
Des sondages récents indiquent que non seulement Donald Trump domine le flot de candidatures des primaires du GOP, mais qu’il serait aussi en position de remporter l’élection à la présidence de 2024 contre Joe Biden. Mais ce qui inquiète ceux qui souhaitent sa réélection, c’est la fraude électorale massive pratiquée par les Démocrates en 2020 et en 2022 avec l’aide de certaines entreprises et de leurs alliés dans les médias. Jay Valentine, un collaborateur d’American Thinker, qui a dirigé une équipe de détection des fraudes électorales notamment en Arizona, décrit dans l’article ci-dessous, comment Donald Trump pourrait surmonter cette difficulté.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Jay Valentine, paru sur le site d’American Thinker, le 14 juin.
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Une émission de téléréalité en 2024 pourra faire exploser la fraude électorale gauchiste
Nous avons déjà mentionné la façon dont les données pour les six États charnières montrent suffisamment de fraude électorale (la commission électorale est dans le coup) et de fantômes pour surmonter toute majorité probable des votes en faveur de Donald Trump.
Les événements qui s’accumulent indiquent que les gauchistes pourraient (sans le vouloir) aider Donald Trump à franchir leur pare-feu anti-fraude.
Dans chaque État indécis, il y a entre 200 000 et 400 000 électeurs fantômes ou adresses, ou les deux, bloqués dans les listes électorales. Trois années de travail bénévole sur l’intégrité des élections n’ont guère permis de réduire ces chiffres.
Des dizaines de milliers d’électeurs fantômes ont été découverts, mais peu d’entre eux ont été supprimés.
Peu de choses ont été faites pour empêcher les fonctionnaires des comtés ou des États d’augmenter les données des listes électorales afin de favoriser les candidats de gauche. À l’heure actuelle, il est peu probable que Donald Trump remporte suffisamment de voix dans un État en mutation pour surmonter la masse de faux bulletins de vote que les gauchistes et les RINO de chaque État ont préparée contre lui.
L’histoire regorge de mouvements surgis de nulle part qui ont modifié la trajectoire politique de pays, voire d’empires.
Certains sont meilleurs que d’autres, mais tous partagent la caractéristique d’un leader convaincant et charismatique qui cristallise des griefs qui couvent depuis longtemps, propulsant l’action non seulement des activistes, mais aussi des indécis.
Que l’on soit favorable ou non à M. Trump, on doit reconnaître qu’il a créé un tel mouvement – MAGA – une coalition émergente susceptible d’être l’entité déterminante pour les candidats républicains dans les années à venir.
Mais ce sont justement les “années à venir” qui inquiètent de nombreuses personnes.La contradiction inhérente à la candidature de Donald Trump est de ne servir qu’un seul mandat.
- La bonne nouvelle, c’est qu’il n’est redevable à personne, qu’il a une dernière chance, qu’il est plutôt mécontent de la manière dont il a été traité et qu’il est le type qui s’occupera des affaires – probablement de manière brutale.
- L’inconvénient, c’est qu’après lui, l’Amérique se retrouvera avec les mêmes créatures insidieuses du marais qui déferont tout ce qu’il aura réussi à mettre en place.
Peu de membres du mouvement MAGA pensent que Ted Cruz, Tom Cotton, ou Marco Rubio ou d’autres pourraient être élus. S’ils l’étaient, ils s’abstiendraient de nettoyer le marécage, car ils seraient aspirés par sa force gravitationnelle.
Donald Trump ne peut faire qu’un seul mandat et sera probablement bloqué par la bureaucratie et les tribunaux. Les changements fondamentaux qu’il fera pourraient rapidement disparaître.
Ou peut-être pas.
Les Américains regardent des écrans toute la journée – des écrans d’ordinateur, des téléphones, et même des écrans avec des publicités pendant qu’ils font le plein d’essence.
Les candidats qui amplifient leur message via un écran sont fondamentalement différents de ceux qui, dans un bureau poussiéreux de gouverneur ou une chambre de sénateur, parlent sans fin de…on ne sait quoi mais qui s’en soucie ?
Qu’on l’aime ou non, Donald Trump contrôle l’ensemble du complexe médiatique. Aucune personne dans l’histoire, et certainement aucun candidat, n’a jamais dominé les médias comme Donald Trump.
Qu’il soit positif ou négatif, il possède l’écran, et personne ne peut y changer quoi que ce soit. Il n’est pas le seul dans ce cas.
Kari Lake et Tucker Carlson partagent les mêmes qualités – appelons cela du talent – dans une sphère différente.
M.Carlson et Mme Lake ont un don qui ne s’enseigne pas, qui ne se transmet pas par le coaching – une capacité à contrôler le message et à susciter l’enthousiasme, à faire changer les mentalités – inégalé par leurs pairs.
Leur capacité unique à contrôler l’écran, et donc le narratif, comme M. Trump, a fait d’eux les cibles qu’ils sont devenus.
- M. Carlson est en passe de perturber l’ensemble de l’industrie de l’information par câble – un seul homme – avec quelques copains, dans le Maine, générant plus de vues sur Twitter que l’ensemble de l’industrie du câble au cours de la même période – multiplié par 10. Et ce, gratuitement !
- Mme Kari Lake n’a pas seulement remporté l’élection de gouverneur en Arizona, elle l’a probablement emporté avec 5 à 7 points d’avance.
La personnalité de Kari Lake était si dérangeante que la bureaucratie élue de l’Arizona a eu recours à de multiples niveaux de fraude afin de la contrecarrer.
Nous l’avons vu dans l’analyse des données en temps réel des listes électorales des comtés.
Le soutien négligeable que Mme Lake a reçu de la part de l’Establishment républicain a confirmé non pas qu’elle est une perdante – elle ne l’est pas – mais qu’elle constitue une menace permanente.
Les événements indiquent que l’Amérique entre peut-être dans une ère post-politique, où des communicateurs au talent spectaculaire – Donald Trump ex-animateur de l’émission de télé-réalité The Apprentice; Kari Lake, présentatrice du journal télévisé devenue animatrice nationale; Tucker Carlson [ex-animateur populaire de Fox News ] qui perturbe l’infrastructure du câble – peuvent vaincre la domination de la gauche sur les médias, les entreprises, l’éducation et la culture.
Peut-être que le fait d’avoir un leader en qui vous pouvez avoir confiance car il ne va pas vous trahir devient plus important que l’expérience.
En effet, l’expérience, c’est ce que possède Joe Biden, qui a été sénateur avant la naissance de 45 % de la population américaine.
M. Biden, c’est l’expérience écrite en grand – dans la démence – à la télévision chaque semaine.
Mais la fraude électorale institutionnelle a des limites.
Ces limites sont quantifiables : nous savons combien de votes et d’adresses fantômes existent dans chaque État en transition.
Nous pouvons pratiquement quantifier, grâce à la base de données des bulletins non distribuables, chaque endroit, dans n’importe quel comté d’Amérique, où un bulletin de vote sera envoyé en 2024 sans qu’il n’y ait de destinataire légitime.
La fraude électorale institutionnelle a été conçue pour les élections et la technologie de l’ère 2008.
Les listes électorales cachent les interférences des bureaux d’enregistrement des comtés, comme les changements d’adresse (en Arizona) ou l’ajout d’une fausse rue (en Floride), parce que personne n’avait de visibilité en temps réel sur ces listes.
Aujourd’hui, ils l’ont.
Les Républicains, ou d’autres insurgés comme RFK Jr, peuvent être amenés à perdre par moins de 1 % à peu près à chaque fois que les commissions électorales choisissent de jouer quelques unes de leurs cartes.
Le système est toutefois bloqué dès qu’un candidat gagne avec un écart de 5 % ou plus.
Au-delà de 5 %, les choses deviennent visibles, et donc gênantes.
C’est ce qui s’est passé lors de l’élection de Kari Lake :
- Des signatures qui ne correspondaient pas du tout, à moins que le signataire ne soit sous l’emprise de drogues hallucinantes.
- Des imprimantes devenues folles avec de fausses instructions pour ne pas travailler sur le bon format de bulletin.
- Plus toutes les erreurs de données que notre équipe a trouvées.
Cela peut arriver au niveau d’un État, une fois.
Mais il sera difficile, maintenant que Mme Lake l’a rendu douloureusement visible, de le refaire, en particulier en 2024.
Si l’insurgé gagne par une grande marge, l’infrastructure de fraude électorale s’effondre.
Il faut arrêter l’appareil électoral vers 23 heures parce que les lignes de tendance montrent qu’il n’y a pas assez de bulletins de vote pour compenser les marges croissantes.
Un camion blanc doit livrer plus de bulletins de vote tandis que des équipes installent des cartons le long des fenêtres pour que personne ne puisse voir ce qui se passe.
Ça vous rappelle quelque chose ?
En 2024, des centaines, voire des milliers de citoyens chercheront des camions blancs au milieu de la nuit à Détroit.
Qu’est-ce qui permettra à Donald Trump de dépasser la ligne de gel de la fraude dans les États en transition ?
Peut-être Kari Lake et Tucker Carlson.
M. Trump est un grand communicateur, avec un côté tranchant, des coudes aiguisés, que ses partisans adorent.
Kari Lake est tout aussi douée, mais sans le côté tranchant.
Elle est capable de faire une transplantation cardiaque impromptue sur un journaliste gauchiste sans faire couler de sang. Elle n’a pas besoin d’être gouverneur ou sénateur.
Elle est déjà plus importante que l’un ou l’autre.
Elle est une figure nationale, que cela plaise ou non aux RINOs, et elle ne disparaîtra pas comme un génie dans sa bouteille.
Si M. Trump la choisissait comme vice-présidente, les barrières de la fraude électorale pourraient être franchies.
Nous ne faisons pas de prévisions politiques, mais nous voyons ce que l’enthousiasme fait aux chiffres.
Mme Lake est l’enthousiasme incarné, mais pour une circonscription différente.
Tout le monde sait ce que Donald Trump va dire. Le monde MAGA adore l’entendre le dire.
Kari Lake, en revanche, fait parler d’elle, fait du bruit, change les esprits – en particulier chez les générations X et Y.
Elle peut emmener M. Trump là où il ne pourrait pas aller sans elle.
Bien sûr, un Tim Scott peut cocher la case indicible où se trouve “Trump le raciste” – mais personne, littéralement personne ne changera d’avis sur Donald Trump à cause de Tim Scott.
M. Trump serait toujours un raciste même avec un Noir comme vice-président.
Kari Lake, cependant, étend l’équation de Trump à 12 ans.
Elle raconte de manière convaincante une nouvelle histoire sur un vieux problème : le marécage et ce qu’il lui a fait – ainsi qu’aux électeurs de l’Arizona.
Elle rend l’élection de 2024 infiniment divertissante – tout comme M. Trump – et donc regardable.
M. Trump et Mme Lake obligent les médias à les couvrir – parce qu’ils sont la chose la plus chaude sur tous les écrans.
Tucker Carlson, lâché sur Twitter, se bat contre les avocats de Fox – et nous avons un drame de télé-réalité en cours, fait pour l’écran de téléphone – sur les écrans 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
C’est peut-être justement l’émission de télé-réalité qui fera exploser l’infrastructure gauchiste de la fraude électorale.
* Jay Valentine a dirigé l’équipe qui a construit le moteur de détection des fraudes d’eBay et la liste des personnes interdites de vol de la TSA. Son équipe a créé la base de données des bulletins de vote non distribuables, qui identifie l’endroit où chaque bulletin ira en 2024 et ne trouvera PAS son destinataire légitime.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : American Thinker
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Magali,
Vous nous apportez la traduction d’un article illustrant un contexte électoral ‘névrotique’ pour ne pas dire kafkaien, très éloigné des conditions (plus rassurantes) dans lesquelles nos consultations électorales se déroulent en France , heureusement.
Bonne soirée
Pas compris l’article….
A la base, l’article dit que Trump peut gagner s’il prend Keri Lake comme vice-président, parce que Keri Lake est un Trump en jupons : elle est très forte en com, sait galvaniser les foules.
Je ne suis pas convaincue non plus. Si les problèmes de fraude ne sont pas résolus, on aura un remake de 2020.
OK merci. Mais c’est quoi cette histoire de télé réalité ? L’article commence mal, en disant que rien n’a été fait contre les fausses adresses.
Effectivement, c’est assez boîteux.
Trump a animé longtemps une émission de télé-réalité, the Apprentice. L’auteur de l’article veut dire que Trump et Lake savent animer des émissions et les rendre ludiques, et qu’ils pourraient se servir de cet atout pour contrer les fraudes.
Il est vrai que peu d’états ont nettoyé les listes électorales, et c’est aussi comme ça que les Démocrates peuvent tricher. Peut-être… Pour tricher comme ça, il faut savoir que M. Dupont, inscrit à tel endroit, a déménagé, et prendre sa place. Pas évident.
Bonjour Fleur de Lys,
Ce que je retiens de cet article un peu technique que j’ai traduit c’est que l’auteur a fait une analyse des données en temps réel des listes électorales en Arizona.
Selon lui, la fraude électorale institutionnelle a des limites.
Elle a été conçue pour les élections et la technologie de l’ère 2008.
Les listes électorales cachent les interférences des bureaux d’enregistrement des comtés. Personne n’avait de visibilité en temps réel sur ces listes, sauf que maintenant, la plupart des Américains avec leur smartphone sont capables de voir ces interférences.
Si les candidats jugés indésirables par les fraudeurs peuvent être amenés à perdre par moins de 1 %, le système est bloqué dès qu’un candidat gagne avec un écart de 5 % ou plus. Au-delà de 5 %, les choses deviennent visibles, et donc gênantes.
Donc grâce à leur visibilité médiatique, Donald Trump, Kari Lake et Tucker Carlson seront en mesure d’alerter les électeurs sympathisants dans les États charnières afin d’empêcher la fraude électorale.
Bonjour Magali, merci pour l’explication. J’en déduits donc que les 5 ou 6 États charnières vont encore tricher sans crainte ; et que face à cela, des méthodes empiriques sont à l’œuvre comme espérer plus de 5% d’écart pour rendre la fraude visible ou compliquée… Triste !
Bonjour Fleur de Lys,
Comme l’auteur de l’article, je suis plus optimiste que vous. Là où il y a de la fraude, elle s’effectue au niveau du comptage des bulletins. Elle se joue État par État. Elle est donc difficile à contrer. Sauf que cette fois, les républicains alliés de Trump vont être plus vigilants et prêts à intervenir en temps réel plutôt que de se plaindre après coup qu’il y a eu fraude! N’oubliez pas qu’en 2020, Donald Trump ne pouvait pas contrôler ce qui se passait dans les États à partir de la Maison Blanche! De plus, il a été trahi par Bill Barr (son DOJ!) qui a fait taire les gouverneurs qui l’appelaient pour dénoncer les irrégularités et maintient encore aujourd’hui qu’en dépit de certaines irrégularités il n’y a pas eu de fraude suffisante pour changer le résultat des élections! Avec les RINOs de l’Establishment (McConnell et Cie), Bill Barr ne voulait pas que Trump soit réélu. Encore aujourd’hui, il prétend que Donald Trump est «cuit» à cause de l’inculpation récente, alors que d’autres avocats disent que les accusations ne tiennent pas la route … Ce que l’auteur de l’article souligne c’est qu’à présent Trump a des alliés qu’il n’avait pas en 2020.