
Le 10 mars, le Karma a frappé à la porte des entreprises israéliennes de hi-tech qui ont massivement désinvesti des banques israéliennes pour faire plier la coalition Netanyahou, lorsque la Silicon Valley Bank (SVB), où environ 500 entreprises et start-up israéliennes avaient leurs capitaux, a fait faillite, effaçant d’un coup leurs avoirs.
1Eynat Guez, PDG et cofondateur de Papaya Global, une société israélienne de logiciels pesant un milliard de dollars, a annoncé fin janvier que Papaya Global retirait tous ses fonds des banques israéliennes, un chantage légal mais immoral, car dans la ligne des antisémites de BDS qui veulent détruire l’Etat d’Israël.
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Elle a fait cela, avec d’autres, parce que les idées de la gauche n’ont pas convaincu les Israéliens lors des élections, alors elle a tenté d’infléchir le processus démocratique par le chantage économique. Encore une fois, c’est immoral, mais légal. Son but est de faire reculer le gouvernement sur la réforme judiciaire, parce qu’il va priver la gauche du pouvoir de dominer le gouvernement par l’intermédiaire des juges.
- Début février, Guez a incité d’autres entreprises de haute technologie à faire effondrer l’économie israélienne.
Elle a tweeté :
“Si nous tous, chefs d’entreprises de haute technologie, retirons en un jour seulement 20 % de l’argent que nous gardons dans les banques [israéliennes] – elles s’effondreront… c’est mon droit et même mon devoir.”
- Samedi, Guez a remercié les banques israéliennes, celles qu’elle voulait ruiner le mois précédent – d’avoir pris des mesures exceptionnelles pour sauver les entreprises israéliennes qui ont été prises dans ce désastre financier.
Elle a tweeté :
“La Discount Bank et la Bank Hapoalim prennent des mesures étonnantes pour soutenir les entreprises israéliennes – des prêts immédiats aux entreprises ainsi que des prêts relais aux employés dont les salaires seront retardés par les entreprises en raison de l’effondrement de la SVB. Voilà à quoi ressemble un véritable leadership. Merci pour l’exemple et le leadership !”
Aucune honte ne l’arrête.
2L’entreprise de Tom Livne, PDG de Verbit Software, détenait 100 millions de dollars chez SBV. Lorsque l’écroulement de la banque a commencé, des sources proches de la société ont déclaré à Globes que les cadres de l’entreprise ont exhorté le PDG à retirer les fonds de l’entreprise et à les renvoyer sur son compte bancaire israélien, mais Livne a refusé, […]
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Je ne parviens pas à comprendre comment les grands patrons de ces entreprises ne s’aperçoivent pas que s’ils favorisent la destruction du pays par la Gauche ils en paieront le prix fort.
Il scient la branche sur laquelle ils sont assis mais ne voient rien !!!
Je connais ce milieu, qu’est ce que vous fait croire qu’ils sont futés ?
Ok, ce ne sont pas forcément des génies, mais créer, développer et diriger une grande entreprise technologique demande un minimum d’intelligence. Enfin, il me semble, je ne sais plus, car
là, on voit des comportements sans aucune vision de l’avenir et même carrément stupides…
Vous dites que vous connaissez ce milieu. Comment expliquez-vous ça ?
Si vous voulez dire qu’en dehors de notre domaine de compétence, qu’est-ce qu’on peut dire comme âneries, j’avais remarqué.
C’est presqu’INCROYABLE cette histoire !!! Youpi JPG, vous VOYEZ que la Providence divine n’est pas une idée farfelue …
Bonne soirée
Je n’aurais pas utilisé le terme de « karma » !
Quand ces entreprises ont quitté Israël pour les raisons qu’elles ont invoquées, dans mon esprit, je leur ai souhaité « Bonne chance », tout comme aux banques qui allaient les accueillir.
Je crois au Dieu de la Bible, au Dieu d’Israël, je sais qu’Il est patient et qu’Il ne se met pas en colère si facilement.
Je pense qu’on peut y voir une autre explication. Nous sommes tous au bénéfice de bénédictions de Dieu, et tout particulièrement Israël, le peuple de Dieu. Et très souvent dans nos réussites, que nous attribuons à notre génie, il y a 3 composantes dominantes : La première, c’est cadeau (de Dieu), la deuxième, c’est cadeau et la troisième, c’est cadeau. I Corinthiens 4:7 « Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? »
Alors quand on se permet ce genre de choses plutôt choquantes et qu’on se croie les plus forts et les plus malins, Dieu nous laisse nous débrouiller tout seuls.
La dérouillée est sévère. Auto-punition ! Pourtant, c’était marqué en très gros sur le bâtiment : « Silly-Conne Valley bank ».
Alors là, Blups, je vous rejoins 5 sur 5. J’ai aussi l’impression que quand on réussit c’est cadeau, parce que des tas de gens nous aident toujours (par exemple, sans exhaustivité, m’aident à vous écrire : les gens qui ont inventé l’alphabet, ma mère qui m’a envoyée à l’école, mes instits qui m’ont appris à écrire, les gens qui ont conçu et fabriqué mon smartphone, etc… La liste est infinie). Quelle est ma participation réelle ? C’est difficile à cerner. En fait, à travers moi, des millions de personnes vous écrivent. Et il y a des gens qui se sentent seuls !
Curieuse coïncidence!
Tout semble avoir été déjà bouclé au 7 mars. La réaction affolée de la clientèle de la banque et les retraits en masse ont débuté le lendemain. Le 10 mars n’a été qu’une conclusion juridique inévitable d’une situation préexistante.
Dans la chronologie ironique de cette variante financière de « l’arroseur arrosé » et la correspondance entre la punition et l’ampleur de l’intention malveillante, comment ne pas entrevoir comme un clin d’oeil discret à la fête de Pourim et à ses retournements facétieux?
Un exemple de justice immanente!
Si seulement cela pouvait se répéter plus souvent.