
Alors que les dirigeants des pays occidentaux continuent d’insister sur le fait que le monde souffre d’une « crise climatique », les données du NSSTC racontent une histoire très différente, que les médias n’auront pas d’autre option que les occulter.
Des données météorologiques récemment publiées montrent que les températures moyennes dans le monde sont restés inchangés depuis environ neuf ans. Cela ne veut pas dire que la Terre ne s’est pas réchauffée dans certains coins – des agriculteurs, qui vivent au gré des saisons, attestent de changements significatifs, mais cela oblige à se poser des questions que les experts ne veulent pas qu’on pose, et les médias ne veulent pas évoquer.

Les données publiées par le National Space Science and Technology Center montrent qu’il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis juillet 2015, il y a huit ans et neuf mois.
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Ce constat met à mal les arguments des réchauffistes et autres, selon lesquels la hausse des températures, due en grande partie aux émissions des combustibles fossiles, est devenue une menace existentielle qu’il convient d’enrayer.
Déjà, ils ne parviennent pas à démontrer que l’activité humaine est la cause de ce réchauffement, ensuite, ils n’arrivent pas à nous faire croire que l’homme peut changer la température de l’air qui entoure la planète, plus les océans, plus les continents. Après, ils ont changé « réchauffement » par « changement », et maintenant, même changement ne colle plus à la réalité. Que leur reste-t-il ? La contrainte, réglementaire et fiscale, et faire taire les réticents.
Steve Milloy, ancien membre de l’équipe de transition de l’EPA pour l’administration Biden et fondateur de Junkscience.com, a tweeté en réponse à ces nouvelles données :
« Juste à l’heure… pas de réchauffement climatique en 8 ans et 9 mois… malgré 500 milliards de tonnes d’émissions représentant 14 % du CO2 total produit par l’homme. Le réchauffement dû aux émissions est un canular ».
Et fait curieux, aux Etats-Unis du moins, la plupart de ceux qui défendent l’idée d’un réchauffement climatique sont des pro-palestiniens.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Je ne sais s’il existe un réchauffement climatique, votre article atteste de la controverse actuelle, mais il est patent qu’il existe un dérèglement climatique. Comme vous le dîtes, les paysans se voient contraints de changer depuis deux décennies des pratiques transmises par leurs parents et grands-parents. Des régions autrefois humides se retrouvent en déficit hydrique récurrent. La date de réveil de la végétation avance chaque année faisant craindre les gels tardifs.
Ailleurs, on voit au contraire les températures s’effondrer.
Autrefois on pouvait connaître une sécheresse exceptionnelle, un printemps précoce, un hiver tardif mais ce qui arrivait chaque décennie a vu sa fréquence passer à 5 année, puis à 3 en à peine plus de 20 ans. C’est considérable et le monde agricole se voit obligé d’en tenir compte (retenues d’eau, changements de cépages, protections par chauffage,…).
On peut raisonnablement douter d’une cause anthropique mais le changement climatique est incontestable quand on se donne la peine d’aller le constater sur les terres agricoles.
Je ne sais si une conjonction quelconque a pu être établie entre les théories des militants propalestiniens, et celles du GIEC,(?) mais ce qui est certain c’est que l’évangile du réchauffement climatique a déjà été largement dénoncé et contesté : voir ‘les 10 mensonges du Giec’ par exemple aux éd. ‘l’Artilleur’ où se trouvent également d’autres ouvrages aussi révélateurs sur le même thème.
Ce que vous soulignez est intéressant: aux rapports du GIEC succèdent des contre-rapports tout aussi définitifs. L’erreur intellectuelle serait que l’opinion précède la réflexion et que l’on ne considère dès lors que les discours qui confortent notre opinion a priori.
C’est difficile. Ainsi, il ne faut pas fouiller longtemps sur internet pour lire une interprétation différente du schéma reproduit par M Grumberg voire même en trouver un autre avec des données différentes émanant d’un organisme tout aussi éminent. Certains s’en tirent en qualifiant de corrompus ceux qui défendent le camp opposé. Cela me paraît un peu simpliste.
D’où ma démarche de rencontrer les agriculteurs qui se fichent de ces diagrammes et se confrontent chaque jour à ce qu’ils appellent eux-mêmes un dérèglement climatique, terme qu’ils n’ont pas lu dans un rapport du Giec mais qui convient parfaitement aux problèmes récurrents auxquels ils doivent faire face depuis deux décennies.
Marlowe, si tous ces organismes scientifiques ont tous des données différentes avec des arguments à la clef, qui détient la vérité.
Mon argument un peu simpliste (je ne suis pas un scientifique) quand on observe l’evolution de la terre aux cours des milliers, millions, milliards (choisissez) d’années, on peut constater que rien n’est figé et que le climat (hommes ou pas), au grès du temps à toujours évolué, trop chaud, trop froid (on trouve des vestiges des temps passés un peu partout sur la terre) , tout ce que l’homme peut faire, c’est améliorer son environnement pour vivre sainement et si en France notre president veut améliorer la qualité de l’air que nous respirons, cela ne changera rien du tout dans le reste du monde.
Maujo, je suis comme vous et dois donc assister à ce débat entre scientifiques en essayant tant bien que mal, de me faire une idée, laquelle n’est d’ailleurs toujours pas arrêtée.
Je pense cependant que certains faits sont indiscutables quand on va, comme je le dis, au contact des gens qui vivent avec le climat: les agriculteurs. Or, ces derniers constatent bien un changement récurrent qui les amène à changer des pratiques pourtant très anciennes (type de culture, mode et fréquence d’irrigation, techniques de protections,…).
Certes, le climat sur Terre a bien changé en 4,5 milliards d’années mais ces changements s’observent sur des dizaines de milliers d’années. Nous parlons ici de variations sur des décennies. Soit celles-ci sont dues aux activités humaines et elles perdureront, voire s’aggraveront, soit il s’agit d’un épisode ponctuel sans conséquences à termes. Les années qui viennent donneront raison à un camp car si on constate que le manque d’eau s’aggrave, que certaines cultures ne sont plus à leur place, etc…, c’est que le changement climatique est bien durable.
En dernier lieu, améliorer la qualité de l’air, climat ou non, est pertinent pour la santé de tous.
Marlowe :::: La terre est âgée de 4,54 milliards d’années . Depuis elle passe par des phases de glaciations a celles de « réchauffements » . Cette datation repose sur des preuves .La climatologie étudie des phénomènes météorologiques sur des zones étendues du globe ,sur une longue durée . Lorsqu’on étudie le temps qu’il fait a court terme sur une zone limitée c’est de la météorologie . Certaines zones « menacées » par des phénomènes météorologiques naturels : Ce sont des aléas . Dans les années 70 /80 « ils » nous ont également bassinés avec le fameux CFC qui soit disant provoquait des trous dans la couche d’Ozone et que nous allions tous mourir du cancer de la peau ! Le professeur Didier Raoult a dit : » La peur est la plus grande maladie du siècle »
Quand on se donne la peine de se documenter on comprend beaucoup mieux toute cette manipulation . Et particulièrement celle du « GIEC » .
Templier, personne ne conteste que le changement climatique s’observe ordinairement sur des dizaines de milliers d’années. Ce que certains climatologues prétendent, c’est que, justement, et en raison des activités humaines, nous assisterions à un changement exceptionnellement accéléré.
Ce que vous appelez « les aléas », ce sont les accidents climatiques comme la sécheresse de 1976 en France. Le monde paysan intégrait cela très bien en sachant que cela revenait avec une fréquence, pour ce qui est des sécheresses, décennale. Ce que nous disent les agriculteurs (je vous engage à les rencontrer) c’est que ces fréquences se resserrent tendanciellement. En outre, ils constatent que le réveil de la végétation avance régulièrement coïncidant désormais avec les derniers gels (d’où ces bougies qui fleurissent désormais en avril dans les vignes et des vergers). Certaines cultures pratiquées depuis des décennies sans problèmes ne sont plus à leur place, voient leurs rendement baisser ou demandent une irrigation considérable.
Les paysans se fichent des théories antagonistes entre le Giec et les climatosceptiques mais ceux que je côtoie me parlent maintenant sans tabou de réchauffement climatique.
Enfant, j’ai connu de la neige chaque année, de la canicule chaque été … et aujourd’hui je retrouve enfin presque cela … l’anomalie était plutôt de ne plus avoir cela , pas l’inverse
Joseph, il ne faut pas confondre chaleur et canicule. La norme serait, vous avez raison, la neige en hiver et la chaleur en été. Sauf que l’enneigement baisse tendanciellement (nombre de petites stations doivent fermer et les plus grandes sont désormais constellées de canons à neige) et que la chaleur devient caniculaire jusqu’aux régions comme le Nord ou la Normandie (dans cette dernière région, on pense abandonner peu à peu la culture du lin qui ne supporte pas les fortes chaleurs).
Comment peut-on annoncer qu’avec des boulons et du silicium, on pourra garantir que la colossale masse de la terre, atteindra dans 30ans une temperature très précise et AU DIXIEME de degré près!! … alors que l’on est même pas foutu de donner au degré près la température qu’il fera demain dans son patelin?
Pourquoi la moindre bricole dite écologique, doit-elle passer par la case fabrication par des usines polluantes et émettrices de Co2?
L’écologie d’aujourd’hui est devenue terriblement industrielle et vénale
La VE en est un excellent exemple : la fabrication mondiale de milliards de VE, de milliards de batterie, de bornes de recharge, de Kms de cables pour les connecter et de cartes électroniques, fera tourner à plein régime les MEMES industries polluantes que les verts voulaient voir disparaitre!!!
Le crime profite forcément à quelqu’un mais certainement pas au climat
Parler de « dérèglement climatique » est un concept anthropocentriste que s’approprient des groupes de pression pour peser sur les opinions publiques.
Le climat n’a pas de règles au sens humain du terme, la nature ayant ses propres variations difficiles à prévoir. Les modifications de températures sur la durée d’une vie humaine ne signifie rien de durable.
Vous avez raison, la nature a ses propres lois climatiques mais celles-ci peuvent être affectées accidentellement.
Il y a 66 millions d’années, la météorite qui a heurté la Terre a largement impacté le climat.
Pareillement, en cas de guerre atomique, nous créerions un hiver nucléaire qui pour le coup serait imputable aux activités humaines.
Le débat sur le climat est effectivement anthropocentriste car les variations dont on parle, 2 ou 3 degrés, affectent essentiellement l’humanité.
Nous sommes bien d’accord, il faut regarder de près ce qui ressort des activités humaines, mais c’est autre chose.
Marlowe ; C’est bien ce dont j’avais dit dans un précédent article ; Vous partez dans tout les sens !!!!! Simone de Bauvoir a dit : » Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance , mais le refus de savoir » …..
Si Simone de Beauvoir l’a dit, je ne vois rien à ajouter.
Merci tout de même de préciser, avec des exemples, ce que vous entendez par « partir dans tous les sens ». Cela me permettra peut être de préciser mes propos pour qu’ils reprennent un sens linéaire et conforme.