
La seule clinique “d’identité de genre” pour enfants au Royaume-Uni va faire l’objet d’une action en justice suite à des allégations selon lesquelles elle a “précipité” certains jeunes patients dans un traitement, y compris l’utilisation de médicaments bloquant la puberté.
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Le service national de Santé d’Angleterre a ordonné au centre Tavistock de mettre fin à ses activités, lequel est également connu sous le nom de Gender Identity Development Service (Service de développement de l’identité de genre – GIDS), après qu’un examen indépendant a révélé que changer de sexe n’est pas une “option sûre ou viable à long terme”. Epoque de fous : je suis stupéfait qu’il faille une étude pour s’en rendre compte.
Mais cela n’était visiblement pas assez, vu les dégâts humains constatés. Un cabinet d’avocats intente une action collective pour “négligence clinique” contre le centre, sur fond d’allégations selon lesquelles le service aurait “mal diagnostiqué” certains jeunes patients qui se débattaient avec leur “identité de genre”.
S’adressant à Sky News, Tom Goodhead, associé directeur général de Pogust Goodhead, a déclaré :
“Nous pensons qu’il y a potentiellement des centaines de cas de négligence clinique. Nous pensons qu’il y a potentiellement des centaines de jeunes adultes qui ont été affectés par des défaillances dans les soins au cours de la dernière décennie au Centre Tavistock, et nous voulons être en mesure de leur donner une voix au tribunal.”
Il affirme que “les enfants et les jeunes adolescents ont été précipités dans un traitement sans la thérapie appropriée et sans l’implication des bons cliniciens, ce qui signifie qu’ils ont été mal diagnostiqués”.
Depuis son ouverture en 1989, le centre Tavistock a “travaillé” avec environ 9 000 enfants – de 17 ans ou moins.
Certains de ceux qui présentaient une dysphorie de genre, qui est une détresse rarissime due à une inadéquation entre leur sexe biologique et ce qu’ils ressentent, ont été traités par hormonothérapie, également connue sous le nom de “bloqueurs de puberté”, qui peut aider à retarder les changements physiques du corps de l’enfant – autrement dit, qui permet de détraquer le corps, mais pas de supprimer ou changer le sexe.
Les avocats cherchent à réunir des enfants qui ont pu être “engagées dans une voie de traitement qui ne leur convenait pas”, selon M. Goodhead, en appelant toute personne qui aurait été affectée à se manifester.
Au début de l’année, la Cass Review, soutenue par le NHS et dirigée par le Dr Hilary Cass, pédiatre, a publié son rapport intermédiaire, qui a révélé que certains membres du personnel de santé du Tavistock Centre s’étaient sentis sous pression pour adopter “une approche affirmative inconditionnelle” envers les enfants présentant une dysphorie de genre.
Le rapport indique également que la clinique subit une “pression insoutenable” en raison de l’augmentation vertigineuse des listes d’attente et qu’elle a du mal à conserver des “données de routine et cohérentes” sur les patients.
Le centre londonien devant fermer ses portes au printemps prochain, de nouveaux centres régionaux seront créés à sa place pour “garantir que les besoins holistiques” des patients soient pleinement satisfaits, a déclaré le NHS le mois dernier.
Et le problème non abordé, c’est la très forte influence des médias, qui font croire que le changement de sexe, les problèmes de sexe, sont un phénomène normal, banal, auquel des solutions simples existent. Pourquoi ? Parce que les journalistes sont de gauche ou d’extrême gauche, et que leur idéologie consiste à faire table rase de l’histoire de l’homme, sa nature profonde, pour créer un homme nouveau, une civilisation nouvelle calquée sur leur fantaisie – la révolution culturelle de Mao est un exemple. En France, le livre de Martine Aubry, “Changer de civilisation” était également un bon indicateur.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
La dysphorie de genre n’est qu’un déni de réalité.
Un grand nombre de jeunes ayant changé de sexe (ou croyant l’avoir fait) pensaient que cela résoudrait leurs problèmes divers. Quelques années après ils se sont rendu compte que leurs problèmes persistaient, et regrettent d’avoir abîmé leur corps, d’avoir bloqué leur croissance, perdu leurs ovaires ou testicules, seins, etc. Malheureusement ces dégâts et mutilations sont irréversibles.
Cher Jean-Patrick,
en tout cas pas, entre autre, pas en Russie…
Lenardon