Publié par Jean-Patrick Grumberg le 10 avril 2023
L’administration américaine a les preuves que la température des États-Unis n’a pas récemment changé, mais l’info n’est pas publique

Les températures collectées par les organismes gouvernementaux se font à partir d’un réseau de stations météorologiques « qui n’a jamais été conçu pour détecter un réchauffement planétaire ».

À ce jour, il n’existe qu’un seul réseau de stations météorologiques capables de mesurer le climat avec suffisamment de précision pour détecter pleinement un changement climatique. Il s’agit de l’U.S. Climate Reference Network (USCRN), lancé en 2005. C’est un système automatisé de pointe, conçu spécifiquement pour mesurer avec précision les tendances climatiques à la surface. Il comprend 114 stations réparties sur l’ensemble du territoire nord-américain et situées à l’écart de tout effet non climatique, tel que la chaleur urbaine causée par l’homme. Généralement, les médias ne mentionnent pas l’existence de ce réseau. Pourquoi ? Parce qu’il donne des mesures réelles, pas des évaluations résultant de modèles informatiques, et les mesures réelles risquent de contredire le narratif.

C’est ce qui vient de se produire. Le graphique de l’USCRN ci-dessus montre qu’il n’y a pas eu de tendance significative au réchauffement au cours des deux dernières décennies aux États-Unis.

Le météorologue américain Anthony Watts, qui a passé la dernière décennie à mettre en évidence les failles, erreurs, approximations et corrections des systèmes de surveillance de la température mondiale appelle au déploiement à l’échelle mondiale d’un réseau identique, et la création d’une nouvelle base de données sur le climat mondial à partir des résultats donnés par ces stations.

Pourquoi les gouvernements, l’ONU et les organismes internationaux, qui dépensent des milliards pour « mesurer », évaluer et lutter contre le réchauffement n’engagent pas cette investissement ? Parce qu’un tel réseau donnerait les chiffres réels, et qu’ils pourraient ne pas correspondre au narratif du moment.

C’est en l’absence de chiffres réels que le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a récemment lancé un appel alarmiste et appelé les pays riches à avancer l’objectif d’émissions « nettes nulles » de 2050 à 2040.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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