
Un enseignant transgenre – un travesti, disons les choses telles qu’elles sont – a manipulé une fillette de CM2 pour qu’elle adopte un prénom et des pronoms masculins, ce qui a provoqué des pensées suicidaires chez l’enfant.
Selon un procès intenté au tribunal du comté de Suffolk par les parents de la fillette, un enseignant travesti qui se fait appeler enseignante, à l’école élémentaire Terryville Road de Port Jefferson Station, « Debra » Rosenquist, aurait incité l’enfant à utiliser un prénom et des pronoms masculins. Les parents ont appris la transition des mois plus tard, lorsque leur fille a fait un dessin qui disait « Je veux me tuer ».
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L’avocate de la famille, Debra Wabnik, a déclaré au New York Post que Rosenquist « a manipulé une pré-adolescente pour qu’elle change d’identité sexuelle alors que l’enfant ne ressentait aucune envie de le faire ».
Selon le procès, Rosenquist a commencé à appeler l’enfant de 9 ans « Leo » et à utiliser des pronoms de sexe opposé au début de l’année scolaire 2021-2022. Le prof à continué à s’adresser ainsi à l’élève pendant des mois, avant que les parents ne soient informés par le directeur de l’école en janvier 2022. L’élève aurait rencontré un psychologue scolaire et dit qu’elle « était confuse quant à son identité de genre », indiquent les documents judiciaires.
Le pire est que ls parents étaient favorables à l’idée du changement de prénom de leur fille s’il était demandé par leur enfant, mais ils doutaient que leur fille souhaite réellement s’identifier comme un garçon.
Et ils s’inquiètent du fait que « l’enseignant se soit écarté de manière significative du programme » et qu’il ait enseigné à de jeunes élèves l’idéologie de l' »identité de genre ».
L’action en justice indique que Rosenquist « a poursuivi son propre programme en dehors du curriculum, ce qui incluait de persuader ses élèves de CM2 d’essayer d’être ‘gay’ ou d’être d’un autre sexe même s’ils ne l’étaient pas ».
Autrement dit, Rosenquist n’est pas seulement un travesti, c’est un activiste qui cherche à inciter les gens à rallier sa façon de voir. On ne demande pas pourquoi, on le sait : cela sert à détruire tout ce en quoi l’homme croit, à commencer par la famille, le couple et la procréation.
« Pour servir son programme, Rosenquist a lu et fourni à ses élèves des livres graphiques sur le genre et la sexualité qui n’étaient pas au programme », affirme la plainte.
Rosenquist – je dis qu’il est activiste, ce n’est pas peu dire – a écrit un livre sur le thème des LGBT intitulé « I am Neither » (je ne suis ni l’un ni l’autre) et l’a mis à disposition dans la classe. De plus, il est accusé d’avoir lu « When Aidan Became a Brother », un livre sur les procédures chimiques et chirurgicales de changement de sexe chez les enfants, alors que – heureusement mais pour combien de temps – cela ne fait pas partie du programme officiel.
Après une enquête, il a été découvert qu’au moins un des livres hors programme était présent dans la classe de Rosenquist.
« Le préjudice psychologique et social que Rosenquist a causé à cette enfant et à sa famille est immense », a déclaré l’avocat de la famille.
Cette histoire est en réalité doublement folle.
Les parents ont accusé l’école de négligence en ne surveillant pas correctement la classe et en ne formant et supervisant pas le personnel. Sont-ils naïfs ou ont-ils le cerveau totalement délavé ?
La folie, c’est d’embaucher un enseignant travesti pour une classe de CM2 ! L’autre folie, c’est de l’embaucher sans avoir été dérangé par le fait qu’il s’agit d’une personne qui fait du prosélytisme pour le « changement » de sexe. La troisième folie, c’est d’imaginer qu’il ne ferait rien de tout cela sur ses élèves. La quatrième folie, si mes enfants en CM2 ont un instituteur travesti, je les retire de l’école dans les minutes qui suivent : je veux des gens normaux autour de mes enfants, et certainement aucune influence négative. De plus, qui doute de l’ascendant que représentent les professeurs sur leurs élèves ? Il y a des lois spéciales pour les rapports sexuels entre professeurs et élèves mineurs.
Rosenquist aurait été retiré de la classe mais enseigne désormais à des élèves plus jeunes. C’est de mieux en mieux.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Oui, le pire comme vous dites est qu’on refuse absolument de voir ces cinglés pour ce qu’ils sont ! Comment est-ce possible ???
1) Je ne pense pas q’une telle accumulation d’erreurs puisse prospérer en France, où les citoyens n’hésitent pas à saisir (à tort ou à raison, selon les cas) la hiérarchie de l’établissement scolaire.
2) A toutes fins utiles, signalons que le parti ‘Reconquête!’ (E. Zemmour) a créé une instance : »PARENTS VIGILANTS » opérationnelle à travers tout l’hexagone où des cellules d’analyse des faits interviennent , constituées de parents soucieux de préserver la santé physique et morale de leurs rejetons exposés aux propagandes sur ‘le genre’ dont l’Education Nationale se fait officiellemet un relais (cf les récentes circulaires aux recteurs)
Excellente initiative !
Exact, je fais partie du réseau Parents vigilants. On se sent moins seul et on sait que, désormais, on dispose d’une instance pour faire remonter l’endoctrinement.