Publié par Magali Marc le 23 septembre 2022

Avec Joe Biden, Kamala Harris et John Fetterman, les Démocrates donnent l’impression qu’ils choisissent délibérément des candidats faibles du cerveau qu’ils vont pouvoir manipuler aisément et les amener à promouvoir l’agenda gauchiste dont les Américains ne veulent pas.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de M.B. Mathews, paru sur le site d’American Thinker, le 22 septembre.

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Les Démocrates choisissent-ils délibérément des candidats avec des facultés affaiblies ?

Une fois pourrait être excusé.

Deux fois, c’est suspect.

Trois fois, ça devient une stratégie.

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Les Démocrates choisissent-ils des personnes intellectuellement déficientes et faibles pour se présenter aux élections afin de pouvoir les manipuler plus facilement ?

  • Joe Biden était et reste clairement débile, physiquement, psychologiquement et cognitivement.
  • Kamala Harris est intellectuellement suspecte, linguistiquement incontinente et verbalement incohérente.
  • John Fetterman est aussi handicapé pour deux raisons : Il a eu récemment un accident vasculaire cérébral qui semble l’avoir laissé avec des troubles cognitifs, et il a également un gonflement assez important à l’arrière de son cou, qui pourrait être le signe de plusieurs conditions très graves.

Pourquoi ces personnes ont-elles été sélectionnées par le Parti Démocrate pour les plus hautes fonctions ?

Cette observation me conduit à des pensées que je préférerais ne pas avoir.

Joe Biden, le sénile

Il est clair que Joe Biden à la Maison Blanche fait ce que d’autres lui disent de faire. Visiblement, il n’a pas l’endurance, la sagesse ou le sens politique nécessaires pour être un président des États-Unis efficace.

Ses gaffes, sa dyslexie verbale, ses tergiversations délirantes, son verbiage confus et sa capacité à faire des déclarations que ses assistants doivent corriger sont tous profondément troublants.

Aucun parti politique ne présenterait un tel candidat à moins que deux choses ne se produisent : d’une part, la victoire électorale du candidat serait garantie, et d’autre part, il serait simplement une figure de proue pour les vrais dirigeants derrière le trône.

Biden devait savoir que d’autres dirigeraient sa présidence. Est-ce que lui et sa femme Jill ont été si faciles à manipuler ?

Si quelqu’un offrait à un Démocrate le poste le plus puissant de la planète et lui disait : « Ne vous inquiétez pas, nous ferons tout le travail, détendez-vous et signez les documents », la plupart des Démocrates ne refuseraient-ils pas de se contenter de tenir le stylo?

Biden aurait dû supposer que son vieux copain Barack Obama (et ses subalternes) ferait le gros du travail, lui permettant de se prélasser dans la présidence sans avoir à lever le petit doigt.

La sotte Kamala

On sait que Kamala Harris n’est pas une lumière. Elle est arrogante, manque de leadership et n’a pas d’éthique de travail.

Elle est paresseuse, croit que tout lui est dû et elle est incapable de garder son personnel en raison de sa personnalité agressive et ambitieuse. Elle n’a même pas été capable d’obtenir suffisamment de votes de son propre parti en 2020 pour être sur le ticket du candidat à la présidence. Elle est si peu appréciée que personne ne veut avoir affaire à elle.

Imaginez donc notre surprise lorsqu’elle a été choisie par le Parti Démocrate pour être la colistière de Joe Biden. La candidate démocrate la plus impopulaire est devenu vice-présidente sans avoir la moindre chose à offrir, si ce n’est sa malléabilité.

La myriade de salades de mots de Kamala et ses divagations bizarres sur le “travail en commun” et le “passage du temps”, pour n’en citer que deux, révèlent une stupidité difficile à comprendre, à moins que ses supérieurs intellectuels ne l’aient considérée comme devenant malléable en échange des avantages d’être la VP.

Elle est se trouve maintenant à un battement de cœur de la présidence.

John Fetterman et ses troubles cognitifs

La candidature de John Fetterman [ NdT : l’actuel lieutenant-gouverneur de la Pennsylvanie ], semble être une autre cruauté perpétrée sur le public américain au nom de la victoire à tout prix.

Ce candidat au Sénat US pour la Pennsylvanie a des problèmes physiques et mentaux qui l’empêchent de faire des déclarations et d’avoir des réactions cohérentes face aux pressions qu’il subit en se présentant aux élections sénatoriales. Il a déjà révélé qu’il n’était pas à la hauteur de la tâche.

M. Fetterman est un autre cas où le Parti Démocrate a choisi le candidat le plus faible, et non le plus fort.

Conclusion

C’est comme si le parti avait décidé de choisir des personnes affaiblies, malléables, mais ambitieuses, qui ont échoué dans leurs tentatives passées d’exercer le pouvoir ou qui sont reconnues comme étant susceptibles de vendre leur âme pour obtenir un peu de pouvoir.

Leur a-t-on dit : « Ne vous inquiétez pas, nous nous occupons de tout » ? Ou bien, leur a-t-on dit : « Nous nous occupons de l’aspect électoral, vous faites ce qu’on vous dit et vous vous frayez un chemin vers le pouvoir » ?

Ce serait logique si c’était effectivement le cas, car nous savons déjà que la soif insatiable de pouvoir des Démocrates les amène à créer de nouvelles méthodes cyniques : choisir les faibles pour représenter les vrais leaders qui demeurent dans les coulisses.

Un vainqueur manipulable est préférable à un vainqueur fort et autosuffisant qui pourrait ne pas accepter de recevoir des ordres de ceux qui détiennent véritablement le pouvoir.

Il est clair que la gauche a un programme ; il s’agit d’affaiblir la population par des politiques telles qu’un registre national des armes à feu.

Mais ils ne peuvent pas mettre en place ces politiques à moins que les dirigeants sélectionnés ne fassent la promotion de ces points radicaux de l’agenda qui servent la cause de la gauche.

George Soros, les Obama, Susan Rice, Valerie Jarrett et bien d’autres riches élites, sans frontières et fanatiques du climat marxiste mondial tiennent le Parti Démocrate d’une main de fer de la base au sommet.

Les élites choisissent-elles délibérément des personnes faibles afin de mieux les contrôler?

Nous savons qu’elles l’ont fait avec Joe, Kamala et John Fetterman.

Est-ce là leur nouveau modus operandi : choisir les faibles qui s’inclineront devant les forts ?

Après tout, pourquoi présenter des candidats qui ont leurs propres idées quand on peut présenter un candidat qui a un esprit pouvant facilement être détourné vers des causes de la gauche radicale ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Americanthinker

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