
Un groupe d’adorables enfants musulmans a piétiné le “drapeau de la fierté LGBTQIP2SAA+” vendredi lors d’une manifestation à Ottawa, au Canada.
Publier une vidéo d’enfants musulmans piétinant le drapeau américain serait considéré comme “islamophobe”. Publier une vidéo d’enfants blancs piétinant le drapeau homosexuel serait considéré comme homophobe, haineux, et entraînerait une enquête de police, et probablement des poursuites pénales contre les parents pour incitation à la haine. Mais des enfants musulmans piétinant le drapeau de la fierté, c’est totalement acceptable car il s’agit d’une minorité protégée par la gauche contre l’extrême droite et les racistes. Ils ont donc tous les droits.
Dans la vidéo, une femme arabe portant un foulard, qui semblait être la mère de l’un des enfants, a crié : “Laissez nos enfants tranquilles !”.
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Les progressistes Woke sont, par tempérament, mal équipés pour faire face à ce genre de situation. Tout comme ils ont du mal à attaquer les Asiatiques, car ce ne sont pas des Blancs, et ce ne sont pas des minorités “protégées”.
Ce qui est certain, c’est que pour se sentir moralement dans le camp du bien et de l’humanisme, ils se convainquent que les blancs, essentiellement les Chrétiens, sont les seuls à ne pas être d’accord avec leur idéologie, et que les blancs conservateurs sont des fanatiques. Alors ils feront tout pour que la vidéo ci-dessus ne soit pas diffusée. Et si un média est obligé de commenter, ils trouveront les mots pour les excuser.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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Des enfants envoyés par les parents bien entendu par lâcheté
Eduqués à prendre la rélève de générations en génération … une belle merde qui restera collée aux chaussures de l’occident
Le métier de “journaliste” mainstream ne doit pas être si facile que ça.
Certes, il suffit de manier l’art du “copié-collé” ou, pour les plus “doués”, pratiquer l’exercice de style à la mode: interpréter tout et son contraire sous l’angle du “réchauffement climatique” (“dérèglement climatique” quand la ficelle devient trop grosse) ou bien du wokisme en général. Donnez moi un confetti j’en ferai une noble Cause, puis donnez moi la parole et ne permettez à personne de me contredire, on en fera une “Révolution”!
D’où la sensation désagréable, pour qui aura conservé intacte son intégrité intellectuelle ou le simple bon sens, qu’on se fout massivement de notre gueule!
Oui, en faisant l’effort du “vis ma vie”, imaginons les délicats arbitrages quant à la hiérarchie des causes à promouvoir ou des mises à l’index (avec moues de dégoût et froncements de sourcils en guise d’uniques et imparables arguments) au regard des conséquences à prévoir. Un algorithme en vue pour venir en aide à la profession?
Sans passer par le recours à une quelconque intelligence artificielle, je suppose que l’argument final, celui qui trône au sommet de la pyramide cognitive, qui fera mouche et décidera s’il convient de distribuer un bon point ou planter une cible dans le dos, c’est la préservation de son espérance de vie…D’un point de vue darwinien, c’est une manière comme une autre de s’adapter (soyons équitables)…et de se faire un max de fric tout en produisant un minimum d’effort.
Dès lors, il est aisé de comprendre que certains sont davantage caressés dans le sens de la barbe que d’autres, que l’indignation existe uniquement à géométrie variable, au même titre que la tolérance, la liberté de pensée ou d’expression.
Dans ce contexte, pas besoin d’être Madame Soleil pour prédire qui aura le dernier mot…