Publié par Pierre Rehov le 11 juillet 2022

On ne devient pas l’homme le plus riche au monde par hasard, et certainement pas par stupidité.

N’en déplaise aux médiocres partisans de la pensée unique, les ayatolahs du socialisme pour qui le seul moyen d’accéder à la réussite serait d’embastiller fiscalement tous les entrepreneurs, petits, moyens et grands chefs d’entreprise, afin de partager les fruits de leur labeur, celle-ci résulte généralement de trois facteurs : des idées, un peu de chance et énormément de travail.

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Dans la fable du lièvre et de la tortue, tous ces gauchistes seraient des lièvres un peu idiots contraints d’accepter la victoire d’une tortue particulièrement intelligente. De quoi les rendre fous furieux, avec leurs grandes oreilles et leur toute petite queue.

En attendant, tous ces empêcheurs de s’exprimer en rond, dès lors qu’ils ont décidé que seuls les carrés restaient dans le domaine du politiquement correct, après avoir été terrifiés à l’idée qu’Elon Musk puisse libérer la parole et la pensée dans la case de l’oiseau bleuâtre, jubilent désormais face à ce qu’ils considèrent comme un échec. Voire, comme une manoeuvre frauduleuse qui n’a pas abouti.

La réalité, évidemment, est toute autre.

Car qui peut prétendre rivaliser avec un homme qui s’est engagé à coloniser la planète Mars ?

Certainement pas les politicards à la Bernie Sanders, Pelosi, AOC et Ilhan Omar, que la liberté d’expression effraie à juste titre depuis la nuit des temps. Sans le support permanent d’une presse minable et corrompue, de journalistes allaités au biberon de la pensée unique, et sans la complicité du Gafam + T, il va sans dire que leurs tentatives absurdes de changer la nature humaine se heurte au mur de la simple logique. Hobbes avait raison de dire que l’homme est un loup pour l’homme. Et mettre un loup dans le même enclos que les moutons n’a jamais produit d’autre résultat qu’un carnage.

Revenons au grand ( je devrais dire immense ) Elon Musk.

Cet homme d’affaires de génie est certainement d’un tout autre niveau que les boutonneux à kleenex ayant bâti leur fortune dans le monde virtuel, que, désormais, ils ne veulent plus quitter. Les Zuckerberg, Dorsey et autres Larry Page, ont eu, certes, la bonne idée au bon moment. Disons qu’ils ont su prendre le train internet en marche. Mais, le simple fait qu’ils aient viré à gauche au moment de prendre le bon tournant, démontre bien la peur profonde liée à un sentiment inconscient de culpabilité et donc de vulnérabilité.

Car il faut être d’un tout autre niveau dans sa façon de penser pour bouleverser les systèmes de paiement à l’échelle mondiale (Musk est à l’origine de Paypal), pour propulser une marque de voitures électriques au rang des premiers constructeurs mondiaux ( Tesla ) ou pour lancer un programme spatial au cours duquel la première fusée à atterrissage vertical a été développée. Ce que ni la NASA, ni l’agence spatiale européenne n’ont été capables de mettre au point.

Ce même Elon Musk, de loin bien plus inventif que le petit Zuckerberg (l’homme à la tête de robot qui a investi 400 millions de dollars pour aider les fascistes démocrates à voler les élections de 2020) s’est dit un jour: “Tiens, et si j’achetais Twitter, pour y rétablir la liberté d’expression et, incidemment, gagner encore plus d’argent après avoir optimisé ce réseau social à son plus haut niveau”

Se doutait-il à ce moment qu’il aurait affaire au minimum à des interlocuteurs de mauvaise foi, au pire à des escrocs ?

Les idées de gauche étant, à la base, une escroquerie intellectuelle, ne peuvent, en effet, engendrer que des escrocs lorsque leurs propagateurs osent se frotter au capitalisme.

Musk a donc fait une offre, plus que généreuse, partant du principe que le nombre de faux comptes et de robots opérant sur Twitter était inférieur à 5%.

Une affirmation bien souvent répétée par la bande de gauchistes milliardaires qui infestent le board de Twitter et s’assurent, quotidiennement, que personne n’ose s’exprimer en dehors des limites absurdes qu’ils imposent.

Sous la dictature des gauchos de Twitter, vous avez le droit d’appeler à la destruction d’Israël, mais certainement pas d’émettre des doutes sur la validité de l’élection de 2020. Vous avez le droit de propager l’islamisme, mais certainement pas de vous insurger contre l’antisémitisme dès lors que vous le faites en des termes exprimant votre profond dégoût. Et surtout pas ( comme cela vient de m’arriver) de décrire la “nakba” pour ce qu’elle est : c’est à dire le triste anniversaire du jour où les musulmans qui se font appeler “Palestiniens” n’ont pas pu exterminer les Juifs.

Pour en revenir à Elon Musk, avant de conclure son offre et de signer un petit chèque de 44 milliards de dollars, celui-ci n’a eu qu’une exigence. Que les membres du board lui apportent la preuve que le nombre de faux comptes et de robots était inférieur à 5% sur Twitter.

Une exigence que d’aucuns trouveront raisonnable.

Pas les ayatollahs qui ont été mis à la tête de cette entreprise gauchiste, équivalent d’un mélange de Pravda et des principes de Goebbels.

Ayant été incapable d’obtenir les informations qu’il exigeait, Musk a donc retiré son offre, pour le grand soulagement des fascistes de gauche, mais pas forcément des bénéficiaires, quelle que soient leur obédience. 44 milliards de dollars, c’est tout de même une somme. De quoi oublier les bases de son idéologie.

Pour ceux qui étudient les stratégies d’échec de Musk, il y a, cependant, de quoi sourire. Et cette raison de sourire, l’homme d’affaire libertarien et républicain par dépit l’a dévoilée dans un tweet dont voici la traduction :

“Ils ont dit que je ne pouvais pas acheter Twitter
Ensuite, qu’ils ne révèleraient pas d’information sur les robots
Maintenant ils veulent m’obliger à acheter Twitter par un procès
Et maintenant ils devront révéler les informations sur les robots au tribunal.”

Donc, Elon Musk se marre.

Et, face aux petits dictateurs de la pensée unique il n’y a que deux réactions possible.

Rire ou pleurer.

Rira bien qui rira le dernier.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov pour Dreuz.info.

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