Publié par Dreuz Info le 31 mai 2023

Nous avions l’habitude de définir le racisme comme une discrimination visant exclusivement les Noirs et les autres minorités. Ce n’est plus suffisant.

Cette définition doit être élargie pour inclure la discrimination à l’égard des Blancs, qui est tout aussi grave que la discrimination à l’égard des Noirs, mais est totalement passée sous silence par les médias et ignorée par la gauche, dont les propagateurs font partie. Pire encore, ce que la gauche appelle “antiracisme” est en réalité un langage codé pour le racisme à l’égard des Blancs, et une attaque ciblée contre toute critique envers les minorités.

L’inquisition raciale anti-Blancs empoisonne l’Occident, et l’Amérique, en contribuant à diviser une nation déjà divisée : c’est exactement l’objectif. Selon Gallup, le pourcentage d’Américains qui estiment que les relations entre Noirs et Blancs sont bonnes n’a jamais été aussi bas depuis 20 ans.

Un célèbre professeur d’université noir a déclaré :

“Nous devons exterminer les Blancs de la surface de la planète”.

De telles déclarations racistes auraient été impensables il y a 20 ans, mais aujourd’hui, la destruction des Blancs est devenue un élément acceptable de la vie américaine. De plus, aucun média de gauche n’a été choqué par ces propos.

Les Blancs sont diabolisés, marginalisés, stéréotypés, dénigrés déshumanisés et “canceled” à tout bout de champ. Nous en sommes arrivés à un point où personne n’aime les Blancs. Même les Blancs n’aiment plus les Blancs, pas seulement les personnes de couleur. La chasse aux Blancs est ouverte et, aussi étrange que cela puisse paraître, une grande partie de la population blanche est tout à fait d’accord avec ça ! De nombreux Blancs crédules ont honte d’être blancs et s’excusent dès qu’ils en ont l’occasion : souvenez-vous de cette vague de vidéos, sur les réseaux sociaux, où l’ont voyait des Blancs s’agenouiller pour dire pardon à des Noirs !

Les Blancs subissent un lavage de cerveau qui les pousse à se haïr et beaucoup capitulent. Personne ne veut être traité de “raciste”. C’est pourquoi des idiots Blancs capitulent devant les voyous de Black Lives Matter, qui veulent que les Blancs fassent une génuflexion devant les Noirs.

Les génuflexions de masses de Blancs sont identiques aux scènes de la révolution culturelle chinoise, où les victimes étaient forcées d’admettre divers crimes devant une foule de personnes qui les maltraitaient verbalement et physiquement : même idéologie totalitaire.

Les formations à la diversité, telles que les programmes parrainés par la ville de Seattle et la société Coca-Cola, exigent généralement que tous les employés blancs “se défassent de leur blancheur”. Ces formations populaires sont devenues une industrie de plusieurs milliards de dollars. Non seulement elles n’ont pas réussi à créer plus de diversité, mais leur objectif réel est la suppression des Blancs. Il s’agit d’endoctrinement racial, et non de diversité. Si l’on demandait aux Noirs de “se défaire de leur négritude”, les émeutes dureraient des semaines.

La population blanche n’est pas reconnue pour ses contributions. Les hommes blancs ont fondé notre république. Ils ont mis fin à l’esclavage. Les Blancs sont en grande partie responsables du commerce quotidien qui nous permet de manger et de nous vêtir. Qu’on le veuille ou non, les Blancs sont le moteur de notre pays. Leur bilan n’est pas parfait, mais leurs valeurs constituent un modèle pour le monde entier. Avec la législation sur les droits civiques des années 1960, les Blancs ont permis aux Noirs et aux autres minorités de devenir des partenaires à part entière du rêve américain. Le “pouvoir des Blancs” était incontesté jusqu’à cette époque, mais ils y ont renoncé volontairement et unilatéralement. Personne ne les a forcés à agir de la sorte. Ils ont agi parce que c’était la bonne chose à faire. Que reçoivent-ils en retour ? Le mépris, la haine et l’intolérance.

Selon le commentateur politique Ben Shapiro, la gauche veut dépeindre l’Amérique comme “une masse incurable de Blancs bigots”. Colin Flaherty, dans Don’t Make the Black Kids Angry, appelle cela “le grand mensonge : la guerre contre les Noirs et la façon dont les Blancs racistes la mènent. C’est le plus grand mensonge de notre génération”. Le président Biden a adhéré à ce mensonge lorsqu’il a déclaré que la suprématie blanche était la principale menace pour la nation. Stephen Miller, ancien collaborateur de Trump, a accusé M. Biden de “racisme contre les Blancs” et de “bigoterie antiblanche”.

Joe Biden a contribué à la guerre contre les Blancs avec son dernier décret sur l’équité, une tentative de remplacer la croyance de l’Amérique en l’égalité par une politique illégale qui met l’accent sur la couleur de la peau plutôt que sur le mérite dans l’embauche des fonctionnaires. La politique de M. Biden garantira que tous les nouveaux employés fédéraux seront sélectionnés sur la base de leur couleur de peau afin de donner la préférence aux non-Blancs. La plupart des Américains n’en sont pas conscients car les médias ne parlent pas de la politique anti-blancs de M. Biden.

Stephen Miller demande : “Depuis quand le racisme envers les Blancs est-il acceptable ?” Tout a commencé avec Barack Obama. Les différents groupes raciaux et ethniques s’entendaient bien jusqu’en 2008. Puis Obama est arrivé et la division raciale a été réintroduite dans la vie américaine. Au lieu de reconnaître l’importance d’avoir un président noir (dont la mère était blanche, mais personne ne semble intéressé à le rappeler), les États-Unis sont en proie à une épidémie de conflits raciaux. Les déclarations incendiaires d’Obama, l’une après l’autre, ont attisé l’animosité entre les races. Les accusations de privilège et de suprématie de la race blanche monopolisent depuis lors notre discours civil.

La haine anti-blanc est une conséquence de la préoccupation de la gauche pour sa version pervertie de la “diversité”, où les Américains sont divisés entre les oppresseurs présumés – les hommes blancs, hétérosexuels et chrétiens – et les groupes de minorités et de femmes qui sont les victimes de ces oppresseurs. Les groupes minoritaires sont censés avoir besoin de protection parce qu’ils sont opprimés par la majorité blanche. Oppresseur et victime. “C’est le vieux vin marxiste dans de nouvelles bouteilles”, déclare David Horowitz dans Big Agenda, “et les résultats ne peuvent qu’être similaires”.

Faisant preuve de mépris pour un demi-siècle de tolérance raciale éclairée, les Démocrates – avec le soutien des universités et des médias – tentent de diviser l’Amérique selon des critères raciaux. Les progressistes et les Démocrates, explique David Horowitz dans The Enemy Within, pensent que “ce qui ne va pas en Amérique, c’est qu’il y a trop d’hommes blancs qui occupent des postes de pouvoir et d’influence et qui, soi-disant, maintiennent à leur place les minorités diverses, marginalisées et mal desservies”. C’était peut-être vrai en 1950, mais aujourd’hui, les employeurs se bousculent pour embaucher et promouvoir des travailleurs issus des minorités.

L’argument selon lequel les États-Unis souffrent de racisme systémique et de privilèges blancs est un mythe inventé pour diaboliser les Blancs et attiser les divisions raciales. De nombreux penseurs noirs de premier plan – Thomas Sowell, Shelby Steele, Bob Woodson, Candace Owens, Larry Elder – s’accordent à dire que le racisme systémique n’existe plus aux États-Unis. Des cas individuels de racisme se produisent et se produiront toujours – contre les Noirs et les Blancs – mais suggérer que le racisme est institutionnalisé, c’est ignorer les changements qui se sont produits au cours des 60 dernières années. Le racisme institutionnel blanc appartient au passé.

Nous avons plus que jamais besoin d’unir le pays, mais de larges pans de notre population font tout ce qu’ils peuvent pour marginaliser les Blancs en les considérant comme une classe oppressive. En tant qu’homme blanc qui n’a opprimé personne, je suis consterné par l’inquisition dont les Blancs font l’objet et j’espère que nous pourrons y mettre bon ordre avant de nous retrouver avec une nation remplie de névrosés raciaux.

Traduit et augmenté depuis un article paru sur Townhall : https://townhall.com/columnists/edbrodow/2023/05/29/rise-of-the-war-on-white-people-n2623800

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous