Publié par Magali Marc le 18 mai 2023

Alors que la publication lundi 15 mai du Rapport Durham a démenti toutes les facettes de l’allégation de collusion de Donald Trump avec la Russie et a prouvé que toute cette affaire était une campagne de diffamation à motivation politique inventée par Hillary Clinton, avec la bénédiction de Barack Obama et la collaboration du FBI, de nombreux appels ont été lancés pour que les organes de presse gauchistes rendent les prix Pulitzer que leurs reportages à ce sujet leur ont valu. Mais le New York Times et le Washington Post refusent de rendre les prix Pulitzer, reçus pour avoir propagé le mensonge selon lequel l’ex-Président Trump s’était associé à la Russie pour remporter l’élection présidentielle de 2016. John Nolte (de Breitbart) pense que depuis le début, ces entreprises de presse savaient qu’il s’agissait d’un canular. Les grands médias savaient que le FBI leur mentait et voulaient que le FBI leur mente.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de David Zukerman, paru sur le site d’American Thinker, le 17 mai.

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Ce que vaut réellement le rapport Durham

Bravo au Washington Times pour son article du 16 mai suggérant l’annulation des prix Pulitzer décernés au New York Times et au Washington Post pour avoir publié des reportages concernant la prétendue collusion de Donald Trump avec la Russie. Voici la description des reportages nationaux qui ont reçu des prix Pulitzer en 2018, par les responsables de Pulitzer :

Aux équipes du New York Times et du Washington Post

Pour une couverture profondément sourcée, rapportée sans relâche dans l’intérêt public qui a considérablement fait progresser la compréhension de la nation de l’ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016 et de ses liens avec la campagne Trump, l’équipe de transition du président élu et son éventuelle administration. (L’article du New York Times, soumis dans cette catégorie, a été retenu par le conseil d’administration et s’est vu décerner le prix conjointement).

« Une couverture sourcée et implacable dans l’intérêt du public » ?

C’est du délire.

Comparez cette fabrication de Pulitzer à un bref extrait du Rapport Durham, cité par The Hill :

« Les faits objectifs montrent que la gestion par le FBI d’aspects importants de l’affaire Crossfire Hurricane a été gravement déficiente », écrit M. Durham, qui affirme que le bureau s’est appuyé sur des “renseignements bruts, non analysés et non corroborés.

L’avocat spécial, John Durham a conclu que le FBI « s’est appuyé sur des renseignements bruts, non analysés et non corroborés ». Le Washington Post et le New York Times osent-ils prétendre qu’ils sont allés au-delà de l’empressement du FBI à discréditer la campagne présidentielle de Trump en 2016 pour des raisons politiques ?

Il est intéressant de noter que le compte rendu du Rapport Durham publié dans le Times du 16 mai omet le terme “non corroboré”, lancé par l’avocat spécial comme une lance dans le cœur du FBI – et de ceux qui ont avalé avec empressement le mensonge désormais connu sous le nom de “canular russe”.

Compte tenu de la définition de « non corroboré », je ne doute pas que le Times a évité ces termes comme un vampire évite la lumière du soleil : « non confirmé ou étayé par d’autres preuves ou informations ». C’est le verdict du Rapport Durham concernant l’aide apportée par le FBI à la campagne d’Hillary Clinton. Vraisemblablement, ce verdict s’applique aux prix Pulitzer bidons remis au Times et au Washington Post pour leur service dans la tentative de démolir la présidence de Donald Trump.

N’oublions pas que le FBI aurait offert un million de dollars à Christopher Steele s’il pouvait corroborer son dossier sur M. Trump, dossier financé par Hillary Clinton. M. Steele n’a pas saisi sa chance d’obtenir un million de dollars.

À la mi-octobre 2016, le FBI aurait dû savoir que l’opération Crossfire Hurricane – l’opération visant à écraser Trump – était une opération de désinformation démocrate. Mais ils n’ont pas voulu laisser passer la chance d’aider Hillary à devenir présidente.

La vérité c’est que l’opération Crossfire Hurricane était un exemple de projection politique au énième degré – les méchants n’étant pas les Russes, mais les zélateurs gauchistes du renseignement américain.

Le Times affirme que John Durham n’a pas réussi à faire des “révélations fracassantes”.

Mais comment les auteurs du “canular russe” peuvent-ils répondre de manière convaincante à des questions fondées sur les conclusions du Rapport ?

Comment, pour donner un exemple, le déshonoré Adam Schiff peut-il défendre son affirmation sur la collusion russe telle qu’elle a été rapportée par Politico il y a quatre ans, à savoir que les preuves étaient « visibles pour tous » ?

Autre exemple, comment Nicholas Kristof peut-il aujourd’hui corroborer sa chronique de décembre 2016 dans laquelle il ridiculise le Président élu Donald Trump, le surnommant “le caniche des Russes” ?

Il ne le peut pas, bien sûr, sauf à continuer à porter un faux témoignage.

Mais c’est là le véritable enjeu du Rapport Durham, en l’absence de “révélations fracassantes”. Le Rapport Durham est un livre blanc destiné au peuple américain, qui présente les preuves que la cabale visant à saper et à détruire Donald J. Trump est formée par une bande de menteurs déterminés à transformer le pays à leur propre image.

Il appartient maintenant aux Républicains de la Chambre des représentants d’utiliser le rapport du conseiller spécial John Durham comme guide de travail pour chasser ces coquins de ce qu’ils prétendent être leur habitat naturel : Washington, D.C.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

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