Publié par Magali Marc le 12 décembre 2022
Surprise : C’est Michelle Obama qui a demandé à Twitter d’exclure le Président Donald Trump

Michelle Obama a été l’une des Démocrates qui ont fait pression sur Twitter afin que le réseau social prenne la décision de bannir le Président en exercice, Donald Trump, de sa plateforme. Selon le journaliste Michael Shellenberger, l’ex-Président Donald Trump a été banni de Twitter le lendemain du jour où l’ex-première dame Michelle Obama et d’autres personnes ont demandé à l’entreprise de le supprimer des « Dossiers Twitter ».

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Monica Showalter, paru sur le site d’American Thinker, le 11 décembre.

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Michelle Obama était derrière l’interdiction de Donald Trump par Twitter depuis le début

Michelle Obama, épouse du président Barack Obama, était l’un des outsiders démocrates qui ont fait pression sur Twitter afin que le réseau social prenne la décision sans précédent de bannir le Président Trump, alors qu’il était encore en exercice, de sa plateforme.

C’est la dernière révélation du dernier volet des dossiers Twitter, réalisé par le journaliste indépendant Michael Shellenberger. Selon Fox News :

L’ex-Président Donald Trump a été banni de Twitter le lendemain du jour où l’ex-première dame Michelle Obama et d’autres personnes ont demandé à l’entreprise de le supprimer « définitivement », selon le dernier volet des « Dossiers Twitter ».

Samedi, le PDG Elon Musk et le journaliste Michael Shellenberger ont publié le quatrième lot de documents Twitter qui montrent les communications internes des dirigeants de l’entreprise entre le 6 et le 8 janvier 2021, y compris et peu après l’émeute au Capitole.

Parmi les fichiers, M. Shellenberger a observé que « des pressions internes et externes », y compris de la part de l’ex-première dame, ont été exercées sur l’entreprise, demandant que Donald Trump soit exclus de Twitter. « Il est maintenant temps pour les entreprises de la Silicon Valley de cesser de permettre ce comportement monstrueux – et d’aller encore plus loin qu’elles ne l’ont déjà fait en bannissant définitivement cet homme de leurs plateformes et en mettant en place des politiques visant à empêcher que leurs technologies soient utilisées par les dirigeants de la nation pour alimenter une insurrection », a écrit Mme Obama dans une longue déclaration publiée sur Twitter le 7 janvier.

En bonnes marionnettes des Démocrates, Twitter a fait ce qu’on lui a dit et a banni le Président des États-Unis, laissant Vlad Poutine, les talibans, le Hezbollah, Antifa, les fournisseurs de pornographie infantile, les marieurs d’enfants et les mollahs iraniens tweeter sans lui. »

Voilà qui met un terme à l’affirmation de Michelle Obama selon laquelle elle se tient à l’écart de la politique, n’a aucune ambition pour la présidence et ne s’intéresse qu’à la mode, aux films hollywoodiens et aux chanteurs populaires.

En fait, elle est très impliquée dans la politique – la politique de censure des opposants politiques.

Il semble qu’elle ne puisse être fière de son pays que lorsqu’un Obama est en selle, et certains ont émis l’hypothèse que sa récente tournée de promotion ne vise pas seulement à récolter des millions pour mieux décorer les palais d’Hawaï, de Kalorama ou de Martha’s Vineyard. Elle est vise peut-être à briguer le poste qu’a occupé Donald Trump.

Joel Gilbert, qui a écrit un livre sur le sujet, a apporté une contribution fascinante pour American Thinker, le 1er décembre.

Je suppose que Twitter n’a pas osé tenir compte de ses propres normes lorsque la dragonne de l’empire Obama était en ligne.

Ce qui est ignoble dans ce cas, c’est que Michelle Obama ne devrait pas avoir le moindre pouvoir ni la moindre influence.

Elle est l’épouse de quelqu’un, pour l’amour du ciel, elle n’a aucune qualification politique ni d’expertise, elle n’a jamais été élue, elle ne s’est jamais présentée à des élections, et elle n’aurait pas eu le moindre pouvoir si elle n’avait pas été mariée à un président. Mais d’une manière ou d’une autre, ils n’ont pas osé la contrarier. Ses intérêts ressemblaient à ceux d’une Hérodiade, réclamant la tête de Donald Trump sur un plateau.

Peu lui importait que Vlad Poutine ou d’autres pervers soient là à tweeter joyeusement, tout ce qui comptait c’était que le seul type qui pouvait la battre ou battre un Démocrate aux élections (de 2024) était là et toujours dangereux pour les perspectives démocrates.

Les Républicains, voyez-vous, sont le seul ennemi des Démocrates de cet acabit, tous les autres sont sans importance.

C’est dégoûtant et cela met un terme à l’affirmation selon laquelle elle est en dehors de la politique.

En fait, elle est très impliquée dans la politique, jouant comme son père, s’immisçant dans les décisions de Twitter, réduisant ses opposants au silence et faisant tout son possible pour assurer le pouvoir permanent des Démocrates.

Qui a besoin de ça ?

Mettez Michelle Obama à la barre devant le Congrès et laissez-la expliquer sa demande de censure devant le public, en direct.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

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