Publié par Guy Millière le 11 juin 2023

Donald Trump a été mis en examen à New York par un procureur gauchiste, Alvin Bragg, en violation des règles du droit américain.

Le même procureur gauchiste relâche quotidiennement des criminels, bien réels ceux-là, et a mis en examen pour homicide un ancien US Marine, Daniel Penny, héros de l’armée américaine, parce qu’il a défendu les passagers d’une rame de métro agressés par un criminel noir drogué, mort au cours de l’altercation.

Le juge gauchiste à qui Avin Bragg a remis le dossier a décidé que le procès de Trump aura lieu au début de l’année 2024, et le but est de tenter d’empêcher Trump de faire campagne. Trump n’est coupable de rien. Son ancien avocat devenu traitre, Michael Cohen, a été confronté au chantage d’une actrice pornographique vieillissante qui menaçait, juste avant l’élection présidentielle de 2016, de dire que Trump avait couché avec elle, et Michael Cohen a décidé de céder au chantage exercé l’actrice en question et lui a versé de l’argent. Trump ne lui avait rien demandé, mais il a remboursé Michael Cohen, et a mis le remboursement dans les livres de compte de la Trump Organization.

C’est pour ce remboursement, légitime, que Trump est mis en examen. L’actrice pornographique a reconnu que qu’elle avait exercé un chantage et qu’elle avait menti. L’avocat véreux qui lui avait conseillé le chantage (Michael Avenatti) et qui a empoché l’argent versé par Michael Cohen est en prison. Le procureur gauchiste a prononcé 34 motifs de mise en examen contre Trump, pour un seul “crime” inexistant. Dans tous les médias ou presque, Trump est présenté comme ayant acheté le silence de l’actrice pornographique après avoir couché avec elle et pour avoir faussé la comptabilité de son entreprise. Tous les médias ou presque présentent le procureur gauchiste comme un homme impeccable et courageux. Les médias mentent et sont répugnants, dites-vous ? Vous avez raison.

Donald Trump a ensuite été condamné par un juge à Manhattan, suite à la plainte d’une journaliste gauchiste dérangée mentalement (pléonasme) qui a accusé Trump de l’avoir violée dans un grand magasin en 1995 ou 1996, il y a donc vingt-sept ou vingt-huit ans. Elle ne s’en souvenait plus. Elle a retrouvé la mémoire, mais si elle sait où cela s’est passé, elle ne sait plus quand exactement. Un épisode récent de la série policière américaine Law and Order (en France, New York Unité Spéciale) a sans aucun doute aidé la journaliste à “retrouver la mémoire” : son “témoignage” ressemble de très près au scénario de l’épisode. Comme quoi la fiction est utile quand on affabule. Il n’y avait, bien sûr, aucune preuve permettant d’accuser Trump. Trump n’a pas été condamné pour viol, mais pour “agression sexuelle”, et comme il a nié les “faits”, il a été aussi condamné pour diffamation envers la plaignante, et doit lui verser cinq millions de dollars. Dans tous les médias ou presque, Trump est présenté comme ayant agressé sexuellement une journaliste de qualité. Trump est décidément un monstre, laissent-ils entendre. Tous les médias ou presque mentent et sont répugnants, dites-vous ? Vous avez raison.

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Le procureur spécial gauchiste Jack Smith, nommé par le ministre de la justice gauchiste Merrick Garland, sur demande du très corrompu et très sénile Joe Biden pour enquêter sur les “documents classés secret défense” déclassifiés qui ont été saisis lors d’une perquisition du FBI ordonnée par le même Merrick Garland chez Donald Trump, à Mar a Lago, le 8 août 2022, vient de demander la mise en examen de Trump pour 37 motifs. Rien que ça !

31 motifs de “rétention volontaire d’informations concernant la défense nationale”, figurent, chacun peut signifier une peine de dix ans de prison. Sont énoncés également comme motifs “conspiration pour faire obstruction à la justice” (peine encourue : 20 ans de prison), “rétention d’un document ou d’un dossier” (peine encourue : 20 ans de prison), “dissimulation corrompue d’un document ou d’un enregistrement” (peine encourue : 20 ans de prison), “dissimulation d’un document dans une enquête fédérale” (peine encourue : 20 ans de prison) “planification de dissimulation” (peine encourue : 5 ans supplémentaires), “fausses déclarations ou représentations” (peine encourue : 5 ans supplémentaires), ce qui fait en tout 400 ans de prison (seulement 100 ans de prison si les 31 motifs de “rétention volontaire” sont réduits à un seul). C’est inimaginable. C’est la réalité.

Le même procureur spécial gauchiste est aussi chargé par Biden et Merrick Garland du dossier du 6 janvier 2021. Nul ne sait combien de motifs de mise en examen seront demandés là. 37 aussi ? Un peu plus. Pourquoi pas une cinquantaine… Les motifs qui seront invoqués sont déjà connus : “obstruction à une procédure officielle”, “complot en vue d’entraver une procédure officielle”, “subornation de témoins”, “mise en œuvre d’un complot séditieux”. Dix membres de deux groupes patriotiques (six membres des Oath Keepers et quatre membres des Proud Boys), ont déjà été condamnés par un juge gauchiste siégeant à Washington à de lourdes peines de prison pour ce dernier motif. Stewart Rhodes, le président des Oath Keepers, était présent à Washington le 6 janvier 2021, mais n’est pas entré dans le Capitole : il a été condamné à dix-huit ans de prison, bien qu’il n’ait commis aucun crime.

Le procès au cours duquel Trump, qui n’a lui non plus commis aucun crime, risquera de 100 à 400 ans de prison devrait avoir lieu au printemps 2024, après celui qui attend Trump sur la base du dossier d’Alvin Bragg.

Le procureur spécial gauchiste a fait mettre en examen en même temps que Trump Walt Nauta, l’assistant personnel de Donald Trump, et lui proposera sans doute d’accuser Donald Trump s’il veut échapper à la prison. C’est la façon de faire des procureurs gauchistes.

Pour ne pas être en reste, la procureur gauchiste Fani Willis, à Atlanta, devrait mettre Trump en examen au mois d’août. Nul ne connait encore les motifs qu’elle est en train d’inventer, mais elle les inventera.

Et il ne faut pas oublier les dossiers qui concernent la Trump Organization : la procureur gauchiste Letita James voulait faire condamner Trump, ses trois enfants ainés et la Trump Organization pour une fraude fiscale inexistante. Elle a fait pression sur le responsable financier de l’entreprise, Allen Weisselberg, 75 ans, pour qu’il incrimine Trump. Il a refusé de mentir. Elle l’a envoyé en prison pour cinq mois. Elle continue à ”enquêter” sur Trump. Elle a dit vouloir détruire la Trump Organization.

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Dois-je le répéter ? Oui, je pense. Depuis l’été 2016, Donald Trump est l’objet d’une persécution forcenée qui n’a aucun précédent dans l’histoire des Etats-Unis. Cette persécution est menée en violant les lois et les principes de la justice américaine, en piétinant la Constitution, en utilisant des faux témoins et des faux documents, en incitant des innocents à faire de faux témoignages. Elle a déjà coûté des centaines de millions de dollars aux contribuables américains. Elle a envoyé des innocents en prison, et Allen Weisselberg n’est que, provisoirement, le dernier en date.

Cette persécution bénéficie de l’appui des grands médias américains et des grands médias du monde entier. Seuls, aux Etats-Unis, Fox News et Newsmax donnent les faits. Dans le contexte francophone, seul Dreuz les donne. Ce que j’écris ici est fondé, documenté, mais ne pourrait être publié dans aucun journal et aucun magazine français ! Ivan Rioufol, pour qui j’ai estime et amitié, m’a, courageusement, donné vingt minutes pour parler sur CNews lors de mon plus récent passage à Paris, et cela a fait scandale et m’a valu des tombereaux d’insultes de la part de Français de gauche au cerveau bien essoré.

Cette persécution s’explique par le fait que le Parti Démocrate américain est devenu un parti totalitaire et par le fait que la gauche américaine est elle-même devenue totalitaire, et fanatique. Le Parti Démocrate américain et la gauche américaine sont en train de s’efforcer de détruire les Etats-Unis, le pays que mon ami Yves Roucaute a appelé dans un de ses livres la puissance de la liberté. Et le but du Parti Démocrate et de la gauche américaine est de faire des Etats-Unis, je l’ai dit et je le répète, une dictature gauchiste, un pays régi par un parti unique.

Obama avait mis en place les conditions permettant de faire des Etats-Unis un pays régi par un parti unique. Donald Trump, parce qu’il aime son pays, a décidé, en 2015, de se présenter à la présidence, pour sauver les Etats-Unis.

Le Parti Démocrate et la gauche américaine ont tout fait pour le démolir avant qu’il soit élu. Ils se sont acharnés contre lui pendant quatre années et l’ont évincé de la Maison Blanche par la fraude en novembre 2020. Ils ont organisé le piège du 6 janvier 2021 pour parachever l’éviction, et terroriser les soutiens de Trump. J’ai expliqué tout cela en détail dans mon livre Après la démocratie ?

Ils ont continué à s’acharner sur Trump, et Trump est néanmoins désormais donné favori pour l’élection de novembre 2024. Ils organiseront sans doute des fraudes pour qu’il ne gagne pas, mais ils ne sont pas certains du résultat. Ils veulent le punir d’avoir osé se présenter à nouveau. Ils craignent que s’il est réélu, il puisse les incriminer, et ils veulent, cette fois, l’éliminer totalement et définitivement.

Ils entendent terroriser à nouveau, et terroriser davantage, et l’acharnement contre Trump, l’énormité des peines demandées, les motifs invoqués (si on lit l’acte d’accusation écrit par Jack Smith, Trump est accusé, en fait, de conspiration et d’espionnage !), sont destinés à cela : terroriser autant qu’il est possible de le faire. Et, car ce sont les objectifs de la terreur : obtenir l’acceptation et la résignation de millions d’Américains, exciter et inciter à la haine et à la violence les membres de la gauche américaine.

Jack Smith, répugnant disciple de Lavrenti Beria, a dans ses dossiers un enregistrement dans lequel Trump dit qu’un document qu’il a en main n’a pas été déclassifié par lui avant qu’il quitte la Maison Blanche. Rien ne prouve que Trump ait effectivement le document en main ou se contente de plaisanter, mais qu’importe la preuve.

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Selon les principes constitutionnels américains, je dois le souligner une fois de plus, le président a le pouvoir de déclassifier tous les documents qu’il entend déclassifier, et tous les documents qu’il emporte en quittant la Maison Blanche sont, par définition, déclassifiés.

Tous les présidents ont emporté des documents avec eux en quittant la Maison Blanche, y compris des documents classés secret défense qui ont été ainsi déclassifiés. Les archives nationales ont demandé des documents aux présidents et les documents demandés ont été transmis. C’est ce que Trump a fait.

Le procureur gauchiste Smith dit que Trump a laissé trainer des dossiers. Mar a Lago est un endroit très sûr. Je le sais par expérience. J’y ai été invité. Le Secret Service contrôle toutes les entrées, dès le mur d’enceinte, car il y a un mur d’enceinte.

Joe Biden, en quittant la vice-présidence en Janvier 2017, a emporté des documents classés secret défense qu’il n’a pas déclassifiés car il n’en avait pas le pouvoir. Un informateur a révélé leur existence. Les documents ont été retrouvés dans quatre endroits différents, dont le garage d’une résidence secondaire que Joe Biden a pu acheter avec l’argent ramassé par son fils et destiné au big guy (lui). Le FBI, contraint et forcé, vient de transmettre à une commission d’enquête de la chambre des représentants un document qui montre que Joe Biden a reçu en 2015 cinq millions de dollars de la firme ukrainienne Burisma (Hunter Biden a reçu cinq millions de dollars aussi) aux fins qu’il fasse pression sur le président ukrainien de l’époque, Petro Porochenko, et que le président ukrainien limoge un juge qui enquêtait sur les activités frauduleuses de Burisma. (Après la révolution Maidan en Ukraine, le nouveau pouvoir ukrainien a commencé à combattre la corruption, ce qui a menacé des entreprises liées à la Russie et à Poutine, telles que Burisma). Joe Biden a fait ce qui lui avait été demandé par Burisma, et exigé de Porochenko qu’il limoge le juge (Viktor Shokin), sans quoi, a dit Biden, les Etats-Unis suspendraient toute aide à l’Ukraine (et Biden s’est vanté d’avoir fait cela en public, la vidéo existe !). L’Ukraine étant à l’époque menacée par la Russie, et partiellement occupée par l’armée russe, Porochenko n’a pu faire autrement que céder.

Joe Biden est un criminel et il est le chef d’une famille criminelle, mais il appartient à la gauche américaine. Il ne sera pas inquiété par la justice tant qu’il sera président et tant que Trump ne le remplacera pas.

Hillary Clinton avait illégalement, quand elle était Secrétaire d’Etat, un serveur internet dans la salle de bain de sa maison, et elle y a fait transiter des milliers de documents classés secret défense qu’elle n’avait pas le pouvoir de déclassifier, et qui ont pu être récupérés par tous les services de renseignement du monde. C’est une criminelle pouvant, elle, être accusée à juste titre d’avoir contribué à des activités d’espionnage, mais elle appartient à la gauche américaine. Elle ne sera pas inquiétée par la justice sous Biden.

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Nous sommes dans une situation où un homme innocent, un ancien Président des Etats-Unis, Donald Trump, se trouve persécuté et menacé de finir sa vie en prison parce qu’il a voulu sauver son pays d’une destruction grave, et où un criminel, chef de famille criminelle, arrivé à la présidence de manière frauduleuse, et entouré de criminels et de gauchistes crapuleux, s’efforce, avec l’aide d’un ministre de la justice gauchiste crapuleux assisté de procureurs gauchistes crapuleux et de juges du même sordide acabit, d’éliminer son principal adversaire politique, ancien Président des Etats-Unis qui peut redevenir Président, et qui est dès lors l’obstacle majeur à la transformation des Etats-Unis en dictature gauchiste et en pays régi par un parti unique.

Tous les politiciens “démocrates” approuvent, bien sûr. Les RINO, Republicans in Name Only, approuvent aussi, et montrent un peu plus qu’ils sont des imposteurs. Les autres candidats républicains à l’élection présidentielle font part de leur indignation, à deux exceptions près, deux RINO minables, Asa Hutchinson, et Chris Christie, qui seront vite éliminés, et qui ne se présentent que pour cracher sur Trump. Chris Christie est un homme particulièrement vil : il finit sa carrière dans un rôle de traitre méprisable.

Jamais dans mes pires cauchemars je n’aurais imaginé cela possible. J’ai choisi les Etats-Unis par amour de ce que les Etats-Unis sont depuis leur fondation. Je n’ai pas choisi le saccage gauchiste présent. Ce saccage est inadmissible. Il menace la liberté aux Etats-Unis. Il menace la liberté sur la planète entière.

L’aide apportée à l’Ukraine par l’administration Biden ne doit pas faire oublier qu’au départ, l’administration Biden était prête à abandonner l’Ukraine et n’a armé l’Ukraine que contrainte et forcée, et avec une parcimonie qui peut conduire à douter que l’administration Biden veut vraiment la victoire de l’Ukraine.

Il est plus que jamais crucial que Trump l’emporte en novembre 2024. Tout doit être fait pour cela.

La division de la population américaine créée par le Parti Démocrate et par la gauche américaine en incitant à la haine anti-Trump, et le degré de haine qui imprègne aujourd’hui la gauche américaine, sont très préoccupants.

Quelques mots du chroniqueur Roger Simon :

Il est impossible que la justice se place au service d’un parti politique et puisse tenter de faire incarcérer ou d’empêcher de se présenter le principal candidat à la présidence d’un autre parti et que le pays garde l’apparence d’une république constitutionnelle – ou d’une démocratie. Ce qui se passe est au-delà du fonctionnement d’une république bananière. C’est du pur stalinisme. Des mesures extrêmes sont nécessaires, et par là, je ne veux absolument pas parler de guerre civile. Je veux parler de mesures extrêmes permettant au contraire d’éviter la guerre civile qui pourrait aisément être le résultat ultime de ce qui se passe.

Quelques mots d’un autre chroniqueur, Kurt Schlichter :

Comment se rallier à Donald Trump ? Et il faut se rallier à lui parce qu’il est la victime d’une persécution totale, et quand ils le persécutent, c’est vous qu’ils persécutent… Ne pensez pas que vous pouvez vous cacher, ne pensez pas que vous pouvez vous échapper. Ce sont des fanatiques, et c’est une inquisition. Ce sont des personnes perverses qui aiment causer de la douleur en exerçant leur pouvoir.

Je laisse le dernier mot à Donald Trump, samedi 10 juin :

Cette inculpation ridicule et sans fondement par le ministère de l’injustice de l’administration en place restera parmi les abus de pouvoir les plus horribles de l’histoire de notre pays…. Vous voyez Joe Biden essayer de faire jeter en prison son principal adversaire politique, un adversaire qui le devance très nettement dans les sondages. Ce qui se passe n’est pas différent de ce qui s’est fait dans la Russie stalinienne et de ce qui se fait dans la Chine communiste.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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