Publié par Jean-Patrick Grumberg le 26 janvier 2023
Le président du Forum économique mondial menace Elon Musk : « censurez Twitter ou nous vous sanctionnerons »

Jean Messiha, un homme politique classé à l’extrême droite, a retrouvé son compte Twitter. Il a remercié Elon Musk, en allumant un gros cigare pour fêter ça (d’une manière qui montre d’ailleurs que son éducation en matière de cigare est archi-nulle !).

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Elon Musk œuvre pour le bien de l’humanité dans les domaines industriels où il investit. Ca déplaît beaucoup. Le fait de redonner la parole à des Messiha déplaît beaucoup aussi. Hier, j’écoutais les paroles d’une chanson de Jimmy Hendrix. Il réclamait la liberté, « Freedom ! ». Combien de fois ai-je écouté ce morceau ? 100 fois ? Plus ? Et ce n’est que maintenant que je réalise que la liberté qu’il réclamait, lui aussi l’a voulait pour lui, rien que pour lui. Rien n’a changé. Ceux qui militaient pour la liberté d’expression – c’était nouveau pour nous dans les années 60, nous étions émerveillés, nous ne voyions rien – ils ne militaient que pour eux, pas pour la liberté d’expressions qu’ils n’aiment pas.

Rien n’a changé.

La vice-présidente de la Commission européenne chargée des valeurs et de la transparence, Vera Jourova, a menacé Elon Musk de « sanctions » s’il refuse de mieux « se comporter » en se pliant aux demandes de censure de la liberté d’expression sur Twitter.

La technocrate a lancé cette menace explicite, en ajoutant que Musk ne s’est pas « comporté de manière décente ». Ce qu’elle veut dire par là, c’est que Musk a refusé de se plier aux exigences de l’UE et de suivre son programme de censure. Pauvre petit cerveau étriqué. Comme sa vie personnelle doit être misérable.

Jourova a pris pour cible Musk parce qu’il a éliminé la censure de sa plateforme de médias sociaux. Elle aussi, veut plus de liberté, mais seulement pour ses idées. Ce qu’elle n’aime pas, elle ne dit pas « censurez-moi ça, je n’aime pas. Non. Elle n’a pas le courage et l’intelligence pour ça. Elle appelle ça « désinformation » et « mauvaise information ». Pauvre femme étriquée.

Un grand maître de la désinformation a pris sa défense

Brian Stelter, ancien commentateur principal de CNN, dont la chaîne a perdu 85% de son public à cause de la désinformation et des mauvaises informations qu’elle diffuse est venu soutenir l’euro-technocrate.

Le 18 août 2022, Brian Stelter, le grand reporter de CNN, a vu son émission dominicale, « Reliable Sources » annulée, après s’être écroulée parce que les sources n’étaient pas si fiables que ça… et Brian Stelter, a été licencié.

Et lors de la table ronde du Forum économique mondial (WEF) il a, sans détour, critiqué ceux qui répandent la « désinformation ».

Stephen Miller, collaborateur de la rédaction de The Spectator World, a commenté son intervention dans un tweet :

« Brian Stelter qui reste assis au lieu de défier cette minable fasciste [Vera Jourova], est une des principales raisons pour laquelle il est au chômage. »

« Cela devrait vous inquiéter que les élites essaient de redéfinir le mot ‘désinformation’ et qu’ils choisissent ce mec pour représenter sa redéfinition », a écrit Brandon Morse, rédacteur en chef adjoint de Redstate.

« Brian Stelter accueillant un panel sur la désinformation au WEF, ça dit tout ce que vous devez savoir sur le WEF », a tweeté Mike Crispi, un animateur de podcast conservateur.

Vera Jourova, la minable petite fasciste, a trouvé des oreilles accueillantes

« L’époque du Far West est révolue », a déclaré Mme Jourova lors d’un entretien avec EuroNews après l’événement.

« Nous aurons la loi sur les services numériques (Digital Services Act – DSA).

Nous aurons le code de pratique [entendre : code de censure] dans le cadre de cette législation. Ainsi, après que M. Musk a pris le contrôle de Twitter avec son ‘absolutisme de la liberté d’expression’, nous sommes également les protecteurs de la liberté d’expression.

Mais en même temps, nous ne pouvons pas accepter, par exemple, les contenus illégaux en ligne, etc. Notre message est donc clair : nous avons des règles qui doivent être respectées, sinon il y aura des sanctions. »

Cette femme n’a pas compris que 1984 et le ministère de la Vérité est un roman, pas un mode d’emploi.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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