La semaine dernière, Joe Biden dont le taux d’approbation ne cessait de dégringoler dans les sondages, a fait une petite remontée. Les Démocrates en ont quand même profité pour tenter de faire croire aux Américains que Joe Biden est populaire et que les Midterms ne seront pas la défaite cinglante, la grande vague rouge, à laquelle s’attend le GOP. Comme s’il avait le vent dans les voiles, Joe Biden s’est empressé, cette semaine, de dénigrer des millions d’Américains, partisans de Donald Trump, en les traitant de « semi-fascistes ». Comme s’il pensait que les gens qu’il vient d’insulter vont s’empresser de voter pour les candidats démocrates lors des Midterms !
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Nick Arama, paru sur le site de RedState, le 31 août.
**************************
Les derniers chiffres de désapprobation de Joe Biden sont éloquents
Les Démocrates ont essayé de promouvoir une nouvelle image de Joe Biden ces derniers temps : il est devenu le « Dark Brandon » qui parvient à faire adopter les lois.
Ils ont peut-être été aidés dans une certaine mesure par le fait que Joe Biden était en vacances pendant la majeure partie du mois d’août, ce qui a évité de rappeler chaque jour aux gens à quel point il est mauvais.
Devenez « lecteur premium », pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
Joe Biden a fait une brève remontée dans certains sondages.
Il est monté à 41 % de taux d’approbation dans le sondage Reuters/Ipsos de la semaine dernière (21 au 27 août) et les Démocrates ont fêté ça comme s’il s’agissait d’un retour en force.
Selon les critères habituels, un taux d’approbation de 41 % et un taux de désapprobation de 54 % indiquent tout de même qu’un candidat sera éliminé lors des élections.
Mais les Démocrates étant ce qu’ils sont, ont claironné ce sondage, pour faire croire qu’il est un signe avant-coureur d’une remontée significative de Joe.
Si Joe et les Démocrates pensaient qu’ils allaient obtenir des votes lors des Midterms en organisant le sauvetage de la dette étudiante, ils viennent d’obtenir une réponse sur la façon dont cela va fonctionner: ça ne marchera pas du tout.
La réalité a frappé Joe Biden cette semaine – son taux approbation est redescendu à 38 % et sa désapprobation est remontée à 58 %, ce qui est proche du plus bas niveau de son mandat.
Il s’agit d’une baisse nette de 7 % en une semaine. C’est une chute assez importante pour une période estivale.
En plus de cela, les démocrates sont surreprésentés à +9 dans ce sondage qui est ridiculement déséquilibré, et pourtant, la cote de Biden est toujours aussi basse.
C’est comme ça que l’on sait que Biden a vraiment touché le fond.
Son chiffre le plus bas dans un sondage Reuter’s était de 36 % d’approbation en juin, mais il est sous la barre des 44% depuis le mois d’août de l’an dernier.
Qui aurait pensé qu’accorder un plan de sauvetage à un groupe restreint de personnes était une mauvaise décision politique et qu’elle risquait de ne pas être bien accueillie par le reste des Américains qui vont en faire les frais ?
N’importe qui ayant un peu de bon sens. Sans parler du fait que c’est illégal.
C’est un magistral retour du bâton.
Cela s’est également produit après que Joe Biden ait commencé à diaboliser des millions d’Américains en les traitant de « semi-fascistes » et en disant qu’il n’a aucun respect pour les Républicains MAGA.
Si ces paroles font plaisir à la gauche radicale, elles ne plairont pas à la plupart des Américains.
Pour couronner le tout, le problème numéro un reste l’économie, qui est toujours dans le creux de la vague, avec une inflation qui écrase toujours les Américains de la classe moyenne et qui est probablement sur le point d’empirer à cause de la Loi (mal-nommée) sur la Réduction de l’Inflation, et l’effacement des prêts étudiants.
Les Démocrates peuvent bien dire ce qu’ils veulent, mais il semble que leur « come-back » n’aura pas lieu.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Redstate
Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.
Et oui d’un âne on en fera jamais un cheval de course !
Biden est une catastrophe planétaire, le peuple Américain aura la lucidité je l’espère de voter correctement en novembre 2022 et 2024.
Chère Magali,
les « démocrates » peuvent dire tout ce qu’ils veulent, ça ne ferra pas baisser le prix de l’essence (un exemple parmi tant d’autres). Dementia Joe ne prend pas de « vacances ». Cela fait partie intégrante de son traitement médical sans quoi ses « pertes de contrôle » deviendront de plus en plus fréquentes.
Ici en Europe le mot « fascisme » est de plus en plus utilisé pour tout ce qui contrarie le progressisme (auto-proclamé). Ce fût un courant politique typiquement italien. Quant au semi-fascisme, ce n’est pas une insulte ni un dénigrement parce ce concept n’a aucune existence réelle.
« C’est comme ça que l’on sait que Biden a vraiment touché le fond. »
Non Sleepy Joe n’a pas encore touché le fond. Ce sera uniquement le cas quand il sera mort.
Le bonjour à la Belle Province.
Cordialement
Lenardon