Publié par Guy Millière le 21 mai 2023
Dossier Durham : le plus grand scandale politique de l’histoire des Etats-Unis

Il me parait important de revenir sur ce que révèle le rapport Durham tout juste publié. Je ne traiterai pas des détails que le rapport contient, Jean-Patrick Grumberg a donné ces détails dans un excellent article. Je traiterai de ce que le rapport signifie.

Et je dirai que ce que le rapport signifie vient confirmer ce que j’ai écrit dans mon livre Après la démocratie ? dans lequel tous les détails figurent déjà, sous une forme moins feutrée que dans le rapport lui-même.

Il y a quelque chose d’absolument pourri dans le fonctionnement des institutions américaines aujourd’hui. 

Et la pourriture atteint un tel degré que la république américaine est en très grand danger.

Les Etats-Unis étant la première puissance du monde, et la puissance sans laquelle la liberté aurait très vraisemblablement déjà disparu sur la surface de la terre, c’est la liberté sur terre qui est en très grand danger.

Devenez « lecteur premium », pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !

En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.

Montant libre







De fait : une administration, l’administration Obama, aux fins de faire gagner la candidate censée succéder à Barack Obama à la Maison Blanche (Hillary Clinton), a entériné la fabrication de faux documents par la campagne de la candidate susdite, et l’usage de ces faux documents aux fins de faire accuser le candidat républicain (Donald Trump) d’être l’agent d’une puissance ennemie, et d’être donc coupable de haute trahison.

De fait : l’administration Obama a, pour ce faire, pu s’appuyer sur la complicité active de membres importants l’appareil judiciaire américain et de membres tout aussi importants la police fédérale américaine (FBI), ce qui signifie qu’elle a pu compter sur des magistrats et des policiers sans scrupules, prêts à violer les institutions de leur pays et à commettre des crimes au service d’une cause politique.

De fait : elle a pu aussi compter sur les grands médias du pays (New York Times, Washington Post, CNN, MSNBC), et sur des journalistes qui ont eux-mêmes accepté de se faire complices des crimes commis par magistrats et policiers sans scrupules.

De fait : le président des Etats-Unis, Barack Obama à l’époque, et le vice-président des Etats-Unis à l’époque, Joe Biden, ont été directement impliqués et ont été complices de crimes.

De fait : des représentants et des sénateurs du Parti Démocrate ont contribué aux crimes.

Tous les protagonistes de cette monstrueuse affaire sont Démocrates.

Lorsque j’ai écrit que le Parti Démocrate était devenu un parti non démocratique, je n’ai fait que dire la vérité. Violer ainsi les lois d’un pays démocratique pour y garder le pouvoir, être prêt pour cela à porter contre son adversaire politique des accusations qui peuvent conduire à la peine de mort (haute trahison), dénote un esprit totalement étranger aux normes minimales d’un fonctionnement démocratique.

Et lorsque j’ai écrit que le Parti Démocrate était devenu une organisation criminelle, je n’ai fait que dire la vérité, là encore. Seuls les membres d ‘une organisation criminelle peuvent commettre sans hésiter, au vu et au su de tous les autres membres de l’organisation, et avec leur assentiment, les crimes qui ont été commis.

Il y a sans doute des Démocrates qui n’ont pas l’esprit totalitaire et qui réprouvent les crimes commis, mais je dois dire qu’on ne les entend pas (à une exception près, Alan Dershowitz).

Le grand problème (je devrais dire l’immense problème) est que le Parti Démocrate est au pouvoir aux Etats Unis et y détient le pouvoir exécutif et la moitié du pouvoir législatif, que des magistrats et des policiers démocrates coupables des crimes commis sont encore en activité, et que des magistrats et des policiers démocrates qui se livrent présentement à des activités aussi criminelles que leurs prédécesseurs sont en activité.

Le grand problème (je devrais dire l’immense problème) est que le président des Etats-Unis aujourd’hui, Joe Biden, fait partie des criminels et qu’il y a d’autres criminels cités dans le rapport Durham qui font partie de l’administration au pouvoir, au plus haut niveau, John Sullivan et Antony Blinken, par exemple.

Le grand problème (je devrais dire l’immense problème) est que les criminels sont ceux qui ont conduit à l’élection frelatée de novembre 2020 et qui entendent vraisemblablement, s’ils en ont la possibilité, faire la même chose en 2024 : installer par la fraude un imposteur à la Maison Blanche.

Le grand problème (je devrais dire l’immense problème) est que les criminels et leurs complices s’efforcent présentement de saborder l’économie américaine et de changer la population par un afflux massif d’immigrants illégaux qu’ils entendent légaliser pour en faire des électeurs démocrates. Et je pourrais ajouter que quasiment tous les journalistes qui ont accepté de se faire complices des crimes décrits dans le rapport Durham sont toujours en activité et se font complices des activités criminelles des démocrates aujourd’hui.

Donald Trump fait campagne sur le thème : Saving America. Il s’agit très clairement de cela : sauver l’Amérique. Et il s’agit de bien plus que cela : sauver la démocratie et la liberté sur terre.

J’ai expliqué dans Après la démocratie ? qu’une gauche marxiste appelée “nouvelle gauche” s’est formée en 1960 aux Etats-Unis et s’est donné pour but de transformer les Etats-Unis en une dictature totalitaire qui ne dirait pas son nom. Je citais un essayiste américain, Roger Kimball, qui avait assimilé la démarche de cette gauche à une longue marche au sein de toutes les institutions américaines, aux fins de les pervertir.

Cette gauche marxiste a installé Barack Obama au pouvoir en 2008. Elle a tout fait pour éviter l’élection de Trump. Faute d’y parvenir, elle a mené un coup d’Etat rampant contre Trump pendant ses quatre années de présidence. Elle a écarté Trump de la Maison Blanche en novembre 2020 et a repris le pouvoir. Elle entend garder le pouvoir, par tous les moyens, et, comme elle le dit elle-même, “finir le travail”.

Un combat essentiel pour l’Amérique et pour le monde doit être mené, vite. Donald Trump a raison : il faut sauver l’Amérique. Et il faut sauver la démocratie et la liberté sur terre. L’élection de 2024 est absolument décisive. Il faut que ce ne soit pas à nouveau une élection volée.

Des crimes politiques ont été commis aux Etats-Unis dans le passé. Aucun n’a été aussi grave que l’ensemble des crimes sur lesquels porte le rapport Durham.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous