Publié par Magali Marc le 31 janvier 2023

L’ex-Président Donald Trump a visité les deux premiers États à tenir des élections primaires, le New Hampshire et la Caroline du Sud, samedi le 28 janvier, afin de lancer officiellement sa campagne présidentielle de 2024. En Caroline du Sud, le le 45e président était accompagné du Sénateur Lindsey Graham et du Gouverneur de l’État Henry McMaster. Il a présenté un certain nombre de vidéos exposant des prises de position concernant la protection de la liberté d’expression, son projet de s’attaquer aux cartels de la drogue et son plan pour remettre sur pied l’économie américaine et faire échec à la Chine communiste.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Nick Gilbertson, paru sur le site de Breitbart, le 28 janvier.

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La campagne 2024 de Trump prend son envol avec des rassemblements au New Hampshire et en Caroline du Sud

L’ex-Président Donald Trump a visité les deux premiers États à tenir des élections primaires (afin de choisir un candidat), le New Hampshire et la Caroline du Sud, samedi le 28 janvier, alors qu’il lançait officiellement sa campagne présidentielle de 2024.

Il a prononcé son discours principal lors de la réunion annuelle du Parti Républicain du New Hampshire à Salem, samedi matin.

« Nous sommes donc ici, et nous commençons », a-t-il déclaré au début de son discours, ajoutant qu’il était « ravi d’être de retour dans ce magnifique État. »

Il a annoncé que le président du GOP dans le New Hampshire, Steve Stepanaek, qui a coprésidé sa première campagne présidentielle dans cet État, allait « se retirer et… venir à bord en tant que conseiller principal pour ma campagne au New Hampshire ».

Il a également réaffirmé sa volonté de maintenir le statut du New Hampshire en tant que premier État à tenir une primaire au pays, ce qui lui a valu des applaudissements nourris de la part des personnes présentes, et il s’est engagé à le préserver « pour de nombreuses années à venir » s’il est élu président. « Nous allons transformer le New Hampshire en État rouge (républicain) le 5 novembre 2024 », a-t-il affirmé, alors qu’il a récemment obtenu un score de trois points devant le président Joe Biden et qu’il demeure le seul candidat du GOP.

Selon CNN, il s’en est pris aux médias, car de nombreux médias traditionnels et des réseaux comme CNN ont tenté de présenter sa campagne comme ayant connu un « démarrage lent », puisqu’il n’a pas tenu l’un de ses rallyes habituels.

« Ils ont dit : “Il ne fait pas de rassemblements, il a peut-être abandonné cette étape”. Je suis en colère maintenant et je suis plus engagé que je ne l’ai jamais été », a-t-il déclaré d’après Katie Sullivan, Gabby Orr et Kristin Holmes de CNN.

Toutefois, Chris LaCivita, un de ses conseillers, a fait remarquer au début du mois, lors d’un entretien avec Politico, qu’il était très tôt dans la campagne et a ajouté qu’« il serait un peu fou de dépenser d’énormes sommes d’argent aussi longtemps à l’avance. » Pour référence, le caucus de l’Iowa aura lieu dans douze mois, et M. Trump avait annoncé sa candidature à la présidence lors de sa première campagne, en juin 2015 – soit sept mois avant le caucus de l’Iowa.

Donald Trump a aussi présenté un certain nombre de vidéos exposant des prises de position fortes concernant de nombreux sujets, notamment un projet complet pour protéger la liberté d’expression, une vision pour s’attaquer aux cartels de la drogue d’une manière similaire à l’État islamique, et un plan pour protéger les « joyaux de la couronne » économiques de l’Amérique contre la Chine communiste.

Ces vidéos ont coïncidé avec une hausse substantielle de 15 points de sa popularité depuis décembre, comme le montre un récent sondage de The Economist/YouGov.

Après ses remarques dans le New Hampshire, le 45e président s’est rendu à Columbia, en Caroline du Sud, où il a tenu son premier événement officiel de campagne, flanqué de ses premiers supporters, le Sénateur Lindsey Graham (Républicain de la Caroline du Sud), le Gouverneur républicain de l’État Henry McMaster et un Représentant républicain au Congrès, M. Russell Fry.

« Je suis ravi d’être de retour dans le grand État de Caroline du Sud, que nous avons remporté deux fois avec un nombre record de voix, et c’est un véritable honneur. C’est un endroit incroyable », a déclaré M. Trump après avoir été présenté par M. Fry, le seul nouveau membre du Congrès à siéger aux Commissions de surveillance et judiciaire de la Chambre des représentants à Washington.

« Un célèbre dicton dit que c’est la Caroline du Sud qui choisit les présidents. Cette campagne portera sur l’avenir. Cette campagne portera sur les problèmes » , a-t-il déclaré.

« Joe Biden a mis l’Amérique sur la voie rapide de la ruine et de la destruction, et nous ferons en sorte qu’il n’obtienne pas quatre années supplémentaires. »

« Cette élection de 2024 est notre seule chance de sauver notre pays, et nous avons besoin d’un leader qui est prêt à le faire dès le premier jour. Nous avons besoin d’un combattant qui peut s’opposer à la gauche, qui peut s’opposer au marécage, s’opposer aux médias, s’opposer à l’État profond … suis-je autorisé à dire s’opposer aux RINOs aussi ? ». En disant cela, il a ri.

Il a annoncé que MM. Graham et McMaster allaient diriger l’équipe de direction de sa campagne dans l’État du Palmetto (palmier nain), et les deux ont a fait des remarques après son discours.

« Comme vous l’avez remarqué, cette foule vous aime », a dit le Gouverneur Henry McMaster. « …C’est parce que nous croyons au bon sens, nous croyons à la Déclaration d’indépendance, nous croyons à la Constitution, nous croyons à la Bible, et nous croyons en vous. »

« Eh bien, il l’a fait une fois, il peut le faire à nouveau ! », a déclaré le Sénateur Graham à la foule. « Combien de fois avez-vous entendu : ‘Nous aimons les politiques de Trump, mais nous voulons quelqu’un de nouveau ?‘. Il n’y a pas de politiques de Trump sans Donald Trump », a déclaré M. Graham. « J’étais là, quand les pays de l’OTAN ont versé 400 milliards de dollars. Savez-vous pourquoi? Parce qu’il le leur a demandé, et qu’ils avaient peur de lui dire non. »

« Les gens parlent de la Chine ; vous avez fait quelque chose à propos de la Chine », a-t-il dit à Donald Trump. « Ils ont finalement payé. (…). Vous les avez fait payer. »

« La bonne nouvelle pour le Parti Républicain, c’est qu’il comprend beaucoup de gens talentueux pour les années à venir, mais il n’y a qu’un seul Donald Trump », a ajouté M. Graham.

Après l’événement, au cours duquel Trump a présenté d’autres membres de son équipe dirigeante, le 45e président s’est arrêté dans une entreprise locale, où une ouvrière a prononcé une prière devant lui.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Breitbart

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