
Un professeur de l’université Loyola affirme que les garde-manger organisés sont enracinés dans des « structures sociales racistes et sexistes ».
Elle ajoute, car il n’y a pas de limite, que la nouvelle tendance où les gens montrent leurs « pots à épices en verre soigneusement alignés et étiquetés en blanc » et leurs « paniers en osier remplis de paquets de pâtes, de crackers et de snacks », est un symbole de statut social pour femmes blanches.
Jenna Drenten, professeur agrégé, a rédigé un article d’opinion pour le site web The Conversation, dans lequel elle évoque ce qu’elle appelle le « pantry porn », un phénomène où les « cuisines organisées de manière obsessionnelle » sont devenues « un nouveau symbole de statut social » sur les médias sociaux.
Cette folle dingo écrit :
« J’ai remarqué une augmentation des garde-manger glamour, stylisés et entièrement remplis, sur TikTok et Instagram, donnant naissance à un genre de contenu que j’ai baptisé ‘pantry porn’. Ce qui se cache sous la surface de cette position anti-désordre et pro-joliesse, c’est une histoire de structures sociales de classe, raciste et sexiste », dit le professeur.
Drenten ajoute : « les influenceurs qui produisent du ‘porno de garde-manger’ sont principalement des femmes blanches qui montrent ce à quoi ressemble l’entretien d’une ‘belle’ maison en créant un nouveau symbole de statut : le garde-manger parfaitement organisé et entièrement approvisionné ».
La prof suggère que si les concepts minimalistes signifient que moins c’est mieux, « le nouveau minimalisme signifie que plus c’est mieux, tant que ce plus n’est pas désordonné ».
« Les consommateurs n’ont pas besoin de moins, ils ont besoin de plus : plus de récipients, plus d’étiquettes, plus d’espace de stockage », écrit-elle.
Drenten affirme encore que le « pantry porn » établit « la norme d’aspiration pour devenir une mère idéale, une épouse idéale et une femme idéale ».
« La pornographie du garde-manger, en tant que symbole de statut social, repose sur la promesse de faciliter le travail domestique quotidien. Mais si les femmes sont largement responsables du travail requis pour maintenir un garde-manger parfaitement organisé, il est essentiel de se demander : plus facile pour qui », conclut Mme Drenten.
C’est quoi son problème, à cette congelée ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Il y a des questions à se poser sur le recrutement de ces gens! Sur quels critères sont-ils embauchés ??
Agrégée, en plus, et d’ailleurs agrégée de quoi ??
Cher JPG, vous avez bien raison de qualifier cette personne de ‘folle dingo’.
Mais…n’est pas encore plus ‘fou dingo’ le journal qui accepte de publier de telles inepties ??
liberté d’expression, soit, mais lorqu’elle camoufle une liberté de crétinerie, le citoyen lambda a de quoi s’inquiéter !
Il me semble que cette « prof » a besoin d’aide ,et par la même occasion ça rendra service a son « entourage » ; il est d’une nécessité urgente de l’enfermer cette dérangée du bulbe . C’est de la schizophrénie pure et dure . La schizophrénie se manifeste par une perte de contact avec la réalité .
Ne se serait elle pas échappée d’un asile psychiatrique par hasard, il me semble que les etudes suivies dans des universités de blancs déstructurent complètement ce genre d’enseignants à enfermer très rapidement.
C’est « intéressant » de lire que des folies de ce genre peuvent exister, mais en en parlant on leur donne bien trop d’importance, non ?!
Faudrait les publier avec une espèce de droit juridique ( à inventer) : du genre « publication anonymisée volontairement, pour protéger l’auteur du ridicule ». Car il est clair que ce genre de Sardine Rousseau fait ça pour exister (enfin…), pour le buzz comme on dit maintenant.
En plus, ces gens sont bien capables de faire de l’argent avec, au nombre de vues sur YouTube etc !
Il me paraît donc sain d’être soucieux de leur éviter ce genre de « dérive » ! Totalement capitaliste qui plus est…