
Le raid sur Mar-A-Lago était une perquisition utilisant comme prétexte les règles des Archives nationales et déformant les lois sur les documents classifiés afin de justifier un mandat de perquisition illégal. Ce n’est qu’une partie d’une conspiration afin de torpiller la possible réélection de Donald Trump en 2024. Le Deep State (l’État profond) est protégé par le Ministère de la Justice ( Department of Justice ou DOJ) et par le FBI qui utilisent les méthodes de la Stasi.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Ron Wright, paru sur le site d’American Thinker, le 27 août.
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Le raid du FBI à Mar-A-Lago : Un geste désespéré de l’État profond
Le raid sur Mar-A-Lago était une perquisition utilisant comme prétexte les règles des Archives nationales et déformant les lois sur les documents classifiés pour justifier un mandat de perquisition illégal.
Ce raid n’est qu’une partie d’une conspiration en cours ou d’un coup d’État silencieux de l’État profond pour faire tomber Donald Trump, d’abord avant son élection en 2016, ensuite afin d’empêcher sa réélection en 2020, et maintenant pour torpiller sa possible réélection en 2024.
Donald Trump est une menace pour la survie du coup d’État. L’État profond est protégé par le Department of Justice (DOJ) et par le FBI qui utilisent les méthodes de la Stasi.
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J’ai rédigé et servi des centaines de mandats de perquisition lors de ma carrière en tant que détective dans la police. J’ai enquêté sur des conspirations criminelles complexes – des crimes de tous types, y compris des vols et des fraudes, des crimes financiers et des conflits d’intérêts politiques. J’ai un parti pris en faveur de l’application de la loi.
Pourtant, le DOJ et le FBI sont devenus des armes politiques. Nous n’avons pas une justice égale pour tous. Nous avons maintenant un système de justice à deux vitesses.
Les colons américains en avaient assez des mandats de perquisition générale émis par le roi, ce qui a conduit à l’adoption du 4e Amendement de la Constitution américaine :
Le droit du peuple d’être protégé dans sa personne, sa maison, ses papiers et ses effets, contre les perquisitions et les saisies abusives, ne sera pas violé, et aucun mandat ne sera délivré, sauf avec une cause probable, appuyée par un serment ou une affirmation, et décrivant particulièrement le lieu à fouiller, et les personnes ou les choses à saisir.
Le raid sur Mar-a-Largo n’était pas dû à l’obtention d’un mandat de perquisition ordinaire. Il visait à intimider toute personne qui oserait s’opposer à l’État profond qui cherche à disqualifier Donald Trump en 2024, et à récupérer des preuves incriminantes contre le coup d’État.
En raison de son modèle et de sa pratique de mensonge dans les affidavits de mandat de perquisition et de son parti pris politique démontré sans responsabilité, le FBI n’est plus crédible.
Le Bureau a menti dans les affidavits de mandat de perquisition présentés à la FISA ayant pour objectif d’espionner le Président Trump en utilisant sciemment le récit de la collusion russe qui était faux.
Il a violé sciemment les droits civils de citoyens sous couvert d’enquêtes criminelles, les ruinant financièrement – les accusés de la prétendue « insurrection » du 6 janvier, Roger Stone, Paul Manafort, le Général de corps d’armée Michael Flynn, la journaliste Sheryl Attkisson, et bien d’autres.
Les juges comptent sur l’intégrité des agents assermentés pour dire la vérité dans la recherche de mandats. Cette confiance est inviolable.
Lorsque les agents mentent au juge, le mandat peut être annulé et les preuves saisies jugées irrecevables. Si j’avais fait ça, on m’aurait mis à la porte.
L’attitude timide du Directeur du FBI, Christopher Wray, lors de la récente audience de surveillance du Sénat en dit long. M. Wray s’est esquivé tôt, prétextant qu’il devait prendre un avion afin d’éviter une deuxième série de questions – pour se rendre sur son lieu de vacances dans un avion du gouvernement mis à sa disposition.
Le FBI ade graves problèmes car il s’est emballé avant et sous la surveillance de M. Wray, par exemple avec l’affaire du prétendu enlèvement de la Gouverneure du Michigan, Mme Whitmer.
Pour qui M. Wray pense-t-il travailler ? Pour le peuple américain ?
Le mandat de perquisition de Mar-a-Lago est trop large en ce qui concerne les éléments à rechercher, c’est-à-dire les documents présidentiels pendant son mandat.
Selon les médias, les agents du FBI ont fouillé des zones non décrites dans le mandat, à savoir le coffre-fort et d’autres parties de la propriété. En général, le coffre-fort est décrit dans le mandat de perquisition comme un objet à fouiller. S’il n’y a pas eu de connaissance préalable du coffre-fort, un mandat supplémentaire aurait dû être demandé.
Sinon, il s’agirait d’une perquisition et d’une saisie illégales.
Le FBI et le DOJ admettent que certains articles ont été saisis en dehors du champ d’application du mandat – les passeports et les dossiers privilégiés.
Le FBI aurait dû demander un avocat spécialisé.
Il utilise des équipes d’enquêteurs, mais je n’ai pas confiance en leur capacité à servir d’arbitre impartial devant un tribunal.
Les crimes allégués sont discutables, à savoir s’il y avait une cause probable que Donald Trump ait commis l’un d’entre eux.
Le Presidential Records Act ne prévoit pas de sanction pénale. Certains prétendent que son application se fait par une action civile qui pourrait impliquer une obstruction de la justice (18 USC 1519) concernant « la dissimulation, la suppression, la mutilation de [documents] » et 18 USC 2071. La suppression et conservation non autorisées de matériel classifié…. (18 USC 1924) est un autre article allégué.
La loi sur l’espionnage (18 USC 793) est très étendue et implique que le Président Trump donnait des informations confidentielles sur la défense, y compris des armes nucléaires (42 USC 2162), à nos ennemis, comme l’ont laissé entendre des fuites dans les médias.
En fait, les présidents Bush et Obama ont encore de nombreux dossiers de ce type en suspens.
Le président en exercice est catégoriquement exempté de ces lois et politiques administratives concernant les documents classifiés, y compris nucléaires, en vertu des pouvoirs absolus ou pléniers de l’Article II de la Constitution des États-Unis (voir la discussion Navy v. Eagan), y compris l’interdiction d’exercer ses fonctions comme le prétendent les médias. La solution est l’Impeachment.
Comme dans le récit de la collusion russe, des fuites sélectives se produisent à nouveau de la part du gouvernement.
Voilà pour le besoin de confidentialité.
Les médias se sont emparés de ces fuites avec un abandon irréfléchi.
Les sections ci-dessus ont probablement été mal interprétées afin de les appliquer à Donald Trump, et le DOJ et le FBI ont omis de mentionner l’affirmation selon laquelle le président est catégoriquement exempté de ces sections.
Au lieu de cela, le DOJ et le FBI s’appuient sur le scellement de l’affidavit pour dissimuler leur mensonge.
Voyez dans le The Daily Signal (« The Mar-a-Lago Raid : What Happened and What’s Next », et ce que dit Kash Patel, l’ex-assistant du procureur américain qui a une grande expérience dans ce domaine unique du droit :
Rien de ce que ces gens font n’est accidentel. Tout ce qu’ils font est intentionnel, y compris cette descente calculée au domicile du Président Trump », argumente Kash Patel. «La juridiction est censée être aveugle », continue M. Patel. « Ils appliquent sélectivement la juridiction fédérale en allant voir un juge d’instance dont ils savent qu’il déteste le Président Trump autant qu’eux, et en appliquant leur parti pris politique à ce qui est censé être une enquête apolitique. Ce sont les mêmes individus qui ont dirigé le Russiagate [lien de l’auteur]. Ce sont les mêmes individus qui ont dit que l’ordinateur portable de Hunter Biden était de la désinformation russe. Ce sont les mêmes personnes [FBI DC Field Ofc] qui ont falsifié les mandats de la FISA. Ce sont ces personnes qui dirigent cette enquête. Quand cela sera-t-il suffisant ? [C’est moi qui souligne – transcription de l’Epoch Times]
Je vais aller droit au but. Ça sent le poisson pourri.
Le DOJ et le FBI voulaient mettre la main sur le dossier du Russiagate que Donald Trump a créé afin d’exposer la criminalité du coup d’État.
M. Trump, pendant son mandat, a clairement déclassifié ces documents.
Ces documents peuvent avoir des marques de classification qui n’ont pas encore été retirées. Le DOJ n’a pas exécuté, ni à l’époque ni depuis, l’ordre de Donald Trump et a pensé qu’il était arrivé à échéance.
Le raid était une perquisition illégale.
Le droit du public de savoir l’emporte largement sur la nécessité de garder l’affidavit scellé, compte tenu des habitudes et pratiques passées du DOJ et du FBI, qui ont déjà menti pour tromper les tribunaux.
Le DOJ et le FBI ne sont pas des parties innocentes et peuvent avoir violé la loi en raison de leur habitude et de leur pratique du mensonge dans les déclarations sous serment.
Le DOJ et le FBI n’ont pas le droit de dissimuler leurs activités criminelles sous le couvert d’une ordonnance de mise sous scellés.
En me basant sur mon éducation, ma formation et mon expérience, j’estime qu’il existe une cause probable plus que suffisante pour croire que le DOJ et le FBI ont menti ou menti par omission dans cette déclaration sous serment, violant ainsi la loi 18 USC 242, si ce n’est plus.
Cette déclaration sous serment doit être descellée immédiatement avec seulement des rédactions minimales.
Les questions suivantes ont besoin de réponses :
- Le DOJ et le FBI ont-ils divulgué la négociation en cours avec les Archives nationales et la coopération de Donald Trump ?
- Quelles étaient les circonstances exigeantes nécessitant l’émission d’un mandat de perquisition alors que des moyens moins importants étaient disponibles ?
- Pourquoi le coffre-fort ne figurait-il pas sur la liste des lieux à perquisitionner ?
- Le coffre-fort était-il mentionné dans l’affidavit ? Si ce n’est pas le cas, la présence d’un perceur de coffre-fort montre l’intention de fouiller au-delà de la portée du mandat.
- Le DOJ et le FBI ont-ils fait du shopping pour avoir les services d’un juge sympathique à leur cause ?
Je dirais que le FBI a probablement attendu que ce magistrat soit le juge de service. Il aurait dû se récuser en raison de sa récusation antérieure dans une affaire concernant Donald Trump. - Le DOJ et le FBI ont-ils induit le magistrat en erreur, en alléguant des crimes commis par le Président sans dire qu’un président en exercice est catégoriquement exempté ?
- Le magistrat a-t-il été induit en erreur quant au double objectif de ce mandat ?
* Ron Wright est un inspecteur retraité de la police de Riverside, en Californie, où il a servi pendant trente-cinq ans. Il est titulaire d’un baccalauréat en Science politique de l’Université d’État de la Californie (CSUF) et d’une maîtrise en Administration de la University of California à Riverside.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Americanthinker
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Avec les démocrates, les usa sont devenues un pays de magouilles où tout est permis pour effacer trump.
Je ne vois pas comment ce pays cangréné par les démocrates va s’en sortir…
La majorité au Congrès pour les Républicains lors des Midterms du 8 novembre, serait un bon début ….