
Tandis que les Démocrates, ont annoncé qu’ils en avaient fini avec les débats en 2024, puisque leur candidat est déjà choisi, le GOP a décidé d’annoncer les dates et lieux des débats de leurs candidats présidentiels, sans en discuter avec eux. Le GOP a visiblement évité de consulter l’ex-Président Trump, qui domine le terrain en ce moment. Il a déclaré en privé qu’un débat en août 2024 serait trop tôt et qu’il n’y participerait pas. Il a également suggéré dans ses messages sur les réseaux sociaux que du fait qu’il mène largement dans les sondages, il n’a aucune raison de débattre avec les autres candidats. Il a aussi critiqué le fait que le deuxième débat se tiendra à la Bibliothèque Reagan, dont le président est Fred Ryan, l’éditeur du Washington Post (un journal pro-démocrate). En plus, le Comité National Républicain (RNC) se prépare à exiger que les participants aux débats signent un engagement selon lequel ils soutiendront le candidat du GOP à la présidence, quel qu’il soit. Il est clair que Ronna McDaniel, la leader du RNC, cherche à piéger Donald Trump et à l’empêcher de remporter la nomination.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de David Zukerman, parue sur le site d’American Thinker, le 28 avril.
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Les débats entre candidats lors des primaires devraient disparaître
La chroniqueuse du New York Post, Miranda Devine, en déclarant, le 26 avril, que des débats lors des primaires républicaines seront un bon moyen de faire échouer la candidature de Joe Biden à sa réélection, suggère une nouvelle hostilité à l’égard de l’effort de réélection de Donald Trump.
Le New York Post, comme chacun sait, est une publication appartenant à la famille Murdoch, et les Murdoch ne sont pas des admirateurs de l’ex-Président.
Mme Devine a probablement compris de quel côté son pain est beurré. Les débats des primaires ne sont rien d’autre qu’un moyen de flatter les egos des modérateurs, qui demandent aux candidats (dont l’un pourrait bien devenir le leader du monde libre) de lever la main pour obtenir la permission de parler, comme s’ils étaient des élèves de l’école primaire.
C’est humiliant ! Quelle bizarrerie !
Les débats ne servent à rien lorsqu’il s’agit de se faire une idée des positions d’un candidat en matière de politique publique ! Quelles informations peuvent être fournies par un candidat qui dispose de deux minutes pour répondre à une question (tendancieuse) d’un modérateur qui ne cache pas son sentiment de faire partie de l’élite ?
(Ce qui me fait penser à ce qui est arrivé à l’insupportable modérateur de débat Chris Wallace [NdT: Chris Wallace- qui était un animateur de Fox News – a ostensiblement pris le parti de Joe Biden lors du débat des chefs en 2020]).
Le niveau actuel des débats politiques n’a rien à voir avec l’origine de ces événements : les débats Lincoln-Douglas, qui, soit dit en passant, se sont déroulés sans modérateurs, et certainement sans extraits sonores – et dans le contexte de l’élection du Sénat des États-Unis dans l’Illinois en 1858. De surcroît, à cette époque, les sénateurs étaient élus par les assemblées législatives des États, et non par le vote populaire.
Qu’y a-t-il de mal à ce que les candidats fassent campagne à l’ancienne : c’est-à-dire en rencontrant les gens et en organisant des rassemblements ?
Qu’on se le tienne pour dit : un rassemblement de cinq personnes ou plus pour discuter de politique publique en deux minutes n’est pas un débat, c’est un concours qui prend les gens pour des imbéciles.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : American Thinker
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Cet article est largement favorable à Donald Trump CAR IL MET EN EVIDENCE SON BON SENS ET SON PRAGMATISME.
Conclusion : du bruit et de l’agitation INTILES.