Publié par Jean-Patrick Grumberg le 15 février 2023
Au secours, ils sont fous ! Une étude tente de déterminer si la couleur blanche est raciste

L’industrie Woke est sur le qui vive : elle doit absolument découvrir des symptômes de racisme qui n’ont pas encore été exposés.

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La blancheur est un obstacle à la justice raciale. C’est une condition maligne à laquelle les « blancs » doivent remédier, disent les progressistes. Les indices cachés sont partout. Mais les traqueurs de racisme veillent. Même la peinture blanche est désormais suspecte.

Une nouvelle étude sur la blancheur tente de le démontrer. Les nombreuses utilisations mondiales du composé chimique dioxyde de titane (TiO2) auraient des implications racistes. Le pigment qui en est dérivé – le blanc de titane – aurait contribué à la suprématie du blanc. La prévalence universelle du blanc de titane serait même le signe d’une « idéologie occidentale oppressive » !

Les études sur la blancheur sont une manne pour les universitaires : les subventions pleuvent, dans une Europe nihiliste qui ne pardonne pas la Shoah aux juifs et qui accélère son déclin. Le TiO2 et le blanc de titane ayant été mis au point par deux chimistes norvégiens dans les années 1910, la Norvège finance un audit de son propre rôle dans la propagation du privilège du blanc.

Le Conseil de la recherche de Norvège a accordé 12 millions de couronnes norvégiennes (environ 1,2 million de dollars) à l’université de Bergen pour « enquêter » sur les « conséquences planétaires » néfastes de la peinture blanche. Intitulé « Comment la Norvège a rendu le monde plus blanc (NorWhite) », le projet revendique son financement public : « La blancheur est l’une des principales préoccupations sociétales et politiques actuelles ».

Une somme supplémentaire de 288 000 dollars provenant du programme norvégien de recherche artistique a été attribuée à l’Académie nationale des arts d’Oslo pour un projet jumeau : « La matérialité du blanc (MoW) ». Ce projet postmoderne réfléchit à la blancheur dans le concret, dans la matière solide : « Le but du projet est de mettre en évidence la matérialité et l’ubiquité du TiO2, et de contribuer à la réflexion critique sur la couleur blanche et son origine minérale. »

MoW pose la question décisive : « Avons-nous besoin que notre monde soit plus blanc ? »

La réponse a été intégrée dans les premières demandes de subvention.

Cette « réflexion théorique et critique » commune sur le TiO2 va dans une seule direction : celle de la stigmatisation des personnes blanches – quelle que soit leur origine ethnique. Le projet est une version accréditée de l’ancienne pratique du racisme par la couleur de la peau. Le « problème » de la blancheur est la variante académique de la marque de Caïn, une tache sur la chair. C’est aussi le crime ultime : les nazis étaient des blancs.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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