Publié par Albert Soued le 17 mars 2023
France : guerre totale contre les catholiques – dans les médias comme dans la rue

Giulio Meotti, journaliste italien d’Il Foglio parle d’une ville d’Europe, comme exemple :

« Personne n’a rien dit lorsque les Juifs de Nantes ont cessé de porter la kippa en public. Aujourd’hui, ce sont les chrétiens qui sont la cible du bras de l’islam. » 

Le curé de Notre-Dame de Nantes : 

« La situation s’est dramatiquement dégradée. Il y a ceux qui menacent physiquement et verbalement les paroissiens et les visiteurs, allant jusqu’à cracher sur les religieuses. Des gens volent des bougies, répandent de la cire sur le sol, défèquent dans les confessionnaux… »

La lettre de deux religieuses catholiques, qui ont dû quitter le centre de Nantes après des années d’agressions :

« L’escalade de la violence à laquelle nous assistons ne s’atténuera pas avec une présence plus forte des forces de l’ordre. Celles-ci peuvent atténuer certains effets, mais il ne faut pas se leurrer : ceux qui créent ce climat d’insécurité n’ont pas changé de comportement avec l’arrivée de la police. Pour nous, avec le temps, c’est devenu trop fatigant. Lorsque nous sommes dans l’église de Sainte-Croix, nous sommes toujours en alerte, toujours prêts à réagir à tout manque de respect du lieu, des personnes ou de la célébration qui s’y déroule…. »

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L’hebdomadaire «Valeurs Actuelles » : 

« Nantes, territoire perdu de la République, l’immigration incontrôlée pèse sur la ville, avec un nombre croissant de « mineurs accompagnés non régularisés », d’immigrés clandestins qui prétendent avoir moins de 18 ans, ainsi qu’une concentration inhabituelle d’organisations de gauche radicale, dont certaines comptent des activistes violents qui ont été tolérés ou parfois même encouragés par les autorités…. »

« Je connais très bien la ville où je suis né et où j’ai commencé à travailler comme journaliste« , dit Ivan Rioufol du Figaro. « Quand j’ai quitté Nantes en 1984, c’était la tranquillité même, y compris dans les quartiers les plus populaires. Les immigrés étaient minoritaires. Aujourd’hui, Nantes est devenue libanaise« . La ville abrite la 4ème mosquée de France, avec 2 500 fidèles.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Soued

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