Dans l’affaire du ballon espion chinois, comme avec le désastre de l’immigration illégale à la frontière sud des États-Unis, Donald Trump a donné des leçons à l’Administration Biden. Il a montré aux Américains de quelle façon doit agir un président compétent.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Monica Showalter, paru sur le site d’American Thinker, le 5 février.

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Donald Trump, Président par procuration

Le président Trump agit-il comme une sorte de président par procuration dans le sillage de l’élection frauduleuse de Joe Biden en 2020 ? L’incident du ballon espion chinois semble indiquer quelque chose de ce genre.

Alors que Joe Biden tergiversait et minimisait la nouvelle d’un ballon espion chinois traversant toute la partie continentale des États-Unis pendant plusieurs jours sous le regard impuissant du public, le Président Trump émettait des ordres présidentiels énergiques, presque comme s’il était encore président.

Il a écrit sur son site de Truth Social :

« Abattez le ballon !»

Il a, en réalité, fait plus d’une déclaration de ce genre, mais je ne les ai pas toutes trouvées.
Il avait même une section d’encouragement qui lui faisait écho dans les médias sociaux.

On peut lire dans le Daily Mail :

Mike Pence, l’ex-vice-président de Donald Trump, a tweeté : « Abattez le ballon espion chinois », puis il a demandé au secrétaire d’État américain Antony Blinken de condamner l’incident de surveillance lors de sa visite à Pékin, (désormais annulée).

Ceci n’est pas sans nous rappeler ce que nous avons dans le passé, dit de ce Joe Biden, indécis et hésitant, qui vient de faire savoir aux Chinois qu’il serait paralysé s’ils lançaient une véritable attaque contre les États-Unis.

Joe Biden, qui était en vacances à Camp David au moment des faits, a finalement ordonné l’abattage du ballon hier, après qu’il eut accompli sa mission.

Les débris sont tombés en pluie dans l’océan Atlantique, où ils seront très difficiles à récupérer.

C’est presque comme si Joe ne voulait pas agir.

On dirait que, de la façon dont il a géré toute cette affaire, il a finalement donné l’ordre d’abattre le ballon espion uniquement à des fins de relations publiques.

Mais il semble y avoir eu un autre facteur : Donald Trump, qui a énergiquement demandé cet abattage.

M. Biden semble avoir été incité par M. Trump, qui donnait ces ordres cinglants qui avaient du sens pour le peuple américain.

M. Trump n’est pas un personnage grossier criant des appels à l’action façon Rambo – il est maintenant un ex-Président, avec encore plus d’expérience que Joe, et tout le monde sait qu’il sait comment le travail doit être fait.

Il semble peu probable qu’il demande quelque chose qu’il sait ne pas pouvoir ou ne pas devoir faire.

C’est ainsi que Joe le timoré a finalement fait abattre le ballon, comme pour prouver à Donald Trump qu’il n’est pas un idiot.

Il n’y avait pas d’échappatoire, aucune possibilité de faire croire qu’il s’agissait d’un objet inoffensif ou qu’une destruction ne pouvait pas être réalisée, comme le laissaient supposer les excuses proférées avant l’abattage du ballon.

Tout le monde savait que M. Trump connaissait les détails et ce qu’il était possible de faire, alors c’est presque comme si Joe Biden avait été poussé à agir par ce redoutable conducteur de banquette arrière de sa présidence ratée.

Ce n’est pas la première fois que cela se produit.

À l’époque où les Bidenites refusaient de se rendre à la frontière sud, Donald Trump a également forcé la main de Joe en déclarant qu’il allait s’y rendre.

Du coup, très peu de temps après cette déclaration, la vice-présidente Kamala Harris a eu une soudaine envie de se rendre elle-même à la frontière, devançant Donald Trump, comme pour lui voler la vedette.
Si Trump n’était pas intervenu, les Bidenites seraient restés négligents et inactifs. Le ballon chinois pourrait mener une autre mission d’espionnage des États-Unis et/ou de leurs alliés, et la frontière sud serait ignorée.

La raison pour laquelle les Bidenites pensent qu’il est si important d’avoir le dessus sur Donald Trump encore et encore démontre à quel point il les obsède – et comment il est celui qui mène la barque, étant donné que tout ce qu’il dit est un rappel au public de ce à quoi un président compétent ressemblait autrefois.

Ils le savent, c’est pourquoi il est devenu une sorte de président par procuration, le genre de personne qui peut pousser l’Administration inerte de Joe à agir, simplement en disant ce qu’il ferait à sa place.

Peut-être que s’ils n’avaient pas volé l’élection, ils ne seraient pas aussi sensibles à ce que dit Donald Trump et ce dernier ne serait pas pour eux une figure fantomatique persistante de la honte.

À la manière d’un revenant, M. Trump montre au public qui est le vrai président des États-Unis lorsqu’il donne des ordres – et ce n’est pas Joe Biden.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

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