De plus en plus de commentateurs conservateurs prédisent une défaite cinglante des Démocrates lors des Midterms du 8 novembre. Il est clair que les candidats démocrates sont piégés par le fait que l’idéologie gauchiste est devenue un dogme. Les candidats démocrates ne peuvent pas faire marche arrière. Il ne peuvent dénoncer le définancement de la police, ni l’imposition du transgenrisme aux enfants, ou la pédophilie. Si les Républicains ne les battent pas à plate couture le 8 novembre, ils ne les battront jamais !

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Kurt Schlichter, paru sur le site de Townhall, le 24 octobre.

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C’est parti pour la déroute des Démocrates

Les étudiants en histoire militaire savent que la véritable saignée commence lorsque le camp perdant rompt les rangs après la désintégration de ses formations et que la cavalerie s’avance pour faucher les survivants en fuite.

C’est chacun pour soi, et le mieux que puissent espérer les individus vaincus qui faisaient autrefois partie d’unités cohésives est de ne pas finir parmi les corps éparpillés sur le champ de bataille.

C’est à ce moment-là que le vainqueur accumule les points. C’est à ce moment que la grande majorité des pertes se produisent. C’est une déroute.

C’est à peu près là où en seront les Démocrates le 8 novembre, au sens figuré bien sûr.

Pour ceux qui ne comprennent pas : les Républicains sont la cavalerie.

Pour ceux qui ne comprennent vraiment rien : la cavalerie était une force de combat très mobile, de l’ancien temps, montée à cheval et maniant lances, sabres, et parfois arcs ou carabines.

Dans l’armée américaine actuelle, les cavaliers ont abandonné leurs destriers mais portent toujours de superbes chapeaux.

Ceux d’entre nous qui ont vécu plusieurs cycles électoraux de mi-mandat ont compris depuis le début comment cela allait se passer.

Les principes de base des Midterms favorisent le parti qui n’est plus au pouvoir.

Dans ce cas-ci, les principes fondamentaux ont fait irruption dans une pharmacie et ont volé tous les stéroïdes parce que l’incompétence flagrante de Grand-papa DoigtsCrochus s’est combinée à l’idéologie conjointe des mondialistes qui exige que la caste dirigeante fasse souffrir les gens normaux pour avoir commis le péché de ne pas faire partie de la caste dirigeante.

Ces facteurs se conjuguent pour faire de cette élection un désastre inévitable pour les Démocrates.

Voici comment cela se passe pour le parti perdant.

Au printemps, il y a des rumeurs et des chuchotements étouffés parmi les connaisseurs sur l’arrivée d’une vague.

La peur est présente ; elle est utilisée pour inciter les donateurs à donner davantage de leurs dollars afin d’aider à éviter le désastre.

Puis, lors des journées caniculaires du mois d’août, l’espoir renaît. Peut-être, peut-être, que ce ne sera pas un désastre.

Peut-être allons-nous, contre toute attente, ne pas perdre beaucoup de sièges ; peut-être même allons-nous en gagner ! Bien fait pour vous, principes de base!

Et puis arrive la Fête du travail [début septembre aux USA], et les gens commencent à prêter attention à ce qui se passe.

L’espoir qui était si fort à la fin de l’été commence à se dissiper.

Pendant quelques semaines, jusqu’à la mi-octobre environ, ils se disent que rien n’a changé depuis l’été, que l’espoir est vivant et qu’il n’y aura pas de vague. Et à la mi-octobre, les signes deviennent impossibles à ignorer.

L’argent se tarit pour le parti perdant, tandis que l’argent des experts afflue vers le parti gagnant.

Les sondages commencent à changer, d’abord un, puis deux, puis tous, tous dans la même direction. Nous entendons le côté perdant faire des appels difficiles pour abandonner les faibles afin d’essayer de sauver quelques uns des moins faibles. Rien ne va plus. Les gaffes, les erreurs, les scandales sexuels occasionnels se multiplient.

On peut sentir la morosité s’installer.

Les « cheerleaders » deviennent plus prudents dans leurs prédictions.

Lorsque les Démocrates sont ceux qui vont être battus, comme dans le cycle actuel, les médias valets du régime commencent à revenir sur leur optimisme officiel pour éviter une humiliation totale lorsque le narratif dont ils ont fait la promotion durant les six derniers mois sont réduites en cendres.

Puis les rangs se brisent. La façade vole en éclats. La déroute commence.

Nous sommes presque rendus au point de l’effondrement des Démocrates.

Les principes de base, historiquement parlant, ont toujours été contre les Démocrates, mais les erreurs commises lors du règne de Papa Gateux les a surchargés.

Inflation. Perversion. Frontières ouvertes. Criminels en liberté. Menace d’une guerre nucléaire.

Ces facteurs ont pesé sur la menace à laquelle les Démocrates faisaient face.

Et puis la semaine dernière, coup de tonnerre, le Center for Disease Control (CDC) de Joe Biden a décidé d’exiger que les enfants reçoivent le vaccin contre le coronavirus à propos duquel il nous a menti.

C’était une façon de rappeler la pandémie à tout le monde, tout en exaspérant les mères qui préfèrent que le cœur de leurs enfants n’explose pas à cause d’un vaccin qui ne prévient pas une maladie qui ne les tuera pas.

Tout politicien du GOP qui ne s’attaque pas au fascisme des injections forcées, commet une faute professionnelle grave.

Au printemps, les Démocrates avaient rêvé que la décision Dobbs, qui rendait un peu moins commode pour certaines femmes dans certains États rouges de tuer leurs bébés, allait annuler les principes fondamentaux de l’histoire ainsi que le prix de l’essence rendu à 6 dollars.

Mais il s’avère que les gens qui sont en faveur de l’infanticide étaient déjà solidement ancrés dans le camp des communistes. Ils peuvent voter tout étant en colère, mais un vote colérique ne pèse pas plus lourd qu’un vote heureux.

Sauf peut-être dans une ville démocrate-bleue …

En attendant, un nombre record de Latinos choisissent de voter contre ceux qui les appellent « Latinos », et les hommes noirs, en particulier, se déplacent vers la droite dans des proportions qui devraient terrifier les Démocrates.

Le signe traditionnel d’une déroute est lorsque le parti perdant se retourne contre lui-même et contre son programme.

On voit des politiciens critiquer les membres de leur parti au pouvoir et même dire aux électeurs qu’ils ne mettront pas en œuvre les politiques dont le parti a fait la promotion.

Nous en voyons les prémices dans la manière dont la plupart des Démocrates n’ont pas l’intention de permettre au cirque Biden /Kamala de s’arrêter dans leur ville.

Il est remarquable de voir comment tous ces candidats découvrent quelque chose de vraiment important à faire lorsque leur président se présente dans leur État, afin de ne pas être vus à ses côtés.

Une rare exception a été faite lorsque le candidat au Sénat pour la Pennsylvanie, John Fetterman/Sa femme et sa boule dans le cou se sont laissés photographier avec le président.

Avec son style typique, Joe a gentiment dit au monde entier qu’il pensait que la femme de M. Fetterman ferait un excellent ajout au Sénat.

La rumeur dit que la boule dans le cou de M. Fetterman a été tellement insultée par cet affront qu’elle votera pour le Dr Oz !

La phase « sauve-qui-peut ! » va bientôt commencer, mais les Démocrates ont un vrai problème auquel ils n’ont pas été confrontés par le passé.

À une certaine époque, ils avaient une sorte de flexibilité idéologique. Ils pouvaient prétendre qu’ils n’étaient pas tellement à gauche afin de sauver leur peau en attirant suffisamment d’indépendants crédules pour survivre, et leur base voyait le clin d’œil et tolérait le blasphème de convenance.

Mais plus maintenant.

L’idéologie démocrate est devenue une religion païenne alors qu’elle n’était autrefois qu’un moyen d’accéder au pouvoir.

La plupart des candidats ne peuvent pas faire marche arrière concernant les projets politiques démocrates les plus stupides, même pour survivre électoralement.

Ils ne peuvent pas demander plus de forage pour faire baisser les prix du gaz et du pétrole car c’est une hérésie envers la Déesse de la météo en colère.

Ils ne peuvent pas appuyer les flics car c’est du racisme.

Ils ne peuvent pas s’élever contre les pervers qui portent des visages de femmes et qui agitent leur machin devant des enfants en bas âge lors de « drag-shows familiaux », parce que la dénonciation de la pédophilie est interdite aux gauchistes.

Ils sont enfermés dans la folie.

Ils ne peuvent pas fuir. Ils ne peuvent pas se cacher. Ils doivent figurativement mourir dans leurs sandales de luxe.

Cool.

Plus ou moins 30 sièges plus à la Chambre pour le GOP et 52 au Sénat. Et je parie sur le plus.

Soldats, à l’attaque !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Townhall

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