
Les méthodes totalitaires de l’administration Biden pourraient faire oublier l’horreur incarnée par Vladimir Poutine. Pour ce qui me concerne, je n’oublie rien. L’administration Biden est une horreur. Poutine est un monstre.
La monstruosité de Vladimir Poutine n’est pas à démontrer, sauf pour les aveugles volontaires qui ont besoin d’admirer un dictateur assoiffé de sang pour assouvir leurs bas instincts, et pour les ennemis de la liberté à penchants fascistes. Mais le crime commis voici quelques jours au centre pénitentiaire d’Olenivka a constitué néanmoins un nouveau sommet dans l’horreur et la perversité, et j’entends insister sur ce point, par écrit.
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Etaient enfermés là des officiers et des soldats du bataillon Azov, dépeint faussement et haineusement comme un bataillon nazi par la propagande poutinienne, que nombre de gens à l’esprit faible gobent goulument comme les crapauds gobent les mouches.
La propagande poutinienne dit depuis des semaines que ces officiers et ces soldats, coupables d’avoir opposé une résistance héroïque et acharnée aux troupes des destructeurs et des massacreurs de la ville de Marioupol, méritent au minimum la peine de mort, ce qui est absolument contraire aux conventions internationales concernant les prisonniers de guerre (mais Vladimir Poutine étant accusé désormais de tentative de génocide et de crime contre l’humanité n’en est plus à cela près). Des rapports ont établi que nombre d’entre eux avaient subi des tortures et avaient été émasculés, aux fins leur a-t-on dit, de ne pas pouvoir se reproduire. L’ambassade de Russie à Londres a publié des communiqués entérinant les actes immondes qu’on leur a fait subir. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait les éliminer.
Cela a été fait pour les officiers de tous rangs parmi eux. Ceux-ci ont été conduits dans un bâtiment séparé dans lequel ils ont été enfermés en compagnie d’une arme thermo barique que des soldats russes ont ensuite activé. Les officiers ont été tués, d’une manière bien plus atroce que s’ils avaient été fusillés. Les armes thermo bariques aspirent l’oxygène de l’atmosphère du lieu où elles explosent, déchirent les poumons des êtres humains présents sur le lieu de l’explosion, suscitent des brûlures intenses, puis une explosion très puissante qui pulvérise les corps. Le Président Zelensky a décrit ce crime de manière pertinente en disant que “c’est un crime de guerre russe délibéré, un meurtre de masse organisé de prisonniers de guerre ukrainiens”.
Les services de renseignement américains et britanniques ont confirmé le transfert des prisonniers dans un bâtiment séparé et confirmé aussi que l’arme utilisée a été une arme thermo barique. Et il ne devrait pas y avoir de contestation possible, mais la propagande poutinienne a osé accuser les forces ukrainiennes d’avoir voulu tuer ceux qui ont été tués en utilisant un HIMARS américain. Et elle a dit que les soldats assassinés l’avaient été parce qu’ils avaient commencé à parler et à proférer des témoignages compromettants pour l’Ukraine. C’est bien sûr un tissu de mensonges, car il n’y a eu aucun tir de HIMARS sur Olenivka ; les prisonniers de guerre ukrainiens n’ont rien à cacher, et sont considérés comme des héros par le peuple ukrainien. Et le gouvernement ukrainien s’efforçait d’obtenir leur libération par le biais d’un échange de prisonniers. Ce n’est pas du tout la première fois que les services de propagande poutiniens procèdent de cette façon, et à chaque fois qu’on peut imaginer que Poutine a atteint un sommet en matière d’actes suscitant la répulsion et en matière de mensonge, on peut avoir l’impression qu’il entend se surpasser.
Je le dis depuis des semaines, et je dois le répéter, Vladimir Poutine est dans une fuite en avant fanatique, abjecte et désespérée. Il a perdu la guerre qu’il a déclenché le 24 février, et il le sait. Il ne contrôlera jamais l’Ukraine et il a perdu la possibilité de contrôler l’Ukraine en s’enlisant alentour de Kiev dès fin février et en montrant involontairement au monde que son armée était défectueuse. Il ne contrôlera pas même le Donbass, sauf s’il y laisse une armée en permanence, car la population ukrainienne ne se soumettra jamais (les actes de résistance à l’occupant sont de plus en plus nombreux). Il ne contrôlera éventuellement, peut-être, que des zones qu’il aura vidées au maximum de leur population en détruisant villes, villages, habitations, entreprises, mais contrôler un champ de ruines est inutile et coûteux, et la Russie en déclin n’en a pas les moyens financiers.
Discernant qu’il ne contrôlera jamais l’Ukraine, il s’efforce de la détruire, et il a fait bombarder des villes, des habitations civiles, des usines pendant des semaines. Il a fait tuer et fuir les populations civiles et a fait déporter vers des camps d’internement situés en Russie une population évaluée à un million d’Ukrainiens. Il a condamné cinq millions d’Ukrainiens à être des réfugiés en Europe centrale et occidentale, plus de dix pour cent de la population du pays.
Il n’a plus d’armée viable, tant le nombre de morts et de blessés est immense, et il ne parvient plus à recruter. Même dans les régions asiatiques et pauvres de la Russie, il devient difficile pour lui de trouver des gens prêts à servir de chair à canon en Ukraine et à mourir. La télévision russe a annoncé qu’il négocie le recours à des soldats nord-coréens et qu’il paierait la Corée du Nord avec des céréales L’armée russe ne gagne plus de terrain.
Poutine n’a plus assez de soldats (une armée qui a perdu plus du tiers de ses effectifs est une armée inopérante). Il n’a plus d’armement moderne et ne peut pas remplacer l’armement qu’il a perdu, faute de disposer de ce que le monde occidental et ses alliés asiatiques ne lui fournissent plus (pièces détachées, microprocesseurs). Il lui restait l’artillerie mais il a de moins en moins de bombes : les HIMARS fournis à l’armée ukrainienne ont détruit une large partie des réserves de munition de l’armée russe. Les lignes d’approvisionnement logistique russes fonctionnement de moins en moins, car les HIMARS permettent aux Ukrainiens de les détériorer.
Tous les éléments obtenus par les services de renseignement occidentaux montrent que le moral au sein des troupes russes qui subsistent est au plus bas, et mutineries et actes d’insubordination abondent. Poutine a fait installer une part importante de l’artillerie qui lui reste dans l’enceinte de la centrale nucléaire de Zaporija, dont son armée s’est emparée il y a plusieurs semaines, et il a fait disposer des mines dans l’enceinte de la centrale. Il fait courir au monde le risque d’une catastrophe nucléaire plus grave que celle de Tchernobyl.
Imitant son maître à penser Joseph Staline, il a voulu utiliser la famine comme une arme, il a dû céder et des exportations de céréales ukrainiennes commencent à se faire depuis Odessa, mais la famine continue à planer sur des centaines de millions d’êtres humains, en Afrique subsaharienne surtout.
L’armée ukrainienne prépare une contre-offensive dans l’oblast de Donetsk (c’est pour cela que le Président Zelensky a demandé aux habitants de se retirer). Ses troupes présentes à Kherson, au nord de la Crimée sont encerclées par les forces ukrainiennes et en mauvaise posture, car une contre-offensive ukrainienne prend forme aussi alentour de Kherson.
Poutine s’efforce de fanatiser la population russe, et les chaines de télévision russes, qu’il contrôle, tiennent des discours paranoïaques, haineux, racistes, qui font penser à ceux que pouvait tenir Joseph Goebbels à la radio au temps du Troisième Reich, mais il ne parle toujours pas officiellement de guerre et ne décrète pas la mobilisation générale en Russie, ce qui montre qu’il craint que la population russe, s’il décrétait la mobilisation générale, soit agitée de forts remous.
Plus le temps passe, et plus Poutine sera en difficulté : les sanctions occidentales font effet, contrairement à ce que disent les propagandistes poutiniens. Faute de pièces détachées et de composants électroniques, des entreprises russes en nombre croissant doivent cesser de fonctionner. Plus de quatre cent mille Russes ont quitté le pays et ce sont des gens qui font partie de l’élite du pays : ils sont dans les pays baltes, en Géorgie, en Europe centrale et, pour les plus aisés, à Dubaï.
Le seul espoir que peut encore avoir Poutine est que les Occidentaux se lassent et renoncent à défendre l’Ukraine, et c’est pour cela que les propagandistes au service de la Russie insistent sur “l’inutilité des sanctions”, sur l’idée que les sanctions vont créer des difficultés insurmontables au sein de l’Europe, et que les dirigeants européens doivent y renoncer. C’est pour cela aussi que les mêmes propagandistes font courir des rumeurs infondées disant que des Ukrainiens revendent à la Russie des armes occidentales sophistiquées. C’est pour cela que les propagandistes agissant aux Etats-Unis disent que l’argent serait mieux employé aux Etats-Unis qu’en Ukraine.
La diffamation haineuse vis-à-vis de Volodymyr Zelensky est aussi une arme de propagande très utilisée. Quiconque connait la façon dont la propagande russe est fabriquée ne peut être dupe, mais Poutine compte sur les idiots utiles, nombreux dans le monde occidental. Il compte aussi sur les aveugles volontaires et sur les ennemis de la liberté à penchants fascistes, et je dois constater qu’ils sont assez nombreux en Europe, où gauchistes, communistes et membres de l’extrême droite fasciste tiennent le même discours. Il compte enfin sur les agents d’influence qu’il rémunère, et il y en a dans tous les pays occidentaux : journalistes, politiciens, commentateurs.
Amnesty International, l’organisation propalestinienne qui accuse Israël d’apartheid se montre digne de son fondateur, Sean MacBride, prix Lénine 1977 au temps de Leonid Brejnev, et a dénoncé les “crimes de guerre” censés être commis par l’armée ukrainienne: sans doute le désir de recevoir un prix Staline des mains de Vladimir Poutine, ce qui serait sans doute perçu comme un honneur par la dénommée Agnès Callamard: une femme qui s’est scandalisée de l’élimination de Qasem Soleimani, l’homme qui supervisait toutes les opérations terroristes menées au Proche-Orient par l’ignoble république islamique d’Iran et qui a déclaré l’élimination “illégale ”a toutes les qualifications requises pour plaire au dictateur criminel russe.
Il n’est pas possible de savoir combien de temps la guerre va encore durer. Poutine ne peut mener aucune offensive, mais l’Ukraine aura du mal à mener une contre-offensive vraiment décisive tant que l’administration Biden ne lui fournira pas l’armement suffisant pour cela. Peut-être le fera-t-elle pour se donner une victoire avant les élections de mi-mandat, et tenter de faire oublier qu’elle détruit les Etats-Unis et qu’elle adopte des comportements dictatoriaux très inquiétants. Elle soutient l’Ukraine à contre cœur, et seul le fait que Poutine ait raté son invasion et sa tentative de renversement de Volodimir Zelensky explique qu’elle en soit venue à soutenir l’Ukraine. Mais tout en soutenant l’Ukraine à contre cœur, elle pourrait faire d’une victoire en Ukraine un argument électoral. Les dirigeantes d’Europe occidentales sont, à l’exception des dirigeants britanniques, des dirigeants de gauche qui préfèrent l‘apaisement à la démonstration de force, et ils constituent ce que Lénine appelait le maillon faible. A l’exception du collaborationniste Viktor Orban, les dirigeantes d’Europe centrales ont davantage de lucidité et de dignité.
Poutine a perdu la guerre, et la Russie va régresser économiquement à un degré considérable, la population russe va subir la régression et la subit déjà. L’Ukraine n’a pas gagné la guerre, et sa reconstruction va coûter une somme considérable. Les conséquences négatives pour l’Europe vont se faire sentir des années durant.
L’Europe paie l’aveuglement de ses dirigeants, qui n’ont pas voulu comprendre que se placer en dépendance d’un dictateur criminel peut avoir de lourdes conséquences. Les discours lucides en Europe se font rares. L’Europe est tout au bord du crépuscule.
Le monde entier paie le renversement de Donald Trump par un coup d’état rampant aux États-Unis, et tous ceux qui ont été heureux de voir l’installation de l’administration Biden à la Maison Blanche sont, je l’espère pour eux, satisfaits du résultat, et ils continuent d’ailleurs à cracher sur Trump. La guerre de Poutine contre l’Ukraine n’est que l’un des volets du chaos planétaire enclenché grâce à l’administration Biden. Tous les détails figureront dans mon prochain livre.
Il n’est pas possible de savoir quand la guerre lancée par Poutine va s’achever, ou comment elle va s’achever, non. Ce qui est certain est que Poutine est un dictateur atroce.
Un jugement par un tribunal international s’imposera et aura lieu. Les dossiers contenant les preuves à charge se font de plus en plus épais.
L’horreur de ce qui a été perpétré au centre pénitentiaire d’Olenivka est venue s’ajouter, et on peut ajouter à la liste ce que fait Poutine à la centrale nucléaire de Zaporija (aux dernières nouvelles, Poutine voudrait détourner sa production pour alimenter la Russie en électricité), les vols massifs de blé ukrainien par l’armée russe. Le procès contre Poutine sera un procès pour crimes de guerre, crime contre l’humanité, et tentative de génocide.
Que les aveugles volontaires, les admirateurs d’un dictateur assoiffé de sang voulant assouvir leurs bas instincts et les ennemis de la liberté à penchants fascistes continuent à admirer Poutine ou à lui trouver des excuses ne peut que continuer à susciter mon dégoût.
Si Trump était resté à la Maison Blanche, rien de tout cela ne se serait passé, et si Trump revenait maintenant à la Maison Blanche, la guerre s’arrêterait très vite. Il ne faut pas le dire en France et ailleurs en Europe occidentale, bien sûr…
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
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C’est vraiment horrible. Le monde semble dans une bien mauvaise passe, les dirigeants des différents pays rivalisant de sadisme, nullité ou crapulerie. Est-ce dans la nature du pouvoir d’attirer essentiellement les salauds ?
Nous sommes dans une époque très sombre. L’Europe est dans un délitement généralisé qui s’accentue, et qui relève de l’anomie. Les Etats-Unis ont été pris en main par une extrême gauche destructrice qui tente de les conduire aussi vers l’anomie. Il y reste des conservateurs qui tentent de sauver le pays du naufrage, Trump en tête, mais on tente de les broyer. Un projet totalitaire est au coeur de l’avancée de l’anomie dans le monde occidental, le projet conçu à Davos. Et il y a ce que j’appelle le nouvel axe du mal, Chine-Iran-Russie, qui s’efforce d’avancer grace à la destruction et à la perte des repères du monde occidental. Poutine a échoué, mais il lui reste à détruire et a disséminer une propagande perverse qui trouve de nombreux adeptes en France et ailleurs en Europe, et vous en trouverez des échantillons sous chacun des articles que je consacre à l’Ukraine. La Russie va sombrer. Xi Jinping le sait et il sait que Poutine a échoué. Il utilisera la Russie comme une source de matières premières quand la Russie sera épuisée et pleinement déchue. Il utilise les mollahs iraniens pour avancer dans le Proche-Orient. Si la Chine devait dominer le monde, ce serait un monde plus pauvre et sans liberté. Le seul espoir résiderait dans un redressement des Etats-Unis. Le pouvoir attire des gens qui veulent avoir une emprise sur les autres. Il attire aussi des gens qui veulent faire le bien. Nous sommes dans une époque ou les premiers sont en position de force. Pour les totalitaires, les êtres humains sont des instruments ou du combustible. Poutine, Khamenei, Xi Jinping ont cette vision là de l’être humain. Dans les democraties occidentales, il est des dirigeeants qui veulent le bien des êtres humains, et il est des dirigeants qui les traitent plutôt comme des instruments. Le combat politique dans le monde occidental est entre les deux types de dirigeants. Je me suis éloigné de la France car, comme ailleurs en Europe occidentale, les valeurs éthiques s’y dissolvent, en même temps que la capacité de comprendre le monde. Aux Etats-Unis la dissolution des valeurs ethiques avance aussi, mais la capacite de comprendre le monde subsiste chez les conservateurs, et il reste. des hommes de bien, Donald Trump, Ron DeSantis, Ted Cruz. En France, il n’y a plus personne. Triste époque. Bien cordialement.
Je viens de voir un reportage sur « les routes de l’impossible » au Vénézuela, qui décrit la destruction d’un pays nanti de pétrole et de terres fertiles. On y voit un religieux dévoué parcourir les chemins les plus défoncés à flanc de montagne pour aller porter des médicaments à des gens isolés et démunis, et ensuite on apprend que le religieux est décédé du COVID il y a deux mois. On dirait un concentré de tout ce que vous décrivez.
Le Venezuela était un pays prospère et libre. Le regime Chavez a détruit le pays en quelques années. Chavez a été très admiré en France, et pas seulement à gauche…
Cher BHL de Las Vegas,
les russes auraient dû utiliser les bonnes vieilles méthodes ancestrales, certes rustiques, mais beaucoup plus efficaces. Au lieu de ça ils tirent (en plus sur un territoire allié) des missiles (nous venons de découvrir que maintenant ce serait une arme thermobarique (des obus ou encore des missiles?)) …?…?…
Allez donc comprendre pourquoi, ils laissent parmi les prisonniers, plus de la moitié des survivants. On se demande pourquoi, tant qu’à faire, ils n’ont pas éliminé tout le monde. Pour un « meurtre de masse » , c’est ,le moins que l’on puisse dire, raté.
Ces dernier temps ils tireraient aussi de missiles contre la centrale nucléaire de Zaporijia qui elle aussi se trouve en territoire allié. Sans oublier bien évidemment le barrage qui alimente en eau les refroidisseur de la centrale.
Remarquons que pour Zaporijia il s’agit de missiles fournis par l’OTAN et pour le barrage des missiles américains HIMARS. Fort probablement ils ont dû se procurer tout ce matériel sur le Darknet. Ce qui n’est pas surprenant étant donné que seulement une partie du matériel expédié parvient au front.
Les voies de l’âme slave sont impénétrables mon fils.
PS: Décidément, vous ne parvenez pas à renoncer aux anachronismes. Vous devriez pensez à vous maîtrisez.
Lenardon
Il n’a pas fallut attendre la guerre pour découvrir que le pouvoir ukrainien baigne dans une athmosphère de corruption et de mafia dont le bussiness entr’autre est la vente d’armes … beaucoup de matériel militaire fourni par les américains et l’Europe ne finit pas au front mais dans le marché parallèle mafieux … certains militaires nous ont déjà prévenu que déjà aujourd’hui, des armes sont vendues aux terroristes internationaux arabes et autres et que la situation deviendra dramatique en fin de guerre lorsque tous ces stocks de missiles et autres joyeusetés finiront immanquablement sur ce marché parallèle !
Les Ukrainiens n’ont jamais été des enfants de coeur et très honnêtes, c’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle la porte de l’Europe leur est refusée .. pour combien de temps encore?
Vous seriez comique si vous n’étiez odieux. La propagande russe devient ridicule, et ceux qui la croient sont atteints de crétinisme aigu. L’armée ukrainienne veut provoquer une catastrophe nucléaire et détruire l’Ukraine, mais bien sûr… C’est très logique. Je ne sais ce que vous absorbez en dehors de la propagande russe, faites attention à l’overdose…
Je vous signale qu’il y a des failles dans vos affirmations. Votre contre-argumentation reste très souvent pour ne pas dire toujours la même: « C’est de la propagande ».
Il a une explication : les ukrainiens mettent la pression sur les dirigeants de la république populaire de Lougansk et sur Poutine pour récupérer le contrôle de la centrale nucléaire de Zaporijia et tout les moyens sont bons.
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/l-ukraine-alerte-sur-les-risques-d-un-raccordement-de-la-centrale-nucleaire-de-zaporijia-par-les-forces-russes-927885.html
» Mais l’Ukraine s’oppose à ce que le directeur de l’AIEA se rende à la centrale tant qu’elle est occupée par les Russes. »
https://fr.euronews.com/2022/06/07/ukraine-l-aiea-veut-controler-la-centrale-nucleaire-de-zaporijia-dirigee-par-moscou
Sans quoi l’électricité fournie par la centrale sera utilisée pour alimenter, entre autre, la Crimée. Kiev devra donc trouver une solution pour compenser cette perte. Avec l’hiver qui approche….
Rappelons aussi que le barrage de Novaïa Kharkova qu’alimente en eau la Crimée et la retenue en eau nécessaire pour le refroidissement des réacteurs a été lui aussi la cible de multiples tir de missiles HIMARS. Ces tirs sont impossibles sans l’aide et l’autorisation de l’OTAN
PS: Remarquez que les sources sont occidentales…
On a le droit de se poser des questions sur l’honnêteté de Zelinsky … la dernière trouvaille de cet homme que j’admirais au départ et que je commence sérieusement à détester, est le bonbardement de la centrale nucléaire .. quand un Zelinsky accuse un jour que la Russie veut faire main basse sur elle pour alimenter les Russes et que le lendemain, il accuse la Russie de bombarder cette centrale, c’est se moquer du monde .. et je pense qu’il le fait de plus en plus … on ne permet plus au dirigeant Poutine de s’exprimer et d’argumenter sa guerre :.. seuls les Zelinskynnochio et Bidennocchio ont droit à la parole et donc nous sommes contraints de ne n’entendre qu’un seul coté du disque
Comme celui qui signe cestmoi, vous ecoutez trop la propagande russe, et peut etre ne percevez vous pas que c’est de la propagande russe. Biden est une horreur, mais il est à la tête d’un pays où les valeurs ethiques comptent encore, et quand Poutine a échoué devant Kiev et a multiplié les atrocités, il n’a pu faire autrement que se placer du coté des victimes. Ce qui se passe devrait être simple à comprendre. Il y a un dictateur criminel et prédateur qui agresse un pays démocratique et qui a voulu y prendre le pouvoir. Le dictateur a raté son operation, et il continue a multiplier les atrocités. Zelensky n’est pas fou, et ne veut pas un accident nucleaire qui détruirait son propre pays. La logique la plus elementaire devrait vous faire comprendre que Poutine est le destructeur et le criminel.
Au cas où vous le sauriez pas, il y a eu quatre survivants dans le baraquement qui a été bombardé. En supposant qu’une arme thermobarique ait été utilisé, l’explosion accompagnée de la suppression de tout l’oxygène (sur une zone plus tendue) le laisse aucun survivant.
Dans Telegram vous pouvez voir l’utilisation (par l’armée russe) de missiles antibariques tirés sur ce qui reste de la ville de Pesky. Cette arme est très destructrice. Dans le même site on peut voir le cadavre (non carbonisé…) d’une victime clairement identifié qui se trouvait dans l’un des baraquement du camps d’Olenivka. Elle portait sur son bras droit un tatouage nazis de couleur rouge. Ce devait certainement être un nazi « modéré ».
La localisation du camps était connue par les ukrainiens. La précision du tir est impossible sans l’aide d’un satellite et sans l’autorisation du commandement de l’OTAN.
Vous n’êtes pas lasse de vous abreuver de propagande russe? Etes vous rémunéré pour cela, ou faites vous cela par amour d’un dictateur criminel?
La précision d’un tir avec un missile thermobarique est faible. C’est la raison pour laquelle, ils sont toujours utilisés en tir groupés.
La charge explosive d’un missile HIMARS est d’environ 80 Kg. Il y a des missiles qui peuvent transporter des charges explosives plus élevées. La différence réside dans la trajectoire. Le missile tombe à la verticale sur sa cible tandis que les autres missiles ont une trajectoire parabolique.
Le prix unitaire du missile dépasse les 100 000 dollars US. La précision élevée du tir est impossible sans un satellite. Compte tenu du prix ainsi que du pouvoir destructeur, c’est une arme assez coûteuse que Lockheed Martin a réussi à vendre au gouvernement US.
Vous êtes branché en direct sur le site du Kremlin?
Autrement dit vous n’avez aucun contre-argument.
Quelle mouche a donc piqué Viktor Orban ? Jusqu’ici, j’avais une assez bonne opinion de lui, mais là, je ne comprends plus. Pourtant, il set bien placé pour reconnaître en Poutine le digne héritier des dictateurs soviétiques.
J’ai du mal à comprendre moi aussi. Je pense qu’il se place du point de vue de l’intérêt de la Hongrie, sans prendre en compte quoi que ce soit d’autre. Il reçoit du pétrole et du gaz russe. Le reste ne lui importe pas. La droite nationaliste francaise raisonne de cette façon. Ce sont les disciples du maréchal Pétain, et on voit de quel coté ils se seraient situés en 1940.
La célébrissime éthique n’empêche pas l’Arabie saoudite de continuer à vendre du pétrole aux occidentaux. Sleepy Joe leur a même demandé (en vain) d’augmenter la production. Je passe sur le Qatar.
Signalons au passage qu’environ 30% des terres agricoles ukrainiennes apparient à des grand groupes alimentaires. On était très loin de la catastrophe alimentaire mais plutôt très proche de la catastrophe économique pour les groupes concernés.
https://www.breizh-info.com/2022/08/04/206228/les-entreprises-americaines-possedent-environ-30-des-terres-arables-ukrainiennes/
Orban regarde avant tout l’intérêt économique de son pays . Et il est très simple: se procurer de l’énergie et des matières premières a un faible coût. Seuls les russes en sont capables.
La Hongrie a dû vivre pendant des décennies sous le régime communiste durant lequel les hongrois n’avaient pas grand chose à dire. Si après s’en être enfin débarrassés , ce serait pour le remplacer par une nouvelle entité totalitaire qu’est l’ « Union » Européenne (qui décide ce qu’il faudrait faire ou pas), il est facilement compréhensible que la majorité des hongrois n’en veuille pas.
Si Orban pensait à l’intérêt économique de son pays, il libéraliserait la Hongrie, démocratiserait les institutions, investirait dans la recherche et formerait sa jeunesse. l’Europe n’a pas annexé la Hongrie qui a demandé a intégrer l’U.E. Rien ne l’empêche d’en sortir.
Et vous devriez dire « les Hongrois qui restent en Hongrie n’en veulent pas » car plus de 35% des Hongrois vivent à l’étranger et la Hongrie perd chaque année des dizaines de milliers de jeunes qui ne voient aucun avenir dans leur pays.
S’ils espèrent trouver mieux , entre autre, en France, ils vont rapidement déchanter….Libéraliser pour les occidentaux (USA et Europe de l’Ouest) c’est démembrer l’économie d’un pays, imposer l’anomie, le rendre dépendant de Bruxelles et/ou de Washington et surtout laissé libre court à toutes les dérives du wokisme.
C’est justement parce qu’il y pense qu’il n’en veut pas, ainsi que la majorité des hongrois.
Et « la majorité des Hongrois » serait prête pour ne plus dépendre de Bruxelles à renoncer aux subventions ?
J’en doute.
Bientôt « la majorité des Hongrois » vivra ailleurs qu’en Hongrie.
Ça doit perturber Ursula la princesse des choux bruxellois. Elle n’aime pas que l’on résiste à ses caprices.
Je ne pense pas une seconde qu’Orban souhaite le bien de la Hongrie mais uniquement le sien propre, sinon, il n’aurait pas dilapidé les subsides de l’U.E à des fins clientélistes, aurait libéralisé son pays et en aurait démocratisé les institutions. A l’image d’un Poutine, il agit contre les intérêts de sa population et uniquement pour garder le pouvoir.
D’ailleurs, les jeunes Hongrois l’ont bien compris qui fuient leur pays par dizaines de milliers chaque année.
Parce que Choupinet (pardon le « président » Macron) agirait pour l’intérêt de la France?
Non, je ne crois pas que Macron agisse au mieux dans l’intérêt des Français. Mais je croyais que nous parlions d’Orban.
Je n’ai jamais cru en Orban. Pour moi, beaucoup se sont leurrés en écoutant son discours anti-immigrés et LGBT. Il importe de comprendre que la Hongrie n’est pas un pays d’immigration mais d’émigration: plus d’un tiers des Hongrois vivent hors de Hongrie et cette proportion s’accroit chaque année. Il était dès lors facile de tenir ce discours sans réelle menace d’immigration pour la Hongrie (les migrants souhaitent pour l’essentiel rejoinde le R.U, l’Allemagne, la France et l’Espagne). On a bien compris récemment que la pensée d’Orban est fondamentalement raciste. Son double jeu avec Poutine est donc logique: les deux hommes se rejoignant dans cette idéologie (voire à ce sujet les propos de Lavrov sur « le sang juif d’Hitler »).
Il y a différence de taille entre la défense des homosexuels et la glorification de l’homosexualité. Maintenant si réduire l’homme a un producteur de sperme et la femme à une usine à ovules ne vous dérange pas, ce n’est pas mon cas.
Quant au « double jeux », que dire alors de Choupinet qui, entre autre, autorise le retour d’une dizaines de femmes djihadistes avec leur vingtaine d’enfants. Je passe sur ceux et celles qui sont sur le territoire français qui n’ont jamais été expulsés ni déchus de leur « nationalité » française. ne parlons même pas des multiples votes de la France à l’ONU.
PS: Vous ne croyez pas en Orban mais vous croyez en Zelensky. Alors vos « croyances »…
Vous aimez les débats à tiroirs: on vous parle de d’Orban, vous répondez sur Macron.
Ce que je crois, c’est que Zelensky est à la tête d’un Etat agressé et qu’il fait front courageusement là où d’autres se seraient exilés dans les 24h. Zelensky est un homme donc vous lui trouverez sans doute maints travers (Churchill n’en manquait pas !) mais Poutine que vous admirez est lui un infâme assassin qui, en plus, signe pour son peuple des années encore plus difficiles que celles lamentable qu’il vivait jusqu’à présent.
S’il vous amuse d’assumer cela, libre à vous.
Concernant Orban, il pense non seulement a son intérêt personnel, mais à sa vision de son pays, nationaliste, autoritaire et isolationniste. Il tire des avantages de l’appartenance à l’Union Européenne. Il tire des avantages de ses liens avec Poutine. Concernant cestmoi, il est inutile d’attendre quoi que ce soit d’un débat avec ce personnage. C’est un admirateur absolu du dictateur criminel russe, et il n’en a rien a faire des assassinats et des divers autres crimes perpétrés par le dictateur susdit. Il s’abreuve dans tout ce qui émane de la propagande russe et ne craint visiblement pas l’overdose…
Manifestement vous n’aimez pas être contrarié. Ça doit trop vous changer de l’admiration béate.
Je ne suis pas contrarié. Je suis lassé. Vous cherchez à justifier l’injustifiable. Vous reprenez en détail les démonstrations les plus improbables venues de la propagande du Kremlin et des propagandistes français ou autres au service de Poutine. Vos bases de raisonnement laissent totalement de côté l’ensemble des valeurs éthiques qui sont le fondement de la civilisation occidentale. Pour toutes ces raisons, j’ai compris depuis des semaines que dialoguer avec vous et tenter de vous expliquer quoi que ce soit est totalement inutile. D’une manière générale, quand je rencontre l’admirateur d’un chef terroriste ou d’un dictateur criminel, je passe mon chemin, avec dégoût, et je ne dialogue pas.
L’étique n’a aucune utilité en géostratégie. C’est uniquement une posture morale qui permet de se donner bonne conscience tout cachant assez mal les véritables motifs et ils sont tout sauf moraux.
C’est pour cette raison que, par exemple, Poutine préfère traiter avec Erdogan qu’avec Macron. Pour Poutine et Erdogan chacun sait exactement à quoi s’en tenir. Ils ont tout deux la même conception de la nation. Pour Macron la France ne compte pas. Pour lui elle doit disparaître pour se fondre dans une entité supranationale voir pour certains aspects mondiale. Pour Poutine et Erdogan cette conception de la nation est l’exact contraire de la leur. Tout dialogue est impossible.
Cette conception européiste de Macron voir aussi mondialiste est vouée à l’échec. L’Europe, c’est une civilisation. C’est ni un peuple ni un pays.
L’étique, c’est vous, c’est bien ça ?
L’étique ce rien d’autre qu’une excuse, un prétexte.
Il ne s’agit pas de l’éthique de tel ou tel dirigeant mais de celle qui imprègne une nation nourrie à la démocratie ou pervertie par la tyrannie.
En France,on a pu entendre des discours contre l’intervention au Mali. Chaque soldat tombé est identifié, les circonstances de sa mort sont expliquées, la presse en rend compte et le soldat est finalement honoré par la nation.
En Russie, il est interdit de s’opposer au conflit (on risque gros rien qu’à prononcer le mot guerre),les soldats recrutés à la va-vite dans les contrées les plus pauvres de la fédération sont envoyés au front et, une fois tombés au combat, ils retournent dans leur anonymat.
La nation, selon Poutine ou Erdogan, c’est l’élite au pouvoir et le peuple est tenu de s’y soumettre sagement.
C’est pire encore que ce que vous écrivez. Les soldats de l’armée russe tombés au combat ne retournent pas dans l’anonymat. Ils disparaissent. Soit ils sont abandonnés sur place. Soit ils sont brûlés dans les fours crématoires portables de l’armée russe. Il y a des sociétés dans lesquelles il existe un respect pour la vie humaine,et il existe des sociétés dans lesquels les êtres humains sont des instruments ou du combustible aux yeux des dirigeants. La Russie de Poutine appartient à la deuxième catégorie. Les gens sans éthique préfèrent les secondes et méprisent les premières. Ils sont de bonnes recrues pour les sociétés dictatoriales et totalitaires, qu’ils admirent. Celui qui signe cestmoi en fait partie. C’est pourquoi je n’ai fondamentalement rien à lui dire.
La disparition n’est-elle pas le stade ultime de l’anonymat ?
Je ne réponds pas non-plus personnellement à Cestmoi mais m’adresse plus largement à ceux qui suivent ce débat.
Le Devoir de Mémoire est à la guerre ce que l’agriculture bio est à la boucherie-charcuterie : … ça ne rend pas les carnivores végétariens !
Pas un seul Devoir de Mémoire ne se déroule sans que ne soit honoré le souvenir des victimes des conflits passés, … et c’est légitime, … mais ce simple rappel ne suffit raisonnablement pas à empêcher que l’Histoire repasse les plats !
Rêvons, … mais raisonnablement, là aussi !
N’oublions jamais que, si les guerres sont faites par des gens qui s’entretuent sans se connaître, … elles sont TOUJOURS déclarées par des gens qui se connaissent mais qui, eux, ne s’entretuent pas !
L’Ukraine me fait un peu penser à l’Espagne de la seconde moitié des années trente du siècle passé.
Une république espagnole corrompue comme l’est actuellement celle de l’Ukraine et de ses dirigeants successifs, fortement minée de l’intérieur, … « aidée » … par un Occident frileux en proie à des idéologies apparemment contradictoires.
L’Ukraine, dont la capitale fut le berceau de la Russie, à laquelle ses « nationalistes » de l ‘Est ont demandé aide et assistance, … (et l’ont obtenue comme les « nationalistes » espagnols obtinrent celle du Führer), … cette Ukraine serait-elle le ban d’essai d’une Russie qui cherche à redéfinir sa doctrine militaire après le démembrement de l’ex URSS ?
Dans cette hypothèse, attendons de voir en quoi consistera le « Guernica » poutinien ! … une attaque nucléaire bactériologique chimique localement très ciblée ? …
Gageons que, fidèles à leurs habitudes culturelles, les Occidentaux « condamneront fermement cet acte inqualifiable », … et disserteront à perte de vue sur l’utilité de rompre ou non le dialogue avec l’agresseur, … avant de passer aux traditionnelles « préoccupations » climatiques ou sanitaires !
La Russie a ses Sudètes avec la Géorgie, la Crimée, le Donbass, le Donetsk, … mais quid d’autres régions russophones ? … et Poutine a son Lebensraum : la mythique Grande Russie !
Comment s’enchaîneront les événements ? … je l’ignore ! … mais si je fais un parallèle entre le contenu de la presse dite d’avant guerre et la presse actuelle, … toute aussi cyniquement « aveugle », … j’ai l’impression d’être, une fois de plus, dans le mauvais camp :
CELUI QUI, … PAR L’INCONSÉQUENCE CRIMINELLE DE SES DIRIGEANTS, … VA ENCORE MORFLER !
Poutine jouerait gros en utilisant des armes nucléaires car comment réagiraient alors des Ukrainiens qui n’auraient plus rien à perdre et qui sont tout à fait capables de toucher le territoire russe ou biélorusse avec des attaques ciblées menées sur des sites sensibles ?
Nous vivons une époque de déraison complète ! … ce qui rend envisageable TOUT & SON CONTRAIRE !
Poutine a fait un très mauvais calcul en attaquant l’Ukraine. Il reste néanmoins un calculateur cynique. Il sait que s’il utilise des armes atomiques ou biologiques, il pourrait entrainer une montée en puissance du monde occidental. Il ne prendra pas le risque. Il le prendra d’autant moins que militairement, il n’a pas d’alliés. La Chine voit que Poutine a échoué, et elle entend utiliser la Russie comme un réservoir de matières premières, pas comme l’allié solide qu’elle n’est pas. L’Iran joue la carte chinoise et voit que Poutine peut tomber.