Publié par Jean-Patrick Grumberg le 30 octobre 2022
Au secours, ils sont fous ! Disney encourage le « body positive » avec une nouvelle héroïne obèse

Disney a créé sa première protagoniste grosse pour un court métrage sur la dysmorphie corporelle*.

Devenez « lecteur premium », pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !

En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.

Montant libre







Au cours des 85 années d’existence de la société, les gros n’ont jamais figuré que dans des rôles de méchants ou de figurants. Le film, intitulé Reflect, raconte l’histoire d’une jeune danseuse de ballet taille XXL, Bianca, « qui se bat contre son propre reflet, surmontant le doute et la peur en canalisant sa force intérieure, sa grâce et sa puissance ».

Réalisé par Hillary Bradfield, le film fait partie de la deuxième série de Short Circuit – une série de courts métrages expérimentaux.

Reflect est disponible sur Disney+, et il n’encourage pas les enfants à vivre sans dans un corps sain, à manger de manière équilibrée, mais au contraire, à se lâcher avec la junk food, les boissons gazeuses sucrées, les Mc Do, etc.

L’année dernière, Disney a été accusé de pousser des « normes de beauté irréalistes » sur les enfants après avoir inclus un personnage aux proportions exagérées dans le court-métrage Inner Workings.

Elle s’appelait Kate, qui a suscité l’indignation en ligne en raison de son énorme derrière, ses bras fins et sa taille minuscule à peine plus grande que son cou.

Des dizaines d’utilisateurs de médias sociaux ont critiqué la représentation irréaliste du corps de Kate.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

*La dysmorphie corporelle est un problème de santé mentale dans lequel une personne s’inquiète de manière obsessionnelle des défauts de son apparence physique. Les personnes qui en souffrent développent des comportements et des routines compulsifs, comme l’utilisation excessive des miroirs ou le fait de les éviter complètement. Ces obsessions et ces comportements provoquent une détresse émotionnelle et ont un impact important sur la capacité des personnes à poursuivre leur vie quotidienne. En ce sens, cette affection est étroitement liée au trouble obsessionnel-compulsif (TOC). La gravité du trouble borderline peut varier d’une personne à l’autre et d’un jour à l’autre. Pour certaines personnes, les préoccupations liées à l’apparence peuvent les empêcher de sortir en public ou de voir d’autres personnes. D’autres ont besoin de maintenir ce qu’ils perçoivent comme une apparence parfaite. Les personnes atteintes peuvent s’isoler pour éviter les situations où leur apparence pourrait les rendre anxieuses ou gênantes.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous