Le dernier sondage, et tous les sondages précédent, donnaient un avantage écrasant à Lula, le gauchiste chouchou des médias. Tout le monde mentait, les Brésiliens n’ont pas gobé.
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Le président sortant Jair Bolsonaro, que les médias, c’est devenu un ridicule cliché, qualifient d’extrême droite comme tout politicien qui n’est pas de la droite mollassonne, n’a pas laissé l’ex-président de gauche, soutenu par une campagne extraordinaire de la presse, remporter le premier tour de l’élection, dimanche.
Les deux hommes seront départagés lors d’un second tour le 30 octobre, aucun n’ayant obtenu de majorité absolue.
Le président sortant Jair Bolsonaro, massacré par une campagne de diffamation digne du caniveau, comparable à celle qui a pilonné Donald Trump, n’est devancé que de cinq points par Lula lors du premier tour de l’élection présidentielle au Brésil dimanche 2 octobre.
“Nous avons vaincu les mensonges” des sondages et de la presse, a déclaré le dirigeant conservateur et grand ami d’Israël (ça non plus, les médias ne le lui pardonnent pas).
Le dernier sondage de l’institut de référence, Datafolha, donnait samedi soir un avantage de 14 points à l’ex-président gauchiste. Avec 48,4% des suffrages contre 43,2% pour Bolsonaro, il se retrouve à 5 points de différence – un océan.
Bolsonaro a multiplié les critiques contre le système d’urnes électroniques en vigueur dans le pays.
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Il a quand même des risques de passer au second tour ?