
A l’époque du multiculturel et du politiquement correct, il est devenu banal d’entendre affirmer, au nom de la “tolérance”, que le christianisme et l’islam, l’un autant que l’autre, vénèrent Jésus !
Qu’il soit appelé Jésus ou Issa ne serait qu’un détail sans conséquence, puisqu’il appartiendrait de droit aux deux religions…
Dans la même perspective, sous l’influence de Massignon et de ses émules, l’appellation de civilisation “abrahamique“, a remplacé ce que précédemment on nommait civilisation judéo-chrétienne! Les journalistes se réfèrent maintenant aux “trois monothéismes“, ce qui permet, au passage, de placer l’islam au même niveau que le judaïsme et le christianisme, laissant croire que la religion de Mahomet (Mohamed) appartient à l’héritage biblique…
Des commentateurs chrétiens n’hésitent pas (par ignorance) à reprendre à leur compte l’expression pourtant spécifiquement islamique de “religions du Livre“, qui désigne juifs et chrétiens considérés avec condescendance par l’ultime “révélation coranique”. Alors qu’en fait ni le judaïsme ni le christianisme ne sont une religion du livre, et que seul l’islam donne littéralement au livre du Coran un statut aussi central et sacralisé. Allah incarné dans un livre qui ignore l’historicité et qui – incréé – serait hors du temps.
Toutes ces expressions malencontreuses reflètent une idéologie qui gagne chaque jour du terrain dans les médias et les mentalités, traduisant surtout l’irruption de l’islam en ce début de troisième millénaire. Actualisation du hadith: “l’islam domine, mais n’est pas dominé…
Quelle est la logique de ce processus?
L’islam se perçoit comme la religion primordiale. Pour lui, le judaïsme et le christianisme n’en sont que des développements accessoires, et périmés. Les musulmans et eux seuls forment “la meilleure communauté au monde“(3.110)
Car pour le Coran, Abraham (Ibrahim) est le prototype radical du monothéiste, soumis à Allah (3.66), le hânif. Les musulmans et eux seuls sont donc les vrais représentants de cette foi fondamentale d’Abraham dans le monde d’aujourd’hui!
Or la religion de l’Abraham biblique et celle de l’Abraham coranique n’ont pas grand chose de commun. La ressemblance est purement formelle. Si l’Abraham de la Bible est le premier maillon vivant d’une chaîne historique de croyants en la promesse de Dieu, l’Abraham du Coran est un prophète qui proclame une foi intemporelle et abstraite en l’unicité d’Allah. L’Abraham biblique renonce à sacrifier son fils Isaac, (Ismaël, dans le Coran) car le “Dieu des vivants” a en horreur les sacrifices humains.
Mais la relation à Dieu sous forme d’alliance, c’est à direde réciprocitévivante etconfiante, si fondamentale chez les juifs et les chrétiens, est absente dans l’islam. L’Abraham du Coran est le premier “soumis” de toute une série de personnages, Adam, Noé, Jésus, etc. Les prophètes du Premier Testament manquent à l’appel, car le sens du mot “prophète” (nabi en hébreu, rasûl en arabe) n’est pas le même en islam.
Le musulman ISSA (=Jésus?)…
Deux sources décrivent le personnage d’Issa, Jésus musulman : le Coran et les Hadith, les deux ayant autorité et constituant la sunna, la tradition islamique.
Le Coran donne un bref aperçu de sa vie, tandis que les Hadith (collection de dits du prophète Mohamed) précisent son rôle dans la compréhension islamique des temps à venir.
ISSA dans le Coran:
Selon les sourates qui parlent de lui, Issa est un prophète de l’islam parmi d’autres, mais dont l’envergure est particulière. Son message est purement islamique, en relation avec Allah (3.84). Comme tous les prophètes avant lui, et comme Mohamed après lui, Issa n’a pour seul but que de donner la loide l’islam, et de ce fait, ses disciples appelés chrétiens devraient s’en remettre à cette seule loi (3.50; 5.48) car, au départ, ils étaient naturellement soumis à Allah en affirmant: “nous sommes croyants“, en d’autres termes: “nous sommes musulmans” (5.111).
Les Livres
Comme tous les prophètes de l’islam avant lui, Issa a reçu sa révélation de l’islam sous la forme d’un livre (6.90), appelé injil , (déformation de: évangile). La Torah était le livre d’Abraham, (!) et le Zabour (psaumes) était le livre de Daoud (David).
C’est pourquoi les juifs et les chrétiens sont appelés les “gens du livre“. (ahl al kitab) Mais la seule religion révélée dans tous ces livres, c’est l’islam (3.18).
La révélation donnée à Issa confirme les prophètes qui l’ont précédé (3.49, 84; 5.46; 61.6). Mohamed lui-même, “sceau des prophètes“, a authentifié toutes les révélations antérieures, celle d’Issa incluse (4.47). C’est la raison pour laquelle les musulmans doivent croire dans la révélation que Issa a reçue (1.136) tout en sachant que son livre, injil, a été détourné de sa forme originelle par ses adeptes, et que, de nos jours, seul le Coran est le guide sûr pour accéder à l’enseignement d’Issa!
La biographie coranique de Issa
Selon le Coran, Issa était “Messie“. Il était sous l’influence du Saint Esprit (2.87; 5.110). Il est également présenté comme parole d’Allah (4.171).
La mère de Issa, Mariam, était la fille d’Imram (3.34,35) (cf le Amram de l’Exode) et la sœur d’Aaron et de Moïse (19.28). Elle avait été adoptée par Zakariah (père de Jean-Baptiste) (3.36). Toujours vierge, Mariam donna naissance à Issa, seule dans un lieu désert, non pas à Bethlehem de Judée, mais sous le palmier dattier (19.22s) d’une oasis.
Issa se mit à parler, encore bébé, dans son berceau (3.46; 5.110; 19.30). Il réalisa de nombreux prodiges, comme d’insuffler la vie à des oiseaux d’argile, de guérir les aveugles et les lépreux, de relever des morts (3.49; 5.111). Mais surtout, il annonça la venue de Mohamed (61.6).
Issa n’est pas mort sur une croix
Le Coran rectifie les messages qui l’ont précédé, car « les chrétiens et les juifs ont corrompu leurs Ecritures » (3.74-77; 113). Bien que les chrétiens croient que Jésus est mort en croix, il ne fut en réalité ni tué ni crucifié, et ceux qui affirment la crucifixion sont des menteurs (4.157).
Issa n’est jamais mort, mais a connu une ascension auprès d’Allah (4.158). C’est pourquoi, au jour de la résurrection, Issa en personne portera un témoignage d’accusation contre les juifs et les chrétiens qui ont cru à sa mort en croix (4.159).
Les vrais chrétiens devraient accepter l’islam
De la part des chrétiens et des juifs, il est impardonnable d’ignorer le fait que Mohamed a transmis le Coran comme claire évidence de la révélation d’Allah (98.1). Mohamed était même le cadeau d’Allah aux chrétiens, venu corriger leur mauvaise interprétation et leur déviance. Ils devraient donc accepter Mohamed comme messager d’Allah, et le Coran comme la révélation finale! (5.15; 57.28; 4.47).
Les “vrais” chrétiens étant par définition incapables d’aimer les ennemis de Mohamed (58.22), de ce fait, quiconque s’oppose au message de Mohamed ne peut pas être un vrai chrétien.
Les chrétiens qui refusent ou acceptent l’islam
Quelques juifs et chrétiens sont de vrais croyants, car ils acceptent l’islam, ne parlent ni n’agissent en sa défaveur; mais la plupart, indifférents ou hostiles, sont des transgresseurs (3.109) qui seront châtiés, puisque ceux qui refusent de reconnaître la mission de Mohamed iront en enfer (98.6).
Pour le Coran, il est clair que les musulmans ne devraient « jamais prendre pour amis des juifs ou des chrétiens » (5.51). Ils doivent plutôt les combattre jusqu’à ce qu’ils se soumettent, payent la taxe de dhimmi, et soient humiliés (9.29).
Des centaines de versets coraniques sont de fait consacrés au “jihad dans le sentier d’Allah” (= guerre armée contre les infidèles). On trouve dans ce livre « sacré » plus fréquemment les termes de combattre et de tuer que le mot prier.
Il existe un Livre du Jihad dans toutes les collections de Hadith, ce quiprouve la centralité de ce thème combattant, assimilé à un 6ème pilier de l’islam pour tout un courant historique.
Les croyances des chrétiens
Il est expressément demandé aux chrétiens de ne pas croire que Issa est le Fils de Dieu. La paternité étant perçue sur le plan purement biologique, la transcendante majesté d’Allah est évidemment incompatible avec le fait d’avoir un « fils » (4.172; 25.2).
Issa n’était simplement qu’une créature humaine, et un serviteur d’Allah. (4.172; 3.59).
Le Coran accuse les chrétiens de blasphémer, parce qu’ils croient en une famille de dieux: Dieu le Père, Marie la mère, et Issa le Fils… Pourtant Issa a rejeté cet enseignement (5.116). La doctrine de la trinité est une mécréance, et une destinée douloureuse attend inévitablement ceux qui y adhèrent (5.73) car le blasphème mérite les plus sévères sanctions. Les « associateurs » auront un châtiment particulièrement sévère en raison de cette impiété impardonnable aux yeux de l’islam (shirk).
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez, prêtre catholique, commission judéo-catholique de la conférence des évêques suisses et de la fédération suisse des communautés israélites, pour Dreuz.info.
…quelque chose pour garder en papier!
En ce qui concerne le crédit à accorder au Coran, et donc à l’islam, on pourra regarder avec profit le diaporama commenté sur l’Histoire de l’islam : “l’islam est faux !” : https://www.youtube.com/watch?v=q4Fq34LS7PA&feature=youtu.be
L ‘ islam est faux pourquoi accorder tant d ‘ importance à leurs textes mensongères.
Merci Monsieur l’abbé Arbez, (et merci aussi à Dreuz)
cet article est un condensé très bien fait et je l’apprécie et conseillerais à chacun de le mettre de côté en cas de besoin, car il éclaire sur un fait: la mauvaise copie faite de la Parole de Dieu (Ancien et Nouveau Testament) par Mahomet et ses disciples.
A un de mes amis, avocat à Fort Lauderdale et juif pratiquant, avec lequel j’ai un excellent rapport, je lui disait à quel point le coran est un plagiat (mauvais) des Ecritures, il me répondu: “pire, c’est un highjacking, ce qui veut dire un piratage.”
On pourrait s’étendre sur tous points piratés mais vous avez dit l’essentiel concernant la confusion faite entre Jésus de Nazareth et le Issa du coran.
pasteur Jean Vallotton
Monsieur l’ Abbé , j’ai bien peur que vous ne soyez obligé de revenir vers vos Études Bibliques.
Vous êtes RECALÉ.
Il vous reste à étudier le Coran avec ,,1400 Ans de Vie…..
Il est spécifié aussi , a part
” Issa. “. Que nos veneraux Premiers Humains , a la Naissance de notre Mère ,” Terre ” étaient
( tenez vous bien ) “. MUSULMAN ,”
Comme quoi, il vous faut malheureusement revenir à vos Études , si vous voulez garder votre Siège….
Sans Rancune,
Cordialement.
bien sûr, vous ne vous doutiez pas que le soleil est musulman, la lune l’est aussi, et même tout être humain qui naît est musulman sans le savoir.
@ Abbé Alain René.
Hé bé , nous sommes d’accord sur le fond , comme quoi, l’érudition c’est un Art ( réservé )
Nous sommes tous des Monsieur Jourdain de l’islam, musulmans sans le savoir.
C’est ce qu’on appelle une pétition de principe, un sophisme. Et comme chacun sait (ou devrait savoir), d’une assertion fallacieuse on peut ensuite inférer logiquement n’importe quoi. Comme le fait que Jésus ou Abraham et Moïse étaient musulmans.
Il est exact que le “politiquement correct” actuel situe l’islam sur un pied d’égalité avec le judaïsme et le christianisme en parlant de 3 “monothéismes”…de quoi créer une confusion totale dans l’esprit de simples citoyens inaptes à démystifier l’imposture.
Le rappel des faits présenté par Monsieur l’Abbé ARBEZ peut nous permettre, par la diffusion de la vérité, de remédier à l’ignorance générale concernant la vaste entreprise de prédation du monde matériel qu’est l’islam (et son bras armé l’islamisme) sous le déguisement d’une respectable foi d’ordre spirituel.
Avec cet outil, la balle est dans notre camp.
A nous de déterminer comment saisir et utiliser cette opportunité de faire entendre la raison en réponse au SOS de la civilisation judéo chrétienne en butte à la submersion islamiste.
L’islam est un plagiat du judaïsme et du christianisme. Les musulmans se sont appropriés des éléments de ces 2 religions et les ont modifiés pour en faire leur religion. Les musulmans sont incapables de penser et de créer leur propre histoire.
@ Ren
avec le respect que je dois à l’humanité , vous êtes encore loin de la réalité et la vérité.
Il y a des périodes favorables aux mirages.
La réalité et la vérité est que les musulmans sont incapables de penser et de créer leur propre histoire. Ils doivent voler par-ci par-là des bouts d’histoire juive et chrétienne pour fabriquer la leur. Les musulmans commettent de plus la gaffe de mettre au monde un personnage odieux nommé Mahomet. La naissance musulmane de ce personnage a condamné les musulmans à endosser l’odieux et certains à se comporter de façon odieuse.
Intéressant la fin de votre article (le reste aussi). On y apprend que l’Islam reprocherait aux chrétiens de faire de Dieu une affaire familiale (le père, la mère, le fils). Or il me semble, sauf erreur de ma part, que Dieu se manifeste en tant que Père, Fils et Saint-Esprit (un seul Dieu en trois personnes). Je comprends parfaitement que les musulmans ignorent le Saint-Esprit, mais que vient faire Marie dans cette confusion de genres?
L’Abbé Alain-René nous dit également: “L’Abraham biblique renonce à sacrifier son fils Isaac, (Ismaël, dans le Coran) car le « Dieu des vivants » a en horreur les sacrifices humains.”
Mais alors pourquoi le “Dieu des vivants” s’adressant à Abraham lui dit:
“Dieu dit: Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac; va-t-en au pays de Morija, et là offre le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai”. Genèse 22:2
Cela semble totalement contradictoire et même particulièrement cruel une telle demande d’un Dieu censé détester les sacrifices humains (ce que je crois profondément).
La réponse se trouve formulée aux versets 7 et 8 du même chapitre:
“7 Alors Isaac parla à Abraham son père, et dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils. Et il dit: Voici le feu et le bois; mais où est l’agneau pour l’holocauste? 8 Et Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous les deux ensembles.”
Et l’agneau de Dieu c’est Christ mort sur la croix une fois pour toutes pour le rachat de l’humanité perdue. Telle est ma compréhension de cet épisode poignant qui nous est rapporté dans ce beau chapitre 22 du livre de la Genèse.
oui, et l’ange de Dieu arrête le bras prêt à sacrifier une vie…
Dieu voit la confiance totale d’Abraham mais il est fait ainsi comprendre qu’il est le Dieu de la vie.
c’est la différence avec les cultes païens environnants chez lesquels on n’hésite pas à enlever une vie pour calmer les divinités.
@Abbé Alain René
” l’ange de Dieu arrête le bras prêt à sacrifier une vie…
Dieu voit la confiance totale d’Abraham mais il est fait ainsi comprendre qu’il est le Dieu de la vie.”
Il se peut que Dieu a arrêté le sacrifice en son nom qu’Abraham allait commettre pour lui faire comprendre qu’il ne faut pas lui vouer une foi aveugle. Contrairement à certains musulmans qui eux, tuent volontiers au nom d’Allah.
L’islam est une révélation…mais une révélation de l’infra-humain à un drôle de “zèbre” :
un certain Mohamed , qui a pris une influence démoniaque, dont il subissait l’emprise,
pour l’Ange Gabriel. Tout ce qui en a découlé depuis lors s’explique par cette simple vérité…et peut même se vérifier aujourd’hui avec des yeux qui savent voir simplement en regardant “tout bon ou mauvais” musulman.
j’ai peine à croire qu’un simple chamelier inculte ait eu connaissance de tous les noms des saints et prophètes juifs et chrétiens qui l’on précédé pour décider que lui seul détenait la vérité.
@maujo
Le chamelier Mahomet était un prophète auto-proclamé.
J’ai lu les trois tomes de “l’islam”._ ses véritables origines. de Joseph Bertuel
Tome 1 : Un prédicateur à la Mecque
Tome 2 : Vers un islam arabe autonome
Tome 3 : de la Mecque à Médine
Ils sont une reprise copie conforme de la bible revue à la sauce épicée arabe. C’est tellement flagrant qu’on en rie presque en lisant ces livres.
Mais, la petite toute petite personne que je suis comprend que si l’islam avait existé un tout petit peu dans les temps des Juifs et des Chrétiens, ils n’auraient pas attendu 640 années (ou plus) pour essayer de le copier et de s’imposer.
La hargne qu’ils mettent depuis ce temps (de retard) ne fait qu’aggraver leur haine contre les Juifs et les Chrétiens tels que sont écrits, dans le coran, les sourates qui nous livrent à la mort.
Jésus est gaulois.
“Jésus Christ de Galilée dont la mère est vierge et le père n’est pas de ce monde.”
“J’ai croisé depuis la Gaule, ma mère est blanche, mon père je l’ai pas connu.”
Tout chez Jésus est européen, rien n’est sémite. Il s’est dressé contre tout ce qui fonde un sémite aux yeux des européens (Sacrifices, Circoncision,Lapidation, Interdits alimentaires, Rabbinisme). Son image est européenne, sa toge est celle d’un druide, ses évangiles sont écrites en Grec.
Nos amis musulmans se servent aussi du fait que mohamed l’ami des petites filles, avait dans son entourage un conseiller religieux, le moine famélique chrétien balutranus merdiculanus, grâce auquel ils s’arrogent le monothéisme biblique du coran et qui serait celui qui lui appris son état de prophète, parce que il avait mal à la tête et qu’une jument ailée lui apparue sur la terrasse de la maison de sa femme, suite à une semaine de haschish partie.
On peut supposer que cet honorable chrétien hérétique faisait parti de la riche cour de la riche épouse de mohamed l’ami des petites filles et des petits garçons, lorsqu’il appris au gentil garçon qui avait 40 ans alors et était marié depuis environ 20 ans avec sa trés riche épouse de 25 ans son ainée qui avait choisi le pauvre garçon pour ses qualités physiques de hareng et pour remplir sa solitude de riche veuve.
On subodore que le mal à la tête est venu à mohamed quand il a vu l’incroyable nerf de boeuf du moine famélique qui touchait le sol alors qu’il priait à genoux à côté de sa femme et comme il était le conseiller religieux de son épouse, alors le doute l’a habité.
Pour qu’il soit gérable et cesse de se prendre pour un héron, le savant religieux en accord avec la riche épouse gourmande a alors fait comprendre au demeuré fou qu’il était un prophète et que la taille de son valable nerf de bœuf ne comptait pas car en tant que prophète il pouvait connaître la nature des petits filles et le fondement des petits garçons, ce qui était mieux qu’une vieille peau nymphomane.
Ce moine dit chrétien était de la secte arienne ou nestorienne ou de type catharisme qui en tant que chrétienne professait que Jésus était un simple homme et non le fils de Dieu.
Il y a donc pas mal de sus-nommés chrétiens qui considèrent que Jésus n’est pas le fils de Dieu et Dieu lui-même, et on se demande alors où est leur chrétienté.
Fils de Dieu au sens symbolique : lignée spirituelle du divin.
Arrêtez les sempiternel débats de consanguinité.
Je savais déjà tout ça, mais en vous lisant, j’ai compris, ou plutôt mis le mot sur un point qui m’échappait jusqu’alors, et qui permet de mieux comprendre l’état d’esprit des musulmans et leur façon de penser.
J’avais déjà compris que pour eux, religion et islam étaient synonymes: ce pour quoi ils parlent toujours de LA religion, car il n’y en a qu’une, et ce qui en diffère n’en est tout simplement pas. Ce n’est pas une autre religion, selon notre conception occidentale plurielle des religions, c’est soit rien, soit de la magie ou de la sorcellerie, soit une mauvaise compréhension de LA religion, une déviance.
En passant, méfiance quand un musulman vous parle de “la religion” il veut toujours dire par là l’islam, puisqu’il n’y en a pas d’autres (par exemple dans la phrase qu’ils affectionnent “il faut respecter la religion”, autrement dit il faut respecter l’islam et les musulmans). Vous remarquerez en effet qu’ils ne disent jamais “LES religions”, car c’est un blasphème, ce serait admettre qu’il y en a d’autres, même inférieures.
Par religion, ils entendent en effet exclusivement croyance et soumission à Allah. Et donc à son prétendu Messager (prophète est une traduction occidentale incorrecte), puisqu’on ne connaît Allah que par lui, encore exclusivement. En effet, comme votre article le souligne, les enseignements des autres Messagers avant lui se sont perdus, falsifiés par les hommes, et le pauvre Muhammad a été contraint, le pauvre, de les rétablir, de les réécrire à tous les sens du terme (sauf au sens propre, puisqu’il n’écrivait pas).
Donc en effet le Issa de Mahomet n’est pas le Jésus des Chrétiens et du nouveau Testament: c’est une réécriture intégrale, une récupération, un hold-up inventé pour disqualifier le vrai et conforter son propre “enseignement”, ou plutôt ses affabulations de gourou de secte à son profit en prétendant que Jésus prônait la même religion que lui (ce qu’il “prouve” en “révélant” les “vraies paroles et la vrai vie de Jésus” – et l’on voit bien alors qu’Issa pratiquait et professait en fait l’islam, ah ah ah, quelle démonstration!) (en passant, comment ses adeptes ne voient pas un sophisme aussi énorme)
Un peu comme la fausse “Bible” des Mormons. Un”straw-man”, un homme de paille, un personnage fictif, reconstruit et falsifié pour les besoins de la cause.
J’en viens à ce que je viens de comprendre: “musulman” signifie simplement “vrai croyant en Dieu”, ou tout simplement “croyant”.
On peut préciser l’idée: cela donne quelque chose comme “celui qui suit la seule vraie façon de croire dans le seul vrai Dieu en obéissant à ses prescriptions telles que fidèlement retransmises par Mahomet (à qui il parlait (presque) directement via l’ange Djibril)”.
Pour le musulman, il est obligatoire pour tout humain de croire en Dieu, c’est-à-dire de suivre la voie (et la voix) de Dieu, le droit chemin, et il n’y a qu’une façon possible, forcément celle enseignée par Dieu lui-même.
Dit ainsi, c’est en effet incontestable: le seul léger problème qui lui échappe réside dans le fait que rien ne prouve les allégations de Mahomet concernant son rôle de soi-disant Messager unique (puisque ceux qui l’ont précédé ne sont finalement que des avatars passés de lui-même), et que son “enseignement” vient bien directement de Dieu, qui plus est sans déformation par le téléphone arabe [Dieu qui parle à Djibril qui répète à Mahomet qui répète à ses adeptes qui répètent à d’autres qui le répètent aux scribes du coran, sans parler des hadiths encore plus lointains, si pas inventés (au fin fond de la Perse, rappelons-le)]. On est prié de le croire sur parole et sur sa bonne mine.
Le musulman ne se rend pas compte qu’il est non un “croyant” dans “la religion” comme il le croit, mais bien un Mahométan. Il a foi en réalité en Mahomet, et nullement en Dieu.
Un autre éclaircissement qui me vient en écrivant les lignes précédentes: la notion de religion n’est pas la même pour le musulman et le chrétien. Le mot ne recouvre pas du tout la même conception.
Il convient de bien le comprendre, et comprendre la différence sous peine de faire des contresens, de s’illusionner lourdement en voulant s’adresser aux musulmans pour qu’ils changent – comme u chrétien le ferait. Aussi de tirer des plans sur la comète, en se trompant sur leur façon de penser, qu’on croit être semblable à la nôtre. Car les mots sont trompeurs, on ne parle pas de la même chose tout en croyant le faire.
Définir précisément les deux conceptions de la religion demanderait des développements importants car le sujet est bien sûr complexe, mais je vais ici faire simple et synthétique, en allant à l’essentiel juste pour faire comprendre mon idée. Donc, merci de ne pas critiquer en disant que je simplifie outrageusement.
Pour le chrétien, “religion” signifie (en très gros) croyance en Dieu (et en Jésus pour lui), et plus précisément avoir la foi.
Car pour le christianisme, contrairement à l’islam, Dieu n’est pas donné et subit: on vient à lui par un acte de foi, une démarche volontaire. Même Jésus n’est pas donné: on n’a que des témoignages sur lui, et distincts, parfois contradictoires. D’où l’interrogation fondamentale toujours présente chez le chrétien sur la nature de Dieu, de Jésus, de la foi, de l’enseignement de la religion, qui est au centre des discussions. La religion est une croyance qui nécessite une réflexion et surtout une recherche personnelles, car elle présuppose le doute et l’incertitude sur son objet même. Pour nous le “croyant” est d’abord celui qui doute
L’islam n’a rien à voir avec cela: la croyance n’est pas un acte de foi, c’est une évidence et une chose imposée, et la “religion”, l’islam, une pratique. Il n’y a pas de place pour le doute.
[En Islam, le seul “doute” concerne l’incertitude sur le début et la fin du ramadan, la fameuse “nuit du doute”. Un doute non pas existentiel, mais purement technique, totalement terre-à-terre…]
Le “croyant” (terme donc impropre dans notre sens à nous) est celui qui se soumet, qui se conforme à la loi d’Allah. Le musulman, plutôt que croyant en une foi, est dans leur idée l’honnête homme, l’homme respectueux de la loi (en l’occurrence divine), l’homme de bien… D’où leur concept récurrent de “bon musulman”.
Pour le chrétien, se convertir au christianisme nécessite de trouver la foi. Pour le musulman, se “convertir” signifie “rentrer dans le rang”, revenir à LA religion, à la Loi divine, et s’y conformer, cesser de désobéir à Dieu.
Dès lors, la “religion” au sens musulman désigne en fait, comme je l’ai écrit plus haut, simplement le fait de suivre la voie de Dieu, la voie qu’Il a tracée et décidée pour l’homme.
Et il n’y a aucune question à se poser, que des certitudes. Car cette voie a été “révélée” dans son intégralité par Mahomet. Les seules question sont procédurales: que dois-je faire ici et maintenant, dans telle et telle circonstance de la vie? Et les réponses, elles sont dans la charia, qu’on pourrait à son tour traduire conceptuellement par “les règles et procédures à suivre pour être bien dans les clous de la voie prescrite par Dieu à chaque homme”. Dire qu’on qualifie cela de “spiritualité”, alors que c’est totalement pragmatique!
Donc, en définitive et en pratique, l’islam c’est la charia et réciproquement.
Il est donc vain de vouloir dissocier les deux, comme veulent le faire ceux qui pensent adapter l’islam à l’Europe: ils font un contresens, en pensant que l’islam est une religion dans le sens chrétien (un acte de foi en Dieu), avec des pratiques et des règles flexibles et adaptables, car secondaires. Pour un musulman, c’est juste un non-sens, car les règles – la charia – sont intangibles, et sont l’essence même de la “religion”, ou plutôt de la voie de Dieu et de celui qui s’y soumet (le “croyant”). Et la preuve que le christianisme est faux, puisqu’il se modifie au fil du temps: le message de Dieu est forcément constant et immuable, et donc sa voie aussi.
Excellent article ?
Quand paraîtra la seconde partie ?
Vous devriez enseigner nos prêtres maubeugeois !!!!!
mon blog : http://www.torah-injil-jesus.com
Peu importe ce que les musulmans pensent de juifs et des chrétiens ,que ce sont des religions périmées, le plus grave c’ est d ‘ accorder du crédit aux texte coraniques quand nous connaissons l ‘ idéologie violente ,intolrante,méprisante et meurtrière. Nous savons que Jésus est a l ‘ opposé de mohamet qui était un violeur voleur,assassin, pédophile, antisémite, christianophobe,..