Publié par Jean-Patrick Grumberg le 4 mai 2022

Les deux mois qui viennent de se passer sont une insulte, un crime contre la Russie : un pays a refusé de se soumettre et de se rendre, alors qu’il en a reçu la demande du président Poutine.

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L’affaire est grave. Les médias, qui militent avec vigueur contre le nationalisme, réclament la disparition des frontières, la libre installation des migrants des pays du tiers monde dans les pays avancés, soutiennent le nationalisme ukrainien.

Les patriotes, qui dénoncent les invasions migratoires, défendent les valeurs du nationalisme, réclament que l’Ukraine cesse sur le champ de défendre sa nation, que son président cesse d’être nationaliste, que ses citoyens cessent d’être patriotes, et qu’ils acceptent l’invasion.

Ces mêmes patriotes sont révulsés et ils ont raison. Songez-donc, l’Ukraine résiste, se défend, s’arme, et crime ultime, elle refuse de se rendre à l’ennemi. De mémoire de patriote, on n’a jamais connu de crime plus horrible.

C’est dans ce contexte de scandale – l’Europe qui défend la souveraineté d’une nation – que selon les responsables occidentaux, le président russe envisage de transformer l’invasion de l’Ukraine en guerre officielle, ce qui lui permettra de faire appel aux forces de réserve.

Le président russe Vladmir Poutine envisage de déclarer officiellement la guerre à l’Ukraine, probablement d’ici lundi prochain, ce qui lui offre des pouvoirs étendus. Vive les pouvoirs étendus, à bat la démocratie !

Avec une déclaration de guerre officielle, le président russe pourra puiser dans son réservoir de réservistes, ce qui pourrait augmenter le nombre de militaires de deux millions, passant de un à trois millions.

Le président Zelensky est répugnant. L’ennemi lui ordonne de se rendre, il doit se rendre, c’est la tradition, c’est une règle. A cause de Zelensky, et uniquement à cause de lui, Vladimir Poutine est contraint de tuer des milliers de personnes. Il n’a pas le choix. Les morts sont sur la conscience de Zelensky.

Je n’ai jamais rien vu de tel de toute ma vie.

Ce lâche de Zelensly, ce guignol, cet ancien acteur de seconde zone, ce juif, cette demi-tapette, ne comprend rien aux règles. Elles sont pourtant simples : demandez aux patriotes, ils vous les expliqueront. Quand on vous demande de vous rendre, vous vous rendez, vous ne combattez pas. Vous déposez les armes, vous donnez l’ordre à vos armées et à vos citoyens patriotes de capituler, d’ouvrir les portes sans combattre, et vous renoncez à défendre votre pays. C’est pas si compliqué.

Zelinsky a l’outrecuidance de faire tout le contraire. Quel ignoble criminel.

Comment a-t-il osé ?

Le refus de Zelesnky restera dans l’histoire de l’humanité comme l’un des plus grands cas de dégénérescence : jamais l’histoire n’a été témoin d’un président à ce point dépravé qu’il refuse de se rendre à l’ennemi qui le lui demande. Vladimir a bien raison : le nationalisme est une tare, il faut le combattre.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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