Devant la recrudescence périodique des attentats terroristes réalisés par le Hamas, le Jihad Islamique, le Hezbollah, des milices affiliées à l’Iran ou par des individus programmés par la haine, en Israël, en Cisjordanie et dans le monde, des personnalités et de nombreux medias occidentaux ont tendance à adopter le narratif et les thèses dites « palestiniennes », pour des raisons qui leur sont propres.

En fait, il s’agit d’un processus d’épuration ethnique des Juifs, entrepris par les Arabes notamment dits « palestiniens », avec leurs alliés islamo-nazis et islamo-gauchistes, qui comprend 4 phases se succédant ou pouvant se produire en même temps.

On commence par déstabiliser, ensuite on délégitime, puis on diabolise et enfin on élimine.

1. Déstabilisation

• Prêche de nouvelles théories mettant en cause celles qui forment l’identité du groupe (histoire, archéologie…)
• Diffamation, diffusion de contre-vérités, désinformation (affiches, graffitti, pamphlets, articles, faux documents…)
• Attaque du sacré du groupe (profanation de sépulture, d’un monument historique ou d’un lieu symbolique, remise en question de textes fondateurs…)

Par exemple :

• « Le Hamas est une organisation de résistance et non terroriste »
• « Le Jihad islamique, formation militaire, est victime de Tsahal »
• « Les Juifs de Jérusalem sont des colons »
• « Israël refuse un état pour les Arabes de Palestine »
• « Tout juif orthodoxe est extrémiste »
• « Les Palestiniens précèdent les Hébreux en Terre sainte »
• Le cimetière du Mont des Oliviers est en permanence profané par des arabes
• L’AFP désigne le quartier juif de Névé Yaakov comme « colonie » ou comme un « quartier de colonisation juive » à Jérusalem-Est, alors que la localité a été fondée en 1924 et habitée par des juifs.
• Pour le président Emmanuel Macron l’assassinat de juifs est un « engrenage de la violence »
• Discours antisémites ou antisionistes sur les réseaux sociaux : 68 % des discours émanent des cercles palestiniens ou pro-palestiniens réputés « progressistes ».

2. Délégitimation

• Création et/ou financement d’organes et d’organismes hostiles (parti, média, association, ONG…)
• Actions hostiles (motions, pétitions, manifestations, discours, éducation diffusant la haine, destruction de sites archéologiques…)
• Financement de livres, articles, conférences ou autres médias hostiles

Par exemple :

• Mahmoud Abbas est l’auteur d’une thèse négationniste sur la Shoah, présentant les juifs comme complices d’Hitler.
• Le radicalisme islamo-palestinien et la haine anti-juive sont transmis par les parents, l’école, la mosquée et les medias.
• Slogan répété à l’envie : « La Palestine est arabe et musulmane de la mer jusqu’au Jourdain ».
• Réitérée à plusieurs reprises, la proposition par Clinton de créer un état palestinien a été refusée à chaque fois par Yasser Arafat.
• Double langage, l’un belliqueux en arabe, et l’autre « modéré » destiné à l’opinion internationale.
• Le réseau néo-nazi d’enseignement à domicile, basé dans l’Ohio, « Dissident Homeschool Network » fournit à 2 500 parents des ressources remplies de haine pour empêcher leurs enfants d’aller à « l’école sioniste » et en faire de « merveilleux nazis ».
• La France a demandé une réunion du Conseil de Sécurité de l’ONU pour condamner Israël, pour avoir mené une opération anti-terroriste à Jénine. 

3. Déshumanisation et diabolisation 

• Assimilation des éléments du groupe à des assassins, cannibales, animaux, insectes…
• Exclusion, boycott, procès, harcèlement, humiliation …

Par exemple :

• Transmission de la haine par les réseaux sociaux et internet.
• Une guerre d’usure, de culture et de religion menée par les musulmans pour épurer ethniquement la région de tous les mécréants.
• BDS et exclusion de conférenciers juifs ou Israéliens d’universités américaines.
• Condamnation permanente et répétée d’Israël dans les organes internationaux (240 condamnations de l’État juif à l’Assemblée générale des Nations unies entre 2015 et 2021 et 0 pour la Lybie ou le Pakistan).
• Diffusion de versets iniques du Coran dans les mosquées.
• Gaza et la zone A de Cisjordanie sont interdits aux Juifs.

4. Passage à l’acte pour atteindre l’intégrité du groupe

• Attaques physiques 
• Confiscation de biens
• Eloignement et élimination

Par exemple :

• Près d’un million de juifs ont été chassés des pays arabes ou sont partis sous la contrainte entre 1948 et 1956 et, pour la plupart, abandonnant leurs biens
• Jusqu’en 1967 épuration des Juifs de Jérusalem, pourtant majoritaires en 1948.
• En toute occasion, assassinat d’Israéliens au fusil, au couteau, à la voiture bélier…
• Assassinat de juifs devant une synagogue.
• La terreur arabe sévit depuis plus d’un siècle contre des femmes, des vieillards et des enfants innocents.
• Massacre de juifs pour satisfaire sa haine, car tuer un mécréant mène au paradis.
• Guerre asymétrique ? Les terroristes arabes tuent des civils dans les églises et synagogues
• En France, 50 % des incidents antisémites sont des agressions physiques.
• Basée sur de faux documents et de non moins injustes accusations, l’invalidation par le Conseil Constitutionnel de l’élection du seul député pro-israélien à l’assemblée nationale, Meyer Habib, le jour de la rencontre entre le président Macron et le 1er ministre Benjamin Netanyahu et qui a enchanté l’insoumise Clémentine Autin, n’est ni fortuite, ni justifiée. 
• Ce processus lent et peu visible qui dure depuis près d’un siècle est contrecarré par une résilience hors du commun d’un peuple qui défend le fondement de son identité, basée sur la Torah donnée au Sinaï et le retour à Canaan/Sion, et celle de la nation juive.

Résilience d’Israël

Devant ce nettoyage ethnique qui s’est amplifié depuis la création de l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine) et de l’invention d’un état virtuel appelé « Palestine », — alors que le son « Pé » n’existe pas en arabe, — sous l’égide du KGB en 1964, Israël a commencé à se défendre, devenant de plus en plus résilient devant cette menace mortelle.

Par exemple :

• L’économie d’Israël est solide et la majorité de la population est heureuse de vivre en Israël.
• Tsahal est la plus forte armée du Moyen Orient.
• L’engagement solidaire et l’union face à l’ennemi font la force de la nation.
• Les arabes de Gaza et de Cisjordanie glorifient la mort des leurs et la fêtent, alors que les juifs luttent pour la vie et souvent pour leur survie.
• Une gauche dogmatique en perte de vitesse et souvent antisioniste ne peut imposer sa volonté à une majorité élue, même par la force, les manifestations, les injonctions ou les sarcasmes.
• Des mesures plus sévères sont prises à l’égard des terroristes, de leur famille et ceux qui les soutiennent (maison détruite, expulsion, annulation de tout financement…).
• Circuler sur le Mont du Temple est un droit inaliénable des Juifs sur leur terre ancestrale.
• Extension de l’adoption de la définition de l’antisémitisme de l’IHRA, dans autant de pays et d’institutions que possible.
• Rappel que le boycott d’Israël, appelé BDS, est illégal dans de très nombreux pays.
• Bien que beaucoup de pays condamnent Israël, au sein d’organismes internationaux où les pays musulmans sont dominants, les relations bilatérales avec ces pays sont souvent excellentes, grâce à une diplomatie dynamique et à des technologies performantes.
• Quand ils seront étendus à l’Arabie et à l’Indonésie, les Accords d’Abraham mettront fin aux conflits dus à la présence d’Israël au Moyen Orient. 

Ce processus en cours pour le groupe judaïsme/Israël est également perçu dans le christianisme où au moins 20% des fidèles sont concernés notamment en Afrique et en Asie, dans l’hindouisme et le bouddhisme. Les actes de résilience d’Israël servent d’exemple pour l’ensemble de la planète devant l’Islamisme conquérant et le néo-nazisme renaissant. 

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