
Certains analystes conservateurs qui n’aiment pas Donald Trump (mais ne veulent pas s’attirer les foudres de leurs lecteurs), émettent des doutes sur sa candidature et estiment qu’il devrait ou bien renoncer à se présenter en 2024, ou bien changer de style. Ron DeSantis, le Gouverneur de la Floride qui n’a toujours pas annoncé sa candidature, prétend que Donald Trump aurait dû virer le Dr Fauci en 2020. C’est oublier que le Dr Fauci était très populaire auprès des médias anti-Trump. S’il avait perdu son emploi en pleine campagne électorale, il n’aurait eu aucune raison de se gêner pour accuser le Président Trump de causer la mort de milliers d’Américains ! Ceux qui se souviennent de la campagne électorale de 2020, savent que les Démocrates tenaient Donald Trump responsable de la pandémie. Elle a nuit à Donald Trump et la fraude électorale dans les États-charnières a fait le reste. Il y a des analystes conservateurs qui pensent que Donald Trump a tout ce qu’il faut pour remporter la nomination du GOP et l’élection de 2024. John Nantz est l’un d’eux.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de John Nantz, paru sur le site de Townhall, le 18 avril.
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Donald Trump pourrait être un nouveau Samson
Donald Trump a beaucoup de points communs avec Samson, jusqu’à son abondante chevelure. Sa coiffure dorée est une marque de plusieurs millions de dollars, pratiquement une icône vivante et ondulante qui rayonne de l’énergie psychique réfléchie de la haine collective de la gauche. Il a transformé sa coiffure indisciplinée en nimbe de feu – une chose sanctifiée comme les mèches fluides du Nazirite.
M. Trump est même abstinent, tout comme Samson qui avait juré de ne jamais prendre part au fruit de la vigne.
Les parallèles sont troublants. Samson ne réussissait pas très bien à séduire les femmes. Et M. Trump n’est pas étranger à la controverse sur ses relations passées avec elles.
Certains pourraient dire que M. Trump est la mâchoire d’un âne. Mais il n’est pas moins habile à manier l’artillerie rhétorique que Samson ne l’était à semer le désordre avec son arme improbable arrachée aux restes d’un âne.
Les Philistins vivent toujours, et leur esprit païen habite les viles petites créatures qui rôdent et critiquent dans le sillage agité de Donald Trump.
L’une des leçons de l’histoire de Samson est qu’un homme peut être utile pour accomplir de grandes choses en dépit de ses vilains défauts. Après que la fiancée de Samson a été donnée à un autre, il a attaché trois cents renards par paires en liant un tison enflammé entre leurs queues. La horde de renards paniqués s’est précipitée sur les cultures des Philistins et y a mis le feu.
En conséquence, les Philistins éprouvèrent une rage si intense qu’il s’agit probablement du premier cas de ce que l’on appellera, des milliers d’années plus tard, le « Trump Derangement Syndrome » (syndrome de la haine de Trump).
M. Trump est une épine dans le pied de tous les gauchistes qui haïssent l’Amérique, craignent la liberté et veulent tuer Dieu.
Les appeler Démocrates serait redondant. Chaque fois qu’ils pensent l’avoir enfermé en toute sécurité dans un bastion bardé de briques et de mensonges, il arrache les portes et s’en va avec les poteaux, barreaux et tout le reste.
Le dernier stratagème des Démocrates pour étouffer Trump se révélera être aussi futile que de lier les poignets de Samson avec une corde fraîche.
Le procureur de Manhattan, Alvin Bragg, a présenté un acte d’accusation dépourvu de toute charge criminelle substantielle. Une approche originale, qui devrait conduire à sa radiation ignominieuse du barreau et à un court voyage dans le tas d’ordures de la conscience populaire.
Alan Dershowitz, professeur de droit à Harvard et avocat démocrate, a déclaré à Fox News : « Je n’ai jamais vu un dossier aussi faible ».
M. Bragg est d’une incompétence flamboyante. C’est presque comme s’il savait qu’il ne subirait aucune conséquence pour s’être engagé dans une persécution politique sans retenue.
En outre, où est l’indignation générale face à sa tentative évidente de subvertir un cycle électoral présidentiel à venir ? Il a passé tout son mandat de procureur de Manhattan à décriminaliser massivement les délits dans une tentative de ce qui ne peut être décrit que comme des réparations judiciaires.
M. Trump serait bien avisé, comme je suis sûr qu’il l’est, d’intenter un procès civil pour poursuites abusives.
Contrairement à Alvin Bragg, Donald Trump dispose d’une véritable cause d’action puisque la poursuite malveillante est définie comme l’engagement d’une action en justice (civile ou pénale) dans un but inapproprié et sans motif ou cause probable.
Ce serait l’équivalent juridique moderne de Samson tuant trente Philistins pour racheter un pari perdu… contre d’autres Philistins. En outre, il serait très amusant de voir M. Bragg se tortiller comme un ver de farine dodu.
Bien sûr, l’orgueil démesuré est justifié de la part des Démocrates, car personne n’a encore été tenu responsable de la litanie d’horreurs qu’ils ont perpétrées depuis qu’ils ont pris le pouvoir en 2020. Les grands médias sont joyeusement aveugles à toute critique de Joe Biden, y compris aux dernières révélations concernant le trafic d’influence criminel et probablement traître de Joe et Hunter.
La fin de partie de Donald Trump sera certainement spectaculaire.
S’il parvient à obtenir l’investiture républicaine, puis la présidence en 2024, il disposera de quatre ans pour poursuivre la série de victoires dont il a bénéficié au cours de son premier mandat – des victoires en termes de paix et de prospérité pour tous les Américains.
Qui d’autre a pu négocier la paix au Moyen-Orient ?
Je vais vous le dire : personne.
Même le demi-dieu Obama n’y est pas parvenu. Apparemment, il faut plus qu’un boniment de vendeur pour impressionner les Israéliens et les Arabes.
La vaste machine de l’État profond s’est dressée contre Donald Trump depuis le jour où il a descendu l’escalier roulant de la Trump Tower.
Ils ont sondé, enquêté, espionné, menti, fabriqué et fait de la collusion à grande échelle. Ils ont même essayé leur propre petite Dalilah – Stormy Daniels – mais ils ne parviennent toujours pas à percer le secret de son pouvoir.
C’est trop évident, comme les mèches de Samson.
Donald Trump est sincèrement amoureux de son pays et cherche par-dessus tout à préserver l’exceptionnalisme américain par tous les moyens imaginables. Il ne fait aucun doute que d’autres candidats valables émergeront au cours des primaires, mais lui a déjà été mis à l’épreuve du feu.
La fin de la partie pour Samson a été épique.
Moqué par des milliers de Philistins qui faisaient la fête dans une ancienne structure si grande qu’elle pouvait contenir plus de mille personnes sur son toit, Samson a baissé la tête, paré d’une crinière renouvelée et resplendissante, et a demandé à Dieu de lui accorder une dernière fois sa grande force.
S’il en a l’occasion, Donald Trump posera sans doute ses mains sur les piliers de marbre du complexe militaro-industriel et de la bureaucratie enracinée de Washington et fera pression avec la force collective de dizaines de millions d’électeurs.
Les hommes de main de l’État profond ont senti les dalles de marbre bouger sous leurs pieds. C’est pourquoi ils détestent tant Donald Trump. Il représente une menace mortelle sans pareille pour leurs positions, leur pouvoir et leur richesse.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Townhall
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