobe en tout genre et anti-discrimination, il n’y a plus moyen de poser des questions.C’est le même antiterrorisme intellectuel marxiste que pour d’autres sujets (avortement, immigration, mariage “pour tous”, PMA etc)
un adolescent est mal dans sa peau, c’est une donnée quasiment universelle. Si on lui suggère qu’il y a une raison particulière à cela et qu’elle se traite, c’est logique que beaucoup se laissent berner.
Quelle triste époque …
En Afrique, les adolescents — donc aussi les filles — n’ont vraiment pas l’air d’être mal dans leur peau. (Bien sûr, avec toujours des exceptions.) Et beaucoup de filles sont pleines de charme. Et cette histoire de trangenrisme ne se pose absolument pas. Cherchez l’erreur
@ Casterman
Exact. Les Africains en général, malgré leurs difficultés quotidiennes et chroniques, ne sont quasiment pas touchés par les “maladies” des occidentaux telles que la dépression, la dépendance aux antidépresseurs, ni par la tendance au suicide.
Je pense que l’on s’achemine vers un grand scandale sanitaire, qui sera d’autant plus important que pour l’instant, tout propos qui ne pèche pas par excès de zèle dans le sens du dogme officiel est tabou. À mon avis, les néoféministes sont largement responsables de cette explosion de dysphories de genre chez les adolescentes, en faisant croire aux filles que la vie en tant que femme est horrible. Voir aussi l’article d’une femme trans pleine de bon sens, Debbie Hayton, au sujet de ce livre : https://debbiehayton.com/2021/12/11/comment-la-propagande-transgenre-detruit-de-jeunes-adolescentes/ .
Sinon, à partir de mon expérience personnelle, je ne comprends pas comment on peut être complexée en tant que femme et penser que l’on a des défauts. Quand j’ai transitionné socialement fin 37 ans (et je pèse environ 123 kg, suivant les périodes), ce qui m’a surprise c’est que les hommes me regardaient énormément, je me faisais énormément complimenter et draguer. Avant, je n’avais pas accès à tout ce qui touche à l’amour, mon statut social était « trizo » (comme on m’appelait au collège). Titulaire d’un doctorat en climatologie, je n’avais pas non plus accès au travail. Je réussis mieux socialement en tant que « travelo ». Je ne comprends pas non plus comment les réseaux sociaux peuvent-ils mettre la pression et donner l’impression aux jeunes filles qu’elles ne peuvent pas être à la hauteur. Tout le monde peut se montrer sur ces réseaux, moi-même je publie des photos et vidéos sexy de moi (123 kg, je rappelle), et parmi les « likes » et les personnes qui me suivent, il y a aussi des jeunes. Les femmes sont beaucoup plus sélectives que les hommes (voir https://www.lepoint.fr/debats/l-inegalite-de-beaute-la-grande-oubliee-25-05-2019-2314995_2.php ), d’après mon vécu « des deux côtés », tout se passe comme s’il y avait 100 hommes pour 1 femme. Comme je le dis souvent, « Pour la société, il n’y a pas de femme moche, tandis qu’il y a des hommes handicapés. »
Je vous donne raison sur ce point : le discours néo féministe est anti féminin et anti féminité. A force de prôner l’égalité homme/femme, il en vient à l’interchangeabilité, à la dépréciation du féminin et à l’obsession d’une toxicité masculine qui renferment les femmes dans une solitude absolue et un dégoût de soi. La femme a besoin de la protection de l’homme (comme l’homme à également besoin de la femme, autrement) mais cela est combattu âprement comme une construction sociologique patriarcale. Les femmes d’aujourd’hui sont des refoulées, avec des injonctions sociétales profondément matérialistes, narcissiques et destructrices. Elles finissent par se ruer sur des hommes issus de la “diversité” car, pour nos néo féministes et le progressisme, c’est bien connu, l’homme est toxique mais l’avenir de la femme blanche est bien avec l’homme arabo africain.
Quand on entend ce que disent les néoféministes sur la vie en tant que femme, il y a de quoi se flinguer. Par exemple, dans notre société, les femmes seraient obligées de porter des talons hauts pour servir d’objets sexuels aux hommes. Ce type de chaussure ferait très mal. J’ai vu des dessins « féministes » où l’on voit par exemple le pied d’une femme dans une chaussure à talon haut, le talon est un couteau et il y a du sang. Je ne comprends pas, cela ne correspond pas du tout à mon vécu ni à celui d’amies. De toute façon, il n’y a rien d’obligatoire. Par contre, les hommes n’ont de fait pas le droit de porter des talons hauts. C’est en cela que consisterait le « privilège », en une interdiction. De manière générale, quand on entend « privilège du genre masculin », il faut souvent comprendre « interdit aux hommes ».
Et pourtant, le XVIIIème siècle mettait des talons hauts aux chaussures des hommes de la noblesse. Question de mode. Ridicule donc de fustiger les talons hauts devenus désormais exclusivement féminins. Ce qui a toujours prévalu, c’est de distinguer clairement un vêtement pour les hommes de celui pour les femmes. On peut avoir des choses communes, comme le pantalon, mais elles sont aménagées de manière sexuée ce qui permet de respecter aussi les morphologies.
Je pense qu’il s’agit de la face la plus visible, la plus emblématique de la décadence Occidentale qui semble hélas irréversible. La haine de soi est j’en suis sûr un des facteurs les plus actifs de ce processus. La gauche “woke” est aux commandes de cette tragédie. Il devrait être interdit à tout parent, tout praticien de ces disciplines, et même tout tatoueur, de pouvoir faire quoi que ce soit sur un enfant avant sa majorité.
@ Maurice Joly
Vous dites “Il devrait être interdit à tout parent, tout praticien de ces disciplines, et même tout tatoueur, de pouvoir faire quoi que ce soit sur un enfant avant sa majorité.”
Mais justement, les gauchos c’est exactement comme les communistes, comme les hitlériens, et comme les Talibans dans leurs grottes : ils se servent des ENFANTS pour promouvoir leur propagande mortifère.
• Les Talibans apprennent la guerre aux gamins de 6 ans et voilent entièrement des gamines de 4 ans (pour ensuite les marier de force à des vieillards de 75 ans).
• Les communistes conditionnent le cerveau des enfants à l’école dès le plus jeune âge (encore aujourd’hui en Chine).
• Hitler aimait bien diffuser des photos de beaux bébés bien blonds pour essayer de faire passer sa théorie de la race supérieure.
“Les communistes conditionnent le cerveau des enfants à l’école dès le plus jeune âge (encore aujourd’hui en Chine).”
hélas pas seulement en Chine : chez nous, les enfants sont aussi conditionnés sur le climat, sauvetage de la planète, biodiversité, racisme (comprenez : pro-immigration), homosexualité etc
Visiblement l’école a oublié qu’elle doit instruire, et non éduquer…Elle ne fait que prolonger l’éducation des parents.
Je frémis lorsque j’entends des élus (surtout des maires), des associations dire qu’ils visent les enfants précisément pour influencer les parents et pour l’avenir de la planète…
Dans ma ville dont les impôts explosent, les petits enfants des écoles primaires font des promenades nettoyantes : ils ramassent les déchets sur les pelouses pour apprendre le respect de la planète…
et on trouve ça bien…
D’une part, c’est le travail d’éboueurs, et les enfants sont censés apprendre à lire, écrire, compter…D’autre part, ce genre de travail serait mieux approprié comme “travail d’intéret général” destiné à une personne jetant ses déchets dans la nature, qu’à des enfants qu’on veut culpabiliser car ce n’est pas pour leur enseigner le savoir-vivre qu’on leur demande de faire cela, mais bien pour la planète…
Quoi ??? Promenades nettoyantes effectuées par des enfants du primaire ??? En France, le travail des mineurs (rémunéré ou pas) est 100% illégal ! Votre maire risque 5 ans de prison et 150 000€ d’amende !