Les livres pour enfants de Roald Dahl sont examinés par la police Woke à la recherche de mots « délicats ». Tout et n’importe quoi est désormais censuré, y compris que des Blancs se déguisent en Maures ou en Indiens. Résultat, ils tuent la créativité artistique.
Des correcteurs woke passent au crible les manuscrits de la littérature pour les maisons d’édition afin d’y trouver ce qui est trop délicat pour être publié à notre époque. Ils nettoient bien entendu les livres pour enfants de l’auteur britannique très lu Roald Dahl – par exemple Charlie et la chocolaterie, adapté plusieurs fois au cinéma.
En revanche, des programmes scolaires incluent des récits de théorie du genre, de changement de sexe, de relations sexuelles homosexuelles avec des détails que vous ne verriez même pas dans PlayBoy, et les publicités d’entreprises qui veulent à tout prix signaler leur vertu affichent des grosses à la place de jeunes modèles minces.
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- Les mots méchants comme « gros », « laid » et « fou » ont été supprimés de Charlie et la chocolaterie.
- « Pas ladylike » est devenu « indigne », car on veut éviter les références au genre.
- Les « hommes » sont devenus des « gens ».
- Les « pères et mères » sont devenus des « parents ».
Les responsables de ce crime littéraire sont la maison d’édition Puffin et la Roald Dahl Story Company, détentrice des droits d’auteur de Dahl, décédé en 1990.
Les modifications, plusieurs centaines, sont « mineures et mûrement réfléchies », selon un représentant de cette dernière société. Ils n’auraient pas osé dire ça à Dahl.
La maison d’édition et les héritiers « devraient avoir honte », dit sur Twitter un célèbre collègue écrivain de Dahl, Salman Rushdie, en critiquant la « police de la sensibilité censitaire ».
La démarche des ayants droit sur la censure de cet auteur suscite beaucoup d’indignation, notamment de la part du PEN Club américain. Mais ça ne durera pas, ils seront punis par les redoutables hordes d’extrême gauche, très puissantes.
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