
1400 ans que les Nord-Africains vivent sous les babouches des Arabes et de leur idéologie liberticide.
1400 ans d’endoctrinement religieux et d’acculturation, qui les ont plongés dans le néant de l’histoire.
1400 d’oppression et de lobotomisation, qui leur ont fait perdre toute notion de soi, de leur passé, devenu sacrilège.
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Tout rappel de leur histoire, toute tentative de résurrection de leur culture originelle, le Printemps Kabyle, est réprimé dans le sang, stigmatisé, et dénoncé par les médias et le gouvernement comme une atteinte à l’unité et à la souveraineté nationale, et leurs auteurs condamnés et emprisonnés.
Jamais un colonialisme n’a perduré aussi longtemps et n’a provoqué une rupture aussi profonde avec les racines d’un peuple comme le colonialisme arabo-musulman.
C’est devenu, au fil des siècles, un colonialisme sans colonisateurs, les colonisés eux-mêmes se sont substitués aux colons pour devenir les gardiens de leur prison coloniale.
Jamais un peuple n’a autant été dans le déni de son histoire de colonisés, en occultant les deux puissances qui ont corrompu son identité, les Arabes et les Turcs, comme s’il était glorieux et honorable d’être leur vassal.
Être colonisé au nom d’Allah n’est pas être colonisé, cela fait partie du processus de l’édification de l’oumma islamique.
Se révolter, c’est commettre une Fitna.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
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Ce n’est pas souvent que nous pouvons lire ce type de réaction . Cette brève analyse est à mon avis détachée, juste et sans compromissions.
Oui, absolument !
La servitude volontaire, le syndrome de Stockholm, ou un autre mécanisme psychique du même type, cela poussé à son extrême !
Je ne sais pas si c’est aussi grave, mais la culture gauloise a elle aussi sombré sans retour et nous n’avons même pas gardé notre langue, adoptant la langue latine de l’envahisseur romain. Alors on n’a pas vraiment de leçon à donner aux autochtones d’Afrique du Nord.
Une culture sans écriture est vouée à disparaître, les romains ont sans doute accéléré le processus.
Pour comparaison : Les peuples gaulois et celtes ne se sont pas vu imposer une religion.
Contrairement aux tribus de Gaulle et d’ailleurs, l’envahisseur romain bénéficiait d’une culture vieille de 8 siècles qu’on admire encore aujourd’hui, enrichie par celles des régions méditerranéennes vieilles de milliers d’années, telles que la Grèce, où il avait pénétré. Et par ailleurs, il laissait aux provinces conquises la liberté de conserver leurs cultes. La sagesse des envahis (eux-mêmes envahisseurs plus anciens) fut de profiter des apports de la civilisation et de la paix romaines, qui donna naissance en France à la civilisation gallo-romaine.
Bof, sagesse… L’histoire est écrite par les vainqueurs. De plus, je ne suis pas persuadée que ce soit par sagesse. Les classes dominantes ont souvent tendance à la « collaboration » parce qu’elles aiment le pouvoir et se rangent volontiers du côté du gagnant, quitte à retourner leur veste si sa victoire ne se confirme pas. En réalité, personne ne sait comment aurait évolué la société gauloise sans les Romains, mais elle a été écrasée et de plus trahie par ses dirigeants (les ancêtres de ceux qui aujourd’hui chantent les bienfaits de l’immigration) et il s’agit bien de notre peuple. C’est difficile de se forger un moral de vainqueur, historiquement, en partant sur ces bases.
« …il s’agit bien de notre peuple »
« Nos ancêtres les Gaulois », loin de former un seul bloc, rassemblaient une mosaïque de peuples, un melting-pot culturel qui a contribué à forger l’identité de notre pays et met en lumière la pluralité de nos racines. »
Jean-Louis Brunaux. Historia N°890, février 2021
Absolument correct, et Henri Salvador a plaisamment illustré le mythe de « nos ancêtres les Gaulois » dans sa chanson. Dans un autre domaine, apparemment les tests DNA ont révélé que les Irlandais qui revendiquent leur origine celtique ne sont génétiquement reliés à ce groupe humain que pour un tiers.
Il ne s’agit pas de « se former un moral de vainqueur », mais de savoir de quoi on parle avant de faire allusion à ses racines. Et j’ai l’impression que vous vous êtes contenté de ce que le Ministère de l’Education diffuse dans les écoles depuis plus d’un demi-siècle en guise d’Histoire de France.
Pourquoi est-ce que ça vous dérange que je dise que ça laisse des traces d’avoir été vaincu et d’avoir perdu sa culture ? C’est l’objet de l’article, et je dis simplement que nous n’avons pas de leçon a donner, car nous avons une longue histoire de renoncement à nous-mêmes.
Et j’ajoute : contrairement au peuple juif qui, lui, a su garder sa culture et n’a pas abandonné sa langue.
Cet article met en évidence une vérité qu’on se refuse à voir tant elle est détestable : l’islam est, hélas, incroyablement fort.
Une cause majeure de la subversion de la France à laquelle nous assistons, provient de l’erreur commise par le patronat et nos gouvernants depuis Pompidou et Chirac : ils ont sous-estimé l’islam, n’ont pas compris que l’islam est plus fort qu’eux.
Résultat, aujourd’hui ils s’agenouillent.