Publié par Magali Marc le 25 décembre 2022
Donald Trump réagit vivement au « rapport » de la Commission du 6 Janvier

La Commission du 6 Janvier (une commission d’enquête parlementaire concernant le supposé assaut du Capitole en janvier 2021) recommande dans son Rapport final que des poursuites pénales soient lancées contre l’ex-Président Donald Trump, notamment à cause de son soi-disant appel à l’insurrection. Donald Trump, très en colère, a réagi énergiquement et a dénoncé point par point les mensonges et les omissions qui ont alimenté cette recommandation de la Commission.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Andrea Widburg, paru sur le site d’American Thinker, le 23 décembre.

J’en profite pour souhaiter un très joyeux Noël aux lecteurs de Dreuz, et une excellente année 2023 !

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Trump publie une réfutation cinglante du Rapport final de la Commission du 6 Janvier

Il y a quelques jours, la Commission du 6 janvier, qui a été conduite de manière anticonstitutionnelle, a recommandé que des poursuites pénales soient engagées contre Donald Trump.

Hier (le 22 décembre), elle a publié son Rapport final détaillé.

Avec son style habituel, Donald Trump, est sorti de ses gonds, dénonçant les mensonges et les omissions qui ont alimenté cette recommandation ridicule de la Commission.

Pas étonnant que les partisans de Trump l’appuient toujours.
Le Rapport de 845 pages a l’air complet, mais il ne l’est pas, et c’est l’un des principaux arguments de Trump dans sa déclaration.

Le rapport est honnête sur une chose, cependant. Il insiste sur le fait que le Congrès doit interdire à M. Trump d’exercer à nouveau ses fonctions. Et c’est là que réside tout l’intérêt de cet exercice : Les Démocrates et les Républicains anti-Trump feront tout, quelle que soit la corruption, afin de l’empêcher de revenir à la Maison Blanche.
C’est une recommandation stupide car le Congrès n’a pas le pouvoir d’empêcher l’ex-Président de se porter candidat ou d’être élu.

Les seules limites à la candidature d’une personne à la présidence se trouvent dans la Constitution : il faut avoir trente-cinq ans ou plus, être né américain, résider aux USA depuis 14 ans et, via le 22e Amendement, une personne éligible est limitée à l’exercice de deux mandats.

De plus, comme nous l’avons noté ici, nous avons déjà vu un criminel condamné se présenter, donc même un acte d’accusation et un procès corrompus n’arrêteront pas Donald Trump.
Alors, qu’est-ce qu’il avait à dire ?

Voici sa déclaration/réfutation diffusée par le Daily Caller :
https://twitter.com/i/status/1606395516861837312

Dans cette déclraration, Donald Trump souligne que, alors même que l’Amérique se désintègre sous les politiques et les dérélictions de Joe Biden, les médias et le Congrès ont nourri les Américains de mensonges par le biais de la Commission du 6 Janvier.

Par exemple, la Commission a omis le fait que, dans son discours, il a exhorté les manifestants à faire entendre leur voix « pacifiquement et patriotiquement. »

La Commission a également délibérément omis la partie du tweet de Trump disant aux manifestants de rentrer chez eux « avec amour et en paix. »
En ce qui concerne les tweets envoyés par Trump, ce dernier explique que la Commission ment carrément, en prétendant qu’il n’a pas réagi pendant 187 minutes.

En fait, 25 minutes après avoir été informé de l’intrusion au Capitole, M. Trump a publié une déclaration appelant au respect des forces de l’ordre et a tweeté une autre déclaration dans ce sens 30 minutes plus tard.

L’un des points clés soulevés par M. Trump (et que la Commission omet également) est que, quelques jours avant le 6 janvier, il a demandé le déploiement de 10 000 à 20 000 soldats de la Garde nationale pour assurer la sécurité de l’événement. Cela prouve que son intention était de préserver la sécurité, et non la violence et l’insurrection.

Ou, comme il le dit lui-même:

– « Il n’y a pas eu d’insurrection. Elle a été inventée par ces malades. Nancy Pelosi et la maire de D.C. ont refusé. S’ils avaient écouté ma recommandation, rien de tout cela ne serait arrivé, et vous n’auriez jamais entendu parler du 6 janvier (…) »
Il n’y avait pas que Nancy Pelosi et la maire de D.C. , Muriel Bowser. Il y a aussi le Pentagone qui a refusé de convoquer la Garde nationale.

En ce qui concerne la sécurité, dit M. Trump, la Commission a ignoré les défaillances catastrophiques de la sécurité au Capitole.

M. Trump s’est également insurgé contre le fait que la Commission ait avancé l’histoire ridicule, purement issue de ouï-dire et manifestement fausse, selon laquelle il se serait jeté sur un volant pour réquisitionner la limousine présidentielle.
En fin de compte, il souligne qu’il n’y a « pas la moindre preuve » qu’il ait appelé à prendre d’assaut le Capitole ou qu’il l’ait souhaité.

Cette affirmation, dit-il, est « un mensonge monstrueux », tout comme l’ensemble du canular russe était un mensonge. Elle fait partie intégrante d’un ensemble de « désinformation » et de tricherie électorale.
Ce qui s’est passé, dit-il, c’est qu’une manifestation a tragiquement échappé à tout contrôle. Les Démocrates s’en sont alors emparée et en ont fait une arme.

– « Il s’agit de vous enlever votre droit de parole, votre vote et votre liberté. Pour cela, les membres de la Commission sont des malades, dangereux et marxistes ».
M. Trump raconte le flot sans fin de « chasses aux sorcières » depuis qu’il a descendu l’escalator : le canular de la Russie, le canular de l’Ukraine, les tentatives de destitution ridicules, le raid sur Mar-a-Lago, et la mise en place d’un de ses détracteurs confirmés en charge de l’enquête du procureur spécial.

Il ajoute même la dissimulation de l’ordinateur portable de Hunter Biden par le FBI pour faire bonne mesure.
En fin de compte, dit-il, le peuple ne va pas le supporter. On se souviendra de cette Commission bidon comme d’une « escroquerie et d’une honte », tandis que nous « rendrons sa grandeur à l’Amérique ».
Donald Trump pourrait bien avoir raison.

McLaughlin & Associates, un institut de sondage républicain pro-Trump, affirme que son sondage, qui porte sur les électeurs probables et équilibre correctement la participation des partis, montre qu’il est « plus fort que jamais » :
– « John et Jim McLaughlin, qui dirigent McLaughlin & Associates, ont récemment publié leur sondage qui montre que l’ex-Président devance Ron DeSantis par 48% contre 23%, tout aussi populaire qu’il l’était le jour de l’élection le mois dernier, et devance Joe Biden par 48% contre 45%. »
Comme l’a suggéré une personne avisée, Donald Trump allait gagner avec une telle marge que les Démocrates ont dû rassembler de nombreux votes aux petites heures du matin afin que Joe Biden, un fossile décrépit, dément et corrompu, finisse par remporter l’élection de 2020, prétendument avec le plus de voix de l’histoire des USA.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

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