Les deux mois qui viennent de se passer sont une insulte, un crime contre la Russie : un pays a refusé de se soumettre et de se rendre, alors qu’il en a reçu la demande du président Poutine.
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L’affaire est grave. Les médias, qui militent avec vigueur contre le nationalisme, réclament la disparition des frontières, la libre installation des migrants des pays du tiers monde dans les pays avancés, soutiennent le nationalisme ukrainien.
Les patriotes, qui dénoncent les invasions migratoires, défendent les valeurs du nationalisme, réclament que l’Ukraine cesse sur le champ de défendre sa nation, que son président cesse d’être nationaliste, que ses citoyens cessent d’être patriotes, et qu’ils acceptent l’invasion.
Ces mêmes patriotes sont révulsés et ils ont raison. Songez-donc, l’Ukraine résiste, se défend, s’arme, et crime ultime, elle refuse de se rendre à l’ennemi. De mémoire de patriote, on n’a jamais connu de crime plus horrible.
C’est dans ce contexte de scandale – l’Europe qui défend la souveraineté d’une nation – que selon les responsables occidentaux, le président russe envisage de transformer l’invasion de l’Ukraine en guerre officielle, ce qui lui permettra de faire appel aux forces de réserve.
Le président russe Vladmir Poutine envisage de déclarer officiellement la guerre à l’Ukraine, probablement d’ici lundi prochain, ce qui lui offre des pouvoirs étendus. Vive les pouvoirs étendus, à bat la démocratie !
Avec une déclaration de guerre officielle, le président russe pourra puiser dans son réservoir de réservistes, ce qui pourrait augmenter le nombre de militaires de deux millions, passant de un à trois millions.
Le président Zelensky est répugnant. L’ennemi lui ordonne de se rendre, il doit se rendre, c’est la tradition, c’est une règle. A cause de Zelensky, et uniquement à cause de lui, Vladimir Poutine est contraint de tuer des milliers de personnes. Il n’a pas le choix. Les morts sont sur la conscience de Zelensky.
Je n’ai jamais rien vu de tel de toute ma vie.
Ce lâche de Zelensly, ce guignol, cet ancien acteur de seconde zone, ce juif, cette demi-tapette, ne comprend rien aux règles. Elles sont pourtant simples : demandez aux patriotes, ils vous les expliqueront. Quand on vous demande de vous rendre, vous vous rendez, vous ne combattez pas. Vous déposez les armes, vous donnez l’ordre à vos armées et à vos citoyens patriotes de capituler, d’ouvrir les portes sans combattre, et vous renoncez à défendre votre pays. C’est pas si compliqué.
Zelinsky a l’outrecuidance de faire tout le contraire. Quel ignoble criminel.
Comment a-t-il osé ?
Le refus de Zelesnky restera dans l’histoire de l’humanité comme l’un des plus grands cas de dégénérescence : jamais l’histoire n’a été témoin d’un président à ce point dépravé qu’il refuse de se rendre à l’ennemi qui le lui demande. Vladimir a bien raison : le nationalisme est une tare, il faut le combattre.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Bravo ! Vive Poutine LGBT (Le Grand et Beau Tsar) !
Poutine a raison de déclarer la guerre. Et sans vouloir me vanter, cela fait 2 mois que je craignais qu’on en arrive là !
Arrête ton char Zelenski, et va jouer “Imagine” (des Biteuls) au piano dans une rue de Kiev !
Oui oui Zelensky, quelle clownerie, défendre son pays, c’est ringard.
En qui concerne les LGBT et la défense des USA, vous êtes vraiment mal placés pour en parler.
Il y aurait par contre ceci. Je ne sais pas si c’est vrai ou pas
https://www.youtube.com/watch?v=Hm2bkwXwqhw
Zelensky ne defend ps son pays il defend s peu ,cr il sit qu’il pourrait finir comme le grand copain Saddam
La position des européens ne vous semble pas étrange ?
Je vous la résume :
1- L’Ukraine est un pays de patriotes, qui se doit se défendre contre un envahisseur qui veut dicter sa loi. L’UE doit aider l’Ukraine à rester souveraine.
2- Les pays européens doivent accepter tous les clandestins illégaux (désignés pudiquement par le terme de « migrants » par la propagande des médias) qui veulent imposer leur culture, leurs idées et leur religion. L’UE doit aider les clandestins illégaux à venir en Ukraine.
Finalement, si les patriotes critiquent Zelensky (ils ont peur pour leurs propres fesses et croient que céder résoudra le problème) et si les médias le défendent, va falloir que je me rende à l’évidence : je ne suis pas patriote. Mais il y a plus grave : je bosse pour un journal. C’est grave, docteur Blups ?
Non, ce n’est pas grave ! Vous pouvez avoir toutes les convictions ou idées que vous voulez, pourvu que ce soit celles de tout le monde !
Les cons ça ose tout…c’est même à cela qu’on les reconnaît (Michel Audiard).Pfui!
Si Trump avait été au pouvoir, il n’y aurait pas eu l’horrible guerre en Ukraine, moins parce que Poutine en aurait eu peur, que parce que Trump aurait refréné Zelenski, sachant que les US n’enverront pas de boys, pas plus qu’en Géorgie.
Trump aurait empêché Zelensky de donner l’ordre à l’armée de défendre son pays ? Mais bien sûr !
Le “président” Drag qeen corrompu a enfin trouvé rôle à la mesure son “talent”. En bon connaisseur du milieu médiatique, il sait très bien comment il faut en rajouter. Personnellement je trouve qu’il manque un tout petit détail: il n’y a pas les auréoles de transpiration sur son teeshirt.
Bien dit Monsieur Grumberg vous avez une fois de plus visez juste, mais je crains que vu le niveau de compréhension des médias et de leur auditeurs votre diatribe soit lue au premier degré.
Bonjour Monsieur Grumberg,
Encore deux années à devoir vivre avec Dementia Joe et Cruella Harris.Le coût de la vie, l’insécurité, les clandestins, les fraudes électorales etc. Ça doit être dur à vivre.
Mais on peut positiver: les ventes de GNL vers l’Europe ont doublé, les marchands d’armes prospèrent et la destruction de la Russie fait encore rêver le tout sans qu’aucune perte militaire américaine.
J’espère qu’après vous être défoulé vous vous sentirez mieux. Par contre Monsieur Millière semble être atteint d’une dépression profonde. Il devrait penser à consulter.
Cordialement
Lenardon
Poutine aurait dû envahir la France, c’eut été plus rapide et moins contraignant.
je ne connais personne de sensé qui aimerait etre envahi par la russie et occupé par la soldatesque russe pilleuse voleuse ivrogne et violeuse
Mais ce n’est pas impossible…après bien évidement quelques frappes de F500 et autres sur les grands (ce qui reste..après 30 de purge) centres militaro-techniques de cette bonne vieille France qui ferait bien de se sortir la tête de ce que je pense… pour enfin gérer leur patrie ( s’il est encore supportable de prononcer ce mot) et conduire normalement leur nation sur une route remise à neuf…. Mais ce sera alors inutile puisque la débâcle aura été cuite sur place…
Les patriotes qui ouvrent les bras à l’envahisseur, ça me rappelle des souvenirs… voyons voyons.
2015 : invasion de l’Europe par des millions de clandestins illégaux, pratiquement tous de sexe masculin …. curieusement.
Les États Unis n’ont pas eu à connaître ce type d’invasion, mais un autre type a leur frontière sud. Heureusement pour le pays, le président Trump a réduit le risque avant d’être éliminé par les mondialistes !
Un article qui, peut-être – peut-on rêver une seconde?–, pourrait aider à faire tomber quelques écailles des yeux de certains ici, auteurs, lecteurs ou commentateurs.
À moins évidemment d’épouser à 100% les intérêts américains et de se désolidariser totalement de ceux de l’Europe et de la France (la langue de Dreuz n’est-elle pas le français?):
https://www.polemia.com/ukraine-leurope-doit-se-desolidariser-des-americains-par-bruno-megret/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=la_lettre_de_polemia&utm_term=2022-05-04
Un lecteur, qui dit aux auteurs de Dreuz de se retirer les écailles des yeux, je dois rêver. Dois je vous rappeler que votre pays vote contre Israël, tandis que les Etats-Unis votent pour sa défense ? Rien que cela signe de quel côté est la morale. Et ce n’est pas du côté de la France et de l’Europe. Israël est le thermomètre international pour mesurer la probité et la vertu d’un pays.
Je préfèrerais de très loin que vous discutiez sur le fond de l’article de Bruno Maigret, qui n’a pas le réputation d’être un imbécile:
Quel fond? Vous y voyez un fond? Mais, cher Jean-Philippe, ce sont les mêmes élucubrations que j’entends depuis le début. Et dont j’aimerais justement avoir le fond!
Je critique l’article plus bas, vu qu’il a été reproduit en entier dans un commentaire.
Un seul mot pour cet excellent article satirique, donc à prendre au second degré pour ceux qui n’avaient pas pigé : BRAVO !!!!!
https://www.polemia.com/ukraine-leurope-doit-se-desolidariser-des-americains-par-bruno-megret/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=la_lettre_de_polemia&utm_term=2022-05-04
Ukraine : l’Europe doit se désolidariser des Américains
par Bruno Mégret 2 MAI 2022
Par Bruno Mégret, polytechnicien, haut fonctionnaire, essayiste ♦ La guerre en Ukraine évolue de façon très inquiétante. Le jusqu’au-boutisme des Américains ouvre en effet le risque d’une guerre nucléaire qui pourrait être fatale au monde européen.Les Américains jettent de l’huile sur le feu…
Organisant la mobilisation générale contre la Russie, les Américains jettent de l’huile sur le feu. Accuser Poutine des pires ignominies, le traiter de boucher, parler de crimes de guerre et de génocide, le menacer de la Cour pénale internationale, c’est se couper de toute négociation possible avec lui. Ensuite, soutenir l’armée ukrainienne en s’engageant massivement à ses côtés au point de planifier maintenant des livraisons d’armes pour vingt milliards de dollars, c’est prolonger, voire étendre le conflit avec les pertes matérielles et principalement humaines qui en résultent. Enfin, c’est surtout s’engager ouvertement dans la guerre contre les Russes avec la volonté de les battre militairement.
… après avoir cherché à piéger les Russes
Un projet dont on peut d’ailleurs se demander s’il ne s’inscrit pas dans une stratégie conçue de longue date. Tout se passe en effet comme si les Américains avaient cherché à piéger le maître du Kremlin en refusant toute négociation avec lui sur la sécurité en Europe et en annonçant ensuite que pas un soldat américain ne viendrait défendre l’Ukraine. À la manière dont ils avaient poussé Saddam Hussein à l’invasion du Koweit, ils auraient ainsi délibérément créé les conditions de la réaction agressive des Russes pour, dans un deuxième temps, organiser contre eux une mobilisation générale de tout le monde occidental.
Mais si Poutine est acculé, le pire devient possible
L’erreur dramatique des Américains est que Poutine n’acceptera jamais de subir une défaite militaire. Et, s’il n’est pas question ici de défendre l’intéressé et de nier sa responsabilité première dans le conflit et dans les drames, voire les exactions qui en résultent, le devoir des dirigeants confrontés au chef d’État russe n’est pas d’aller pleurer dans les médias comme certains responsables américains mais d’agir lucidement en tenant compte des contraintes géopolitiques comme des réalités psychologiques.
À cet égard, il est clair que si Poutine est acculé à subir une défaite militaire, il utilisera l’arme nucléaire. On peut penser et espérer que ce sera, dans un premier temps au moins, l’arme nucléaire tactique sur le théâtre du champ de bataille, mais personne ne peut prévoir ce qu’il adviendra après une telle escalade de la violence guerrière.
L’Ukraine doit mener une guerre qu’elle aurait pu éviter…
Alors pourquoi prendre un tel risque ? S’agit-il de la souveraineté de l’Ukraine ? Un pays ne cesse pas d’être souverain si ses dirigeants, en sages politiques, tiennent compte des contraintes géopolitiques auxquels il est soumis. Faute d’avoir voulu le faire, les Ukrainiens ont été entraînés dans la guerre d’une façon pour le moins paradoxale : ils subissent une invasion russe pour avoir voulu se protéger d’une invasion russe (en cherchant à adhérer à l’Otan) ! Le président Zelensky porte donc sa part de responsabilité dans cette guerre en n’ayant pas accepté pour son pays un statut de neutralité, statut qui n’a rien au demeurant de déshonorant. Aussi est-il mal placé pour exiger aujourd’hui de tous les pays occidentaux qu’ils s’engagent sans réserve à ses côtés dans une guerre qu’il aurait peut-être pu éviter par une attitude plus prudente. Une guerre dans laquelle lui et son peuple sont d’ailleurs de surcroît instrumentalisés par les États-Unis.
… et se trouve instrumentalisée par les Américains pour détruire la puissance russe
Si les Américains prennent le risque d’une escalade militaire avec la Russie, c’est en effet pour un enjeu à leurs yeux bien supérieur à celui du devenir de l’Ukraine. Il s’agit pour eux d’en finir avec la puissance russe. Une puissance qu’ils ne contrôlent pas et dont ils détestent les valeurs politiquement incorrectes. Mais cet acharnement américain contre la Russie montre en tout cas combien les États-Unis peinent à prendre en compte les réalités nouvelles du monde actuel. Après leur victoire sur l’URSS ils ne sont pas devenus en effet les maîtres du monde car ce dernier n’est pas passé d’une organisation bipolaire à une structure unipolaire mais à une planète structurée en plusieurs pôles de puissance. Leur ennemi, ou leur adversaire, comme le nôtre, n’est donc pas la Russie mais bien plutôt les puissances émergentes qui veulent prendre leur revanche sur l’Europe et le monde occidental qui les ont dominées pendant plus
Voici la reprise du paragraphe tronqué et la fin de l’article.
… et se trouve instrumentalisée par les Américains pour détruire la puissance russe
Si les Américains prennent le risque d’une escalade militaire avec la Russie, c’est en effet pour un enjeu à leurs yeux bien supérieur à celui du devenir de l’Ukraine. Il s’agit pour eux d’en finir avec la puissance russe. Une puissance qu’ils ne contrôlent pas et dont ils détestent les valeurs politiquement incorrectes. Mais cet acharnement américain contre la Russie montre en tout cas combien les États-Unis peinent à prendre en compte les réalités nouvelles du monde actuel. Après leur victoire sur l’URSS ils ne sont pas devenus en effet les maîtres du monde car ce dernier n’est pas passé d’une organisation bipolaire à une structure unipolaire mais à une planète structurée en plusieurs pôles de puissance. Leur ennemi, ou leur adversaire, comme le nôtre, n’est donc pas la Russie mais bien plutôt les puissances émergentes qui veulent prendre leur revanche sur l’Europe et le monde occidental qui les ont dominées pendant plusieurs siècles. Les Américains seraient donc bien avisés de comprendre ce grand basculement et d’en tirer les conséquences : pour faire face à ces nouvelles puissances comme la Chine et dont beaucoup sont animées par le ressentiment ou l’esprit de vengeance, les États-Unis gagneraient à avoir à leur côté une vraie puissance européenne autonome et une Russie forte qui reste européenne.
L’Union européenne devrait se désolidariser des États- Unis pour imposer la désescalade
D’ici là, et pour en revenir à la guerre en Ukraine et au risque majeur d’une escalade nucléaire, je considère qu’il est de la responsabilité historique de l’Union européenne de se désolidariser officiellement des États-Unis et, forte de cette nouvelle légitimité, de se positionner avec autorité comme une puissance d’apaisement et de désescalade, écartant les Américains et poussant les deux parties à la négociation. Telle est l’initiative que devrait prendre rapidement l’actuel président de l’Union européenne, Emmanuel Macron. Et peu importe si certains pays comme la Pologne s’opposent à une telle prise de position, l’enjeu est trop important pour ne pas passer outre. Il s’agit en effet d’éviter le risque d’une guerre qui d’ailleurs ne serait pas mondiale. Car cette guerre n’embraserait que l’Europe et l’Amérique du nord. Elle conduirait au suicide du monde européen et chrétien, ce serait le crépuscule de l’Occident.
Bruno Mégret 02/05/2022
Analyse de fond de chiotte d’un étatiste antilibéral qui se dit nationaliste et patriote, mais qui n’accepte pas que l’Ukrainien le soit, oubliant que l’Ukraine est un pays souverain, libre et indépendant, et reconnu comme tel par les nations, dont la France, pays n’ayant jamais eu dans l’idée d’attaquer la Russie, et ayant totalement le droit de se tourner vers l’Otan. Ce petit étatiste antilibéral ne comprend pas que tout cela a été planifié bien avant 2014, déjà en 2008 Poutine, qui était déjà un criminel, déclarait publiquement que l’Ukraine n’était pas un pays, car c’est un ignorant de la question dans la prétention de la connaissance. Ce type est juste un traître à la liberté, un antiaméricain détestant le libéralisme à l’américaine, l’individualisme à l’américaine, la réussite américaine, libéralisme qu’il voit aujourd’hui en France, là où la France est clairement dans un régime étatiste. Le degré zéro de l’analyse politique. Avec des solutions dignes d’un crétin, l’Europe devrait se désolidariser des États-Unis, alors que la Russie de Poutine attaque un allié de l’Occident. Mais on nage en plein délire. Le camp des ratés totaux et des traîtres, des collabos.
L’àplatventrisme dissimulé derrière un semblant de raison.
Les capitulards capituleront et les résistants résisteront. Un flot ininterrompu des considérations sans réel lien avec l’Ukraine elle-même qui se bat, qui saigne, qui crève mais qui résiste face à la deuxième armée du monde. Pourquoi, au fait ? Deux purées-commentaires abondantes successives et aucune réponse.
Au delà de ma critique, j’ai passé sous silence les termes les moins raisonnables mais il faut quand même les noter.
Ajoutons que, pour un esprit normalement constitué, les noter suffit:
Il ne faut pas “se couper de toute négociation possible avec lui”. Mais quel en serait le contenu? La désescalade? À quelles conditions?
Il ne faut pas livrer des armes car le conflit va se prolonger voire s’étendre? Bon, vous constatez aussi la détermination de Poutine. Ce qui signifie qu’avant les Américains, le premier obstacle aux négociations, c’est Poutine.
Je constate toutefois que l’opprobre est pour les Américains plutôt que pour l’agresseur lui-même. Ce, alors que les USA ne sont même pas engagés dans le conflit (pour une fois).
Et c’est parce que les USA ont tendu un piège? D’autant plus tordu qu’il est incompréhensible: “piéger le maître du Kremlin en refusant toute négociation avec lui sur la sécurité en Europe”.
Donc, en ne faisant rien, les USA ont quand même fait quelque chose. Ils ont piégé Poutine, qui est tombé en plein dans le panneau. Va savoir comment ça fonctionne exactement par contre. En passant, je remarque que c’était forcément aux USA de faire quelque chose, on ne va bien sûr rien exiger ni même attendre de la Russie.
De là, je me demande si les fameuses négociations n’auraient pas la gueule des accords de Minsk, où la Russie a eu une place de garante, alors qu’elle est partie intégrante du problème…
Je remarque aussi, encore une fois, le véritable mantra de la “négociation” (toujours sans contenu défini, bien entendu). Donc il aurait fallu négocier “la sécurité de l’Europe” avec la Russie? Mais qui menace cette sécurité? Mégret ne le dit pas mais il sait que c’est la Russie. Plus loin, il utilise d’ailleurs l’euphémisme de “contraintes géopolitiques” et accuse en fait l’Ukraine de ne pas bien en avoir tenu compte.
D’ordinaire, si on vous dit que vous n’avez pas bien tenu compte de quelque chose, c’est que vous l’avez minimisé, à vos périls. Or Mégret pense à l’inverse: l’Ukraine a trop réagi aux contraintes alors qu’elle aurait dû rester neutre. Jolie tournure là aussi pour ne pas dire “ferme ta …” et là, je commence à entrevoir le contenu des fameuses “négociations”. Et je me dis que ça ne devrait pas s’appeler “négociation”.
Ceci dit, même avec la créativité au maximum, en soutenant qu’il aurait pu exister un monde où, si les USA n’avait pas fait ceci et l’Ukraine pas fait cela (pour la Russie, RAS), alors en fait, hein! Et, en réalité (mais pas vraiment), ce monde n’est pas très loin, vous savez, si les USA font ceci et l’Ukraine fait cela (pour la Russie, RAS à nouveau).
Et bien, malgré tout ça, Mégret doit bien constater la réalité, la vraie: “ils [les Ukrainiens] subissent une invasion russe pour avoir voulu se protéger d’une invasion russe”. C’est bien ce qu’il s’est passé et, plutôt que de se dire que ça a merdé quelque part dans le reste du raisonnement, Mégret conclut que c’est “paradoxal”. Moi, de mon côté, je conclus que le contenu des fameuses “négociations” va beaucoup s’approcher d’une reddition totale de l’Ukraine, sans bien sûr lui demander son avis.
“« ils [les Ukrainiens] subissent une invasion russe pour avoir voulu se protéger d’une invasion russe ».”
Voilà. Poutine a planifié cela depuis longtemps, les autorités ukrainiennes qui ne sont pas totalement stupides, le savaient. Et quand un chef d’état te dis que ton pays n’est pas un pays, tiens en compte, car ça veut juste dire ; “vu que ça n’est pas un pays, je peux y entrer quand je veux et comme je veux”.
Ho Ho Ho !
En grand’forme mon cher JiPéGé préféré. J’aime bien. Le plus marrant étant que la “tapette” de Zelensky continue à s’obstiner de mettre à une judokate Krémline une branlée sur une pâtée.
L’article de Megret résume très bien toutes les opinions abondamment exprimées sur Dreuz par les gens qui ont peur de devenir les prochaines victimes de cette guerre, et qui en veulent aux États-Unis et à l’Ukraine de contrarier la Russie. C’est une façon de penser, mais mon expérience personnelle me fait la trouver peu réaliste. C’est un peu comme quand vous vivez avec un pervers narcissique : vous pourrez toujours marcher sur des oeufs, vous finirez quand même par avoir des ennuis. Et ce n’est pas la peine d’essayer de l’amadouer, car si vous cédez sur un point, il inventera une autre exigence, son objectif n’étant pas le point négocié, mais le pouvoir et la volonté de vous voir céder à nouveau. Une seule façon de s’en sortir : être le plus fort. C’est une chose que le pervers respecte et il peut même arriver que si vous le dominez, il devienne presque sympa.
Bon Courage a JPG et Guy Milliere avec tout ces franchouillards qui laissent la France aux Mains des Islamistes , C est plus facile de critiquez
les USA et d aimez Poutine ,bandes de crevards bougez vous le Q et sauvez votre pays plutot!!! Fucking Going on !! je savais que Zemmour ne vaut rien il est trop frimeur de sa culture du General 2gaulle et l histoire de France ,la France a besoin de 1vrai2vrai comme Gert Wilders ,Zemmour a besoin de comprendre en polique on reponds jamais on tourne au tour de la question bon voila ,bon courage a Dreuz Infos bel example de free speech.
Au delà de la caricature sans vous en rendre compte vous êtes mainstream, on peut avoir une opinion différente. Dans toute l’histoire de l’humanité et des guerres (malheureusement) quand on est trop faible on se rend. C’est ce qu’a fait la France en 1940. Mais il y a un facteur supplémentaire et à ne pas négliger ce sont les 6000 ogives nucléaires de la Russie. Une guerre d’alliance c’est ce qui nous a coûté la première guerre mondiale (20 millions de morts) et en conséquence la deuxième guerre mondiale (50 millions de morts). Est-ce que je suis un belliciste ? Non je suis pour la paix et la négociation (comme Sarkozy). Je suis comme 70% des français qui disent qu’il ne faut pas s’en mêler. De Gaulle en 1940 voulait la guerre totale, Dieu nous a gardé on aurait eu 10 millions de morts en France et je ne serais peut être pas là pour en parler.
Si Poutine déclare officiellement la guerre à l’Ukraine, que signifie cette annonce ?
1/ Puiser dans son réservoir de réservistes.
2/ l’Europe deviendra partie prenante du conflit. De part son aide militaire, et ne pas oublier qu’un embargo, et des sanctions économiques dans un conflit armé peut-être considéré comme une alliance avec l’ennemi.
N’ayant des munitions que pour 3 jours selon le gouvernement français, sommes nous prêt à un conflit frontale, et surtout nucléaire ?
Non. En revanche nous avons toujours notre froc prêt à être baissé.
Pour l’info, la Russie du Tchékiste qui dispose des munitions, chars, avions, hordes sybéro-mandchoues-tchétchènes… à volonté ; de la modeste Marioupol ne s’est toujours pas emparée. Ce conflit frontal l’Ukraine le subit depuis 74 jours. Et elle tient ! Villes aplaties et têtes hautes !