
A l’horizon 2100, la population de l’Union Européenne sera de 420 millions, soit une perte de 27 millions par rapport à 2021, et ce malgré les apports migratoires.
Avec une forte probabilité que les Européens deviennent les nouveaux Amérindiens chez eux, comme c’est déjà le cas dans beaucoup de villes européennes, compte-tenu de leur solde naturel démographique négatif qui contraste avec celui de la population immigrée.
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Non pas qu’ils ont été exterminés, mais tout simplement parce qu’ils payent le prix de leur hiver démographique. Pendant que le camp d’en face joue à la poule pondeuse, les Européens sont plus préoccupés par leur bien-être immédiat et le mariage homosexuel, dit mariage pour tous, que par leur pérennité démographique.
De 550 millions d’habitants en 1950 avec un apport très marginal des Afro-Nord-Africains, l’Europe de Bruxelles est passée à 447 millions aujourd’hui, et ce malgré un apport significatif des migrants.
Un pays comme l’Allemagne perd chaque année 200 000 habitants, solde naturel entre les décès et les naissances, que même les flux migratoires n’arrivent pas à compenser.
Dans l’hypothèse où ce déficit naturel perdure de manière linéaire, elle aura perdu 16 millions d’habitants en 2100.
C’est un moindre mal toutefois par rapport à l’Italie et l’Espagne, qui auront perdu la moitié de leurs habitants en 2100.
Un grand boulevard démographique s’ouvre devant la population immigrée, bien partie pour être les futurs Européens, avec des mœurs et des cultures d’un autre temps, dont on a déjà un avant-goût à Trappes ou Molenbeek.
La vieille Europe sera une nation africaine et nord-africaine.
Il est inévitable que des populations qui marquent le pas démographiquement, avec un taux de croissance négatif, finissent par disparaître et être remplacées par de nouveaux arrivants, originaires des anciennes colonies à forte coloration musulmane.
Ce que les musulmans n’ont pas pu faire avec l’épée, ils sont en train de le réaliser avec le ventre infécond des Européennes.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
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Sans doute, mais écrire un titre qui culpabilise les femmes analyse-t-il le problème ? De très nombreux hommes européens ne veulent pas d’enfants. Il faudrait peut-être comprendre pourquoi. Par ailleurs, même en s’y mettant à 4 enfants par Européenne, nous ne rivaliserions pas, et nous aurions toujours (malgré les difficultés) une médecine, des infrastructures et des systèmes sociaux qui attireraient. Pour cesser d’être tentants, il faut être ruiné.
Pendant ce temps-là, les écolos nous expliquent qu’il ne faut pas se reproduire, parce que c’est mauvais pour la planète. Et beaucoup de gens en âge de procréer obtempèrent !
Les italiens d’après-guerre étaient catalogués comme « pondeurs » avec leurs 4 à 7 enfants … on aurait pû leurs immigrés perpétrer cette étiquette dans leurs pays d’acceuil mais il n’en a rien été … soit les pays d’acceuil les a inflencés, soit il existe une évolution naturelle des sociétés vers moins d’enfants pour plus de bonheur personnel … je ne suis pas sûr que les africains et africains du Nord nés de l’immigration perpétront cette tendance à la ponderie industrialisée