Guy Millière, de passage en France pour une série de conférences, était l’invité d’Ivan Rioufol pour un long dialogue sur CNews.
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Montant libre
Voici la retransmission de l’émission :
Merci Guy Millière pour cette brillante analyse qui a l’air de surprendre les journalistes Français complètement déconnectés de la vérité.
Entièrement d’accord avec vos propos , cependant le raz-de-marée Républicain n’a pas eu lieu, le contrôle du sénat a l’air mal barré, le temps pour le décompte des derniers bulletins est interminable, on ne peut s’empêcher de penser qu’il y a de la fraude là dessous. En règle générale ça tourne toujours à l’avantage des Démocrates lorsque cela s’éternise.
J’espère au moins que les Républicains auront le contrôle de la chambre basse.
Bonjour et merci à messieurs RIOUFOL et MILLIERE. Dommage que ce dernier ne soit pas souvent invité (c’est un euphémisme) ne serait-ce qu’en vidéoconférence.
Parce que même les moins hostiles à Donald J Trump n’ont pas toujours les arguments efficaces contre des critiques assis dans un fauteuil en velours. Tant il s’avère qu’en cette période d’infinie sobriété intellectuelle, un minimum de vocables et slogans érigés en dogmes remplacent fissa la quête du véridique stricto sensu. Une vérité qui devrait pourtant s’affranchir de toute construction idéologique artificielle, des convictions morales et d’un air du temps vicié qui de concert musèlent, obscurcissent, aliènent notre propension à tout simplement réfléchir. Cette asphyxie de l’intellect corrompt un bon sens naturel commun à tous et dont la raison d’être est notre survie en tant qu’espèce.
En faire l’économie est donc suicidaire.
J’aurais tant aimé une joute entre le Professeur MILLIERE et la tête à claques, soi-disant spécialiste des USA, pour sûr expert en raie au milieu et en sourire benêt, qui sévit sur les plateaux TV ou bien avec son acolyte de l’iris au regard caméléonesque mais dont la couleur idéologique demeure indécrottable.
Comme j’eus aimé que vous les humiliâtes !
Oh chouette ! Du beau style comme d’habitude, Meyer.
Super, merci.