
Un homme « transgenre » qui s’identifie comme un chien, affirme que le fait de courir après des bâtons et de jouer à quatre pattes l’a rapproché de son mari.
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Tony McGinn a un surnom : « Tony Bark ». Il – en fait elle – dit qu’elle a toujours aimé les jeux de rôle avec les animaux et se considère comme un « chiot humain ».
Elle se prend d’abord pour un homme, elle a 30 ans, elle est née de sexe féminin, et suppose qu’on devient transsexuel en portant une perruque et des habits de mec. Et elle est soutenu par son mari et « maître » Andrew, qui l’accompagne à des rendez-vous réguliers avec d’autres « joueurs de rôle » de Los Angeles.
« Dans ma vie d’adulte, dans mes relations, c’est un moyen pour moi de me sentir vulnérable, exposée et proche de mon partenaire. C’est une chose très intime. Imaginez que le moyen le plus simple d’enchanter votre partenaire est de lancer une balle à travers la pièce. Les relations n’échoueraient plus si c’était tout ce que vous aviez à faire ».
Andrew ajoute :
« Je passe du temps avec lui, je lui donne beaucoup d’attention et je lui dis qu’il est un bon chien ».
Au secours !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Je crois que cet homme ou cette femme ou peut être le chien, n’est pas seul dans ce cas, il y a une période annuelle aux USA ou il y en a des milliers de ce genre d’uberlulu. Pour pour avoir vu le reportage à la TV dernièrement, Burning Man (ou « Le » Burning Man) est un grand rassemblement, qui se tient chaque année dans le désert de Black Rock au Nevada (États-Unis) pendant neuf jours. … Il y a la des milliers d’americains qui se rencontrent et pratiquent à peu pres tous leurs fantasmes sans que personne ne les remette en question, ils sont de toutes les conditions sociales, de grands patrons d’entreprises, des cadres, des employées, de simples ouvriers, des vieux des jeunes, qui viennent la, déambuler dans ce vaste camp où tous les bâtiments construits pour l’occasion, le dernier jour sont brulés. Une fois tout ce beau monde parti, à l’emplacement de ce camp éphémère, pas un papier ne traine.
Vite, donnez-lui ses croquettes!