
Comme @PatrickStrud m’a bloqué ici (à ma connaissance, nous n’avons jamais interagi sur Twitter ou ailleurs), je ne peux pas l’interpeller directement sur l’affirmation qu’il a publiée dans iNews (voir ci-dessous) selon laquelle un événement Let Women Speak en Australie “a mis en scène un salut nazi de masse”. Il s’agit d’un mensonge si effronté, si facilement réfutable et si diffamatoire que je m’étonne qu’il ait pu être publié par une source d’information soi-disant réputée.
Depuis des années, les femmes et les homosexuels préoccupés par l’érosion de leurs droits, le démantèlement des mesures de protection et l’escalade des menaces et de la violence à l’encontre des activistes transgenres sont traités de “fascistes” et de “nazis” par des gens comme Strudwick pour avoir défendu des positions politiques qui, il y a encore cinq minutes, étaient solidement ancrées à gauche et dans le féminisme.
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Personne, à part les idiots utiles, ne peut être réellement surpris que de VRAIS fascistes aient repéré une glorieuse opportunité dans le militantisme trans. L’extrême droite homophobe et antiféministe soutient depuis longtemps que la gauche est dégénérée, stupide, immorale et autoritaire, et elle peut désormais montrer du doigt les arguments incohérents des idéologues du genre, les tactiques d’intimidation des “no-platformers” et les nuées d’hommes masqués menaçant de violence les femmes qui veulent conserver des espaces non mixtes, et clamer haut et fort “nous vous l’avions bien dit”.
De véritables nazis sont apparus en marge des événements “Let Women Speak” pour exactement la même raison que les activistes trans agressifs et narcissiques. Ces groupes se ressemblent beaucoup. Tous deux sont remplis d’opportunistes misogynes qui profitent d’un conflit de droits pour faire avancer leurs propres programmes, tous deux sont là dans l’espoir d’une violence, et aucun ne se soucie des femmes qui sont là pour parler de leur propre voix, de leur propre vie, en leur propre nom. Il est grand temps que ceux qui colportent des mensonges comme ceux de Strudwick soient tenus de rendre des comptes et j’espère sincèrement que @ThePosieParker prendra des mesures.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Gaïa pour Dreuz.info.
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J.K. Rowling se positionne toujours avec vigueur pour défendre les femmes et dénoncer l’extrémisme trans qui s’attaque à leurs droits. Parmi la nuée d’acteurs qu’elle a rendus célèbres (ou qui l’étaient mais dont elle a encore accru la notoriété), ça m’amuse de constater que ceux qui jouaient le trio des héros de sa saga se sont retournés contre elle, tandis que ses soutiens (ou du moins ceux qui ont l’élégance de déclarer qu’il ne leur revient pas de l’attaquer) avaient essentiellement les rôles des “méchants”. En partie, c’est une question de génération, la plupart des “méchants” étant plus âgés et plus connus auparavant, mais pas que. Le vilain “Draco” (Tom Felton) a aussi été correct. Mais il paraît que l’acteur se faisait maltraiter à l’école parce que les élèves le confondaient avec son rôle (hallucinant !) Bref, pour oser aller à l’encontre du politiquement correct, il ne faut pas ou plus avoir peur de déplaire, parce qu’on est déjà catalogué.