
L’acceptation des gays et des lesbiennes par le grand public a été ramenée au moins 50 ans en arrière, à la suite des gay pride et des travestis qu’on exhibe un peu partout à la télévision, à Disneyland, en faisant croire qu’il s’agit de “transsexuels”.
Hannah Jarrett, 41 ans, mère de quatre enfants, mortifiée à la vue de 17 hommes bronzés et huilés faisant des cabrioles en bretelles sur un char en forme d’énorme phallus : “J’ai toujours pensé que les gays étaient des gens normaux, comme vous et moi, et que le stéréotype des homosexuels présentés comme des déviants et obsédés sexuels n’était qu’un mythe. Comme j’avais tort”.
Le dernier défilé organisé par la Los Angeles Gay And Lesbian And Bisexual And Transvestite And Transgender Alliance (LAGALABATATA), avait pour but de “promouvoir l’acceptation, la tolérance et l’égalité pour la communauté gay de la ville”. Et c’est un fiasco total. C’est tout le contraire qui a été accompli, car l’événement a confirmé certains préjugés de milliers de personnes non gay : ils ont affiché une image de débauche qui a confirmé les propos hostiles et les attaques contre les homosexuels.
Parmi les images et les sons du défilé qui ont fait un tort inestimable aux homosexuels :
- un groupe de femmes obèses en tenue de motardes en cuir distribuant des sucettes en forme de clitoris à des spectateurs horrifiés ;
- un homme en uniforme militaire tenant en laisse un masochiste soumis, vêtu de couches et d’un bonnet de bébé ;
- plusieurs danseurs hispaniques portant des perruques arc-en-ciel et des minijupes faisant des mouvements de “masturbation” sur un mannequin déguisé en pape ;
- Une douzaine de drag-queens en robes transparentes tenant des bouteilles de bière en forme de pénis qui semblaient cracher de la mousse semblable à de l’éjaculation, qui était ensuite déversée sur les passants.
Mais ces images reflètent en fait une réalité que les homosexuels cachaient, et, sentant qu’ils ont le vent en poupe et que les médias font un travail remarquable de promotion de l’homosexualité, des opérations de chirurgie pour “changer” de sexe pour les enfants, ils ont tombé le masque. Et le public a tout vu.
- Timothy Orosco, 51 ans, gérant d’un supermarché Walgreens sur le parcours du défilé, a exprimé à quel point il était horrifié par la provocation et ce qu’il a vu :
“Ils n’arrêtaient pas de scander des choses comme ‘Nous sommes là, nous sommes des pédés, il va falloir vous y habituer !”, ou encore ‘Hé, hé, nous sommes gay, nous n’allons pas disparaître !”, a déclaré Orosco.
“Tout ce que je peux dire, c’est que je m’y étais habitué, mais maintenant, même si je n’avais jamais ressenti cela auparavant, j’aimerais qu’ils s’en aillent.”
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- Allison Weber, 43 ans, consultante en marketing à El Segundo, a également changé d’avis alors qu’elle était jusque là très bienveillante envers eux :
“J’avais cru comprendre que les gays étaient comme tout le monde – des gens décents, qui travaillent dur, qui se soucient de leur communauté et qui ont des relations amoureuses et engagées”, a déclaré Weber. “Mais, après ce spectacle terrifiant, je ne veux pas qu’ils enseignent à mes enfants ou qu’ils vivent dans mon quartier”.
L’image négative de ce défilé a dépassé les frontières de Los Angeles.
- Des images ont été diffusées dans l’émission The 700 Club comme “preuve du monde imprégné de péché qu’est l’homosexualité”.
- Une série de photos est parue dans USA Today de lundi et a évoqué les exhibitions vulgaires – que les gays considèrent comme leur “fierté” – qui ont horrifié des personnes auparavant tolérantes.
Les organisateurs de la parade ont compris la leçon, et ils vont désormais garder leurs choix pour la sphère privée, suite à la réaction négative des gens normaux.
Tout ceci est intéressant, car cela rejoint ma position sur le sujet : j’ai des amis homosexuels, des gens formidables, je n’ai strictement rien contre l’homosexualité si cela ne m’est pas jeté au visage, et je respecte ce que les adultes consentants décident de faire dans leur sphère privée – pas en public. Je n’ai jamais aimé, en revanche, voir des gens efféminés qui se conduisent comme des “folles”.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Bonjour Mr Grumberg,
Je suis un peu surpris car je pensais que ce genre de défilé éminemment vulgaire s’était déjà montré à maintes reprises et donc que la population ne devrait pas être étonnée.
Ne prenez-vous pas finalement vos désirs pour des réalités ?
Quoi qu’il en soit, si tout cela retourne dans la sphère privée, les gens oublieront bien vite, d’autant que la propagande, elle, continuera à plein régime !
Que l’on regarde cette photo (du haut de l’article) et qu’on ose me dire que ce ne sont pas une minorité de dégénérés congénitaux et des dépravés obscènes . Ces “choses” sont la perversion d’une société qui glisse inexorablement vers les égouts . C’est cette image que l’on se doit de montrer à nos petits enfants ? Ils sont un outrage à la société .
La question que vous posez sur la frontière entre le privé et le public est intéressante. Je me trompe peut-être dans ma vision des choses mais j’ai le sentiment que l’homosexualité ne peut pas survivre si elle n’est pas étalée dans le domaine public, avec toute l’outrance qui s’y rattache. On pourrait m’objecter qu’elle a toujours existé et survécu dans l’ombre, parce que persécutée, mais dans ce cas, elle était alors perçue comme honteuse, indigne et finalement, dissuadait beaucoup d’y donner libre cours car le prix de l’anonymat (et de la dénonciation) était trop lourd à payer. Aussi, quand elle est matraquée dès le plus jeune âge et revendiquée comme du plaisir sans entrave et infini, à la vue de tous, elle peut s’épanouir plus facilement et recruter ses adeptes sans gêne. Tout cela vient s’ajouter au phénomène de déconstruction woke et de refus de la société hétéronormée, qui est un phénomène politique et civilisationnel. Mais en dehors de cet aspect-là, il y a bien, d’après moi, une tentation impudique intrinsèque à l’homosexualité afin de conjurer le péché d’anormalité/amoralité qui s’y rattache.
…et surtout de conjurer la honte qui s’y rattache, d’où la fierté surjouée, qui ne dupe personne.
En France notre ministre de l’éducation fait des siennes
Depuis des mois, Pap Ndiaye met la pression sur les établissements scolaires pour que tous les élèves de France se voient dispenser des heures d’éducation à la sexualité.
Cette semaine, Pap Ndiaye est passé à la vitesse supérieure.
Il a carrément saisi le Conseil Supérieur des Programmes, le sommant d’élaborer des programmes d’éducation à la sexualité pour chaque niveau !
Trop, c’est trop !
Le ministre de l’Éducation nationale met l’éducation au plaisir sexuel au même niveau que l’enseignement des mathématiques et du français.
On aura vraiment tout vu…
SOS Education a immédiatement réagi.
L’association SOS Éducation a exposé la situation directement au président du Conseil supérieur des programmes, Monsieur Mark Sherringham.
La lettre de 7 pages pour ceux que ça intéressent à cette adresse : https://soseducation.org/docs/mobilisations/education-sexualite/courrier-csp-06-2023.pdf